Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Algérie: Noureddine Bedoui reconnait enfin que la situation est catastrophique

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Algérie: Noureddine Bedoui reconnait enfin que la situation est catastrophique

    le ministre de l’intérieur, Noureddine Bedoui a reconnu enfin que la situation économique est catastrophique dans tout le pays à la suite la crise pétrolière







    «Il faut trouver de nouvelles sources de financement, car l’ère des dotations financières centralisées pour faire face aux dépenses de fonctionnement est révolue», a déclaré le ministre de l’intérieur, Noureddine Bedoui,à l’ouverture de la rencontre régionale est.

    Lors de cette réunion, dont le maitre mot est le développement local et le rôle vital des communes, le ministre a insisté sur la nécessité d’adopter de nouvelles règles dans la gestion des collectivités locales, devant la chute des prix du pétrole sur le marché mondial.

    Des réflexions pour la mise en place d’un cadre organisationnel et juridique renforçant le partenariat entre les secteurs publics et privés "sont engagées, ajoute-t-il, pour permettre un développement local durable et un meilleur service public".

    Qualifiant ce partenariat "d’opportunité à saisir", M. Bedoui a insisté sur l’importance de cette collaboration dans le renforcement des ressources financières des collectivités locales et, par ricochet, l’amélioration des conditions de vie des citoyens.

    Déplorant l’existence de centaines de marchés réalisés sur fonds de l’Etat et non exploités, M. Bédoui a donné des instructions fermes aux walis pour œuvrer "pragmatiquement" pour rentabiliser ces biens en mettant en avant le procédé de partenariat public-privé

    Le ministre n’a pas manqué, par ailleurs, de pointer du doigt les maux qui paralysent les services publics. Il a, encore une fois, dénoncé la bureaucratie, le clientélisme qui pénalise les citoyens

  • #2
    Eh bien difficile d'être plus clair !

    Commentaire


    • #3
      Alors que Abdelmalek Sellal nous rassurait, deux ans plus tôt, que la crise ne nous toucherait pas

      Commentaire


      • #4
        C'est la fin du monde

        Commentaire


        • #5
          Bedoui aux élus locaux : L’ère des dotations financières est révolue
          Titre original.

          Les collectivités locales (en l'absence d'une fiscalité locale ne seront jamais autonomes ou presque mais) n'ont qu'à améliorer leurs recettes. A titre d'exemple, certaines mairies possèdent des locaux loués depuis plus de 40-50 ans à des particuliers aux mêmes prix de location : Entre 500 et 1000 dinars le mois.


          APS samedi 2 juillet 2016 20:17
          Algérie : M. Bedoui annonce une réflexion pour renforcer le partenariat entre les secteurs public et privé

          Des réflexions pour la mise en place d'un cadre organisationnel et juridique renforçant le partenariat entre les secteurs publics et privés "sont engagées pour permettre un développement local durable et un meilleur service public", a indiqué samedi à Constantine le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui.

          Qualifiant ce partenariat "d'opportunité à saisir", le ministre a insisté sur l'importance de cette collaboration dans le renforcement des ressources financières des collectivités locales et, par ricochet, l'amélioration des conditions de vie des citoyens.

          Déplorant l'existence de centaines de marchés réalisés sur fonds de l'Etat et non exploités, M. Bédoui a donné des instructions fermes aux walis pour £uvrer "pragmatiquement" pour rentabiliser ces biens en mettant en avant le procédé de partenariat public-privé.

          Les investissements publics (piscines, salles de sports, centres culturels ou autres) réalisés depuis l'an 2000 fonctionnent à hauteur de 30% seulement, a ajouté le ministre, estimant qu'il s'agit là d'un "problème de gestion à régler et des infrastructures à rentabiliser".

          Les walis sont les représentants du gouvernement, a rappelé M. Bedoui, insistant sur l'urgence d'opter pour un modèle de gestion professionnel.

          Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a également mis en exergue la nécessité d'assainir la situation du foncier industriel économique dans les wilayas et de prendre les mesures adéquates pour libérer ce foncier et le mettre à la disposition des investisseurs sérieux.



          APS
          Dernière modification par jawzia, 03 juillet 2016, 01h54.

          Commentaire


          • #6
            jawzia je t invite a écouter la vidéo galla titre original
            tu laisses l essentiel pour changer le vrai sujet

            Commentaire


            • #7
              Bedoui met en garde :«L’argent du Pétrole ne suffit pas »
              Le ministre de l’intérieur et des collectivités locales,Noureddine Bedoui a exhorter à œuvrer afin de trouver de nouvelles sources de financement.


              En marge de l’ouverture d’une rencontre d’évaluation des activités des collectivités locales, réunissant les walis de la région de l’Est, à Constantine, le ministre a affirmé que l’ère des dotations financières centralisées pour faire face aux dépenses de fonctionnement est révolue, car les trésors se sont vidés, et la timide rente pétrolière ouvre à peine les salaires des employés.

              «Alors que nombre de pays pétroliers se trouvent aujourd'hui dans des difficultés financière sans précédent menaçant leur sécurité et l'indépendance de leurs décisions politique, l'Algérie est restée, grâce à la vision prospective du président de la République, maîtresse de sa politique économique et prépare sereinement l'après pétrole », a-t-il souligné.

              «Si l'Algérie a réussi à résister aux mutations économiques mondiales, c'est grâce à la vision "anticipée" du président Bouteflika, qui a œuvré "dès le début, à intégrer les principes d'un développement durable et solide visant à protéger le pays contre les retombées d'une économie mondiale instable », a encore affirmé le ministre.

              Déplorant l’existence de centaines de marchés réalisés sur fonds de l’Etat et non exploités, M. Bédoui a donné des instructions fermes aux walis pour œuvrer "pragmatiquement" pour rentabiliser ces biens en mettant en avant le procédé de partenariat public-privé.
              echoroukonline

              Commentaire


              • #8
                Amokrane
                c est la fin du monde


                non ca parle pas de la fin du monde ca parle juste d economie le ministre de l interieur a tout resume " Petrol ma kech drahem ma kech ila 9derna nkhalso modfin ol3oumal rana mlah "
                Dernière modification par Mounir., 03 juillet 2016, 05h00.

                Commentaire


                • #9
                  Sergio

                  tu laisses l essentiel pour changer le vrai sujet
                  c pas important ce que dit le ministre de l interieur algerien, l essentiel c est de chercher et de poster des articles sur l importation des Oeufs aux maroc pour faire face à la demande qui devient plus importante pendant le Ramadan !!

                  Commentaire


                  • #10
                    Il faut trouver de nouvelles sources de financement, car l’ère des dotations financières centralisées pour faire face aux dépenses de fonctionnement est révolue»
                    heu...ça existe depuis plusieurs siècle...et ça s'appelle "l’impôt"....tu prend l'argent a ceux qui on ont , ensuite tu fiance avec des projet d’intérêt généraux .....chose que 95% de la planète fait.....
                    tu tombe je tombe car mane e mane
                    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                    Commentaire


                    • #11
                      Si cette vidéo aurait été celle du ministre de l'intérieur Marocain, jawzia aurait mit le texte en gras sur tous les mots alarmants "nous sommes tous défaillants", "parceque drouk marah ydkhoul walou", "drahem makanch", et il aurait enchaîne avec qq articles de presses et qq diagrammes pour justifier que le pays est à deux doigts de déclarer faillite

                      Mais comme le ministre est algérien alors on a droit à ca:
                      Titre original.

                      Les collectivités locales (en l'absence d'une fiscalité locale ne seront jamais autonomes ou presque mais) n'ont qu'à améliorer leurs recettes. A titre d'exemple, certaines mairies possèdent des locaux loués depuis plus de 40-50 ans à des particuliers aux mêmes prix de location: Entre 500 et 1000 dinars le mois.

                      Commentaire


                      • #12
                        En gros, selon le ministre de l'intérieur algérien, l'état algérien peine à payer ses fonctionnaires avec l'argent du pétrole, il n'y aura plus de fric pour les investissement et faire tourner la croissance. Bientôt tôt ou tard l'algérie devra faire les choix douloureux:

                        1) Décompensation générale.

                        2) Augmentation des impôts, plus de TVA etc

                        3) Diminution de la masse salariale, jme demande comment ils feront pour ca, la masse salariale dans les pays pétroliers est hyper gonflée, c'est une sorte de rente que l'état payait au peuple pour lui faire profiter de fric du pétrodollars et acheter la paix sociale.

                        4) S'endetter à l'étranger.

                        5) Transformer le modèle algérien, enlever le 51%/49%, chercher autres ressources, repenser au tourisme, à attirer plus d'IDE etc


                        En gros ils deviendront un maroc et tunisie bis, al 3antariya ljaza2iria c'était un simple symptôme du pétrole.

                        Commentaire


                        • #13
                          heu...ça existe depuis plusieurs siècle...et ça s'appelle "l’impôt"....
                          On n'y a pas pensé !!

                          Plus sérieusement, comme tout algérien tu es sensé savoir que la fiscalité n'est pas locale. Que ce soit l'impôt sur les bénéfices des sociétés, l'IRG et autres impôts ne sont pas locaux et donc ne bénéficient pas directement aux collectivités locales mais alimentent le trésor. Il reste la TAP va et la gestion de patrimoine (sous exploité) qui vont directement dans les caisses des communes.

                          Dans un deuxième temps, ce sont les dotations qui complètent le budget (de fonctionnement ou d'équipement) de ces collectivités.

                          Les communes doivent se bouger les fesses pour augmenter la part des recettes locales et cela passe par une meilleure gestion du patrimoine communale et l'encouragement de l'investissement privé.
                          Dernière modification par jawzia, 03 juillet 2016, 14h55.

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X