Mirou
La chaine de télévision publique accusée par tous de crimes de médiocrité vient de commettre un autre crime plus abominable en diffusant les images en claire des enfants des deux familles de terroristes qui se sont rendues récemment aux services de sécurité, alors que celles-ci étaient retenues de longues années au fins fonds des maquis.
C'est un bras d'honneur à la Convention internationale sur les droits de l’enfant (texte de février 1990) ratifié par l’Algérie le 16 avril 1993. Cette Convention reprend les termes de la Déclaration des droits de l’enfant adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU le 20 novembre 1959, qui considère que «l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance».
Grine aura-t-il l'audace de sanctionner la chaine publique comme il l'a fait pour certains journaux indépendants et autres sites électroniques ?
On attendant vivement la décision de L'Autorité de régulation de l’audiovisuel (Arav) et on verra si elle ira jusqu'à punir les auteurs de cette fâcheuse infraction
La chaine de télévision publique accusée par tous de crimes de médiocrité vient de commettre un autre crime plus abominable en diffusant les images en claire des enfants des deux familles de terroristes qui se sont rendues récemment aux services de sécurité, alors que celles-ci étaient retenues de longues années au fins fonds des maquis.
C'est un bras d'honneur à la Convention internationale sur les droits de l’enfant (texte de février 1990) ratifié par l’Algérie le 16 avril 1993. Cette Convention reprend les termes de la Déclaration des droits de l’enfant adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU le 20 novembre 1959, qui considère que «l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance».
Grine aura-t-il l'audace de sanctionner la chaine publique comme il l'a fait pour certains journaux indépendants et autres sites électroniques ?
On attendant vivement la décision de L'Autorité de régulation de l’audiovisuel (Arav) et on verra si elle ira jusqu'à punir les auteurs de cette fâcheuse infraction
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