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Par Hassan Zakariaa - 03/07-Quid.ma
L’APS est décidément à l’affut de tout événement lié au Maroc pour le détourner de son contexte et s’en servir dans l’objectif de nuire au pays
L’agence de presse algérienne a cherché à convaincre ses lecteurs que le report d’une visite au Maroc (1er au 3 juillet) du ministre français des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault, serait dû à un « changement de position de la France sur la question du Sahara », parlant d’une « nouvelle brouille diplomatique entre Paris et Rabat », en attribuant ce “scoop” à « des milieux bien au fait des relations entre les deux pays ».
« Je démens formellement ; ce n’est pas le cas. C’est un report technique qui n’est en aucun cas dû à une difficulté politique, la relation franco-marocaine étant en plein essor », a affirmé, samedi, le porte-parole du Quai d’Orsay, Romain Nadal. « Ce report n’a strictement rien à voir avec la question du Sahara », d’ailleurs les deux ministres se sont entretenus au téléphone et une nouvelle date est en cours de fixation, a précisé le porte-parole dans une déclaration à la MAP.
De surcroît, la France se tient du côté du Maroc dans la défense de ses intérêts stratégiques et de sa cause nationale, notamment au conseil de sécurité de l’ONU. Les deux pays amis coordonnent leurs actions dans nombreux sujets de l’heure et préparent ensemble des échéances de haute importance sur la scène internationale, notamment la conférence planétaire sur le climat COP 22 qui se tiendra en novembre prochain à Marrakech. Inutile de rappeler aussi que la France s’est constituée partie intervenante, au même titre que l’Allemagne, le Portugal et l’Espagne, en soutien du Conseil de l’Union européenne (UE) dans le pourvoi qu’il a introduit auprès de la Cour de justice européenne pour infirmer la décision du tribunal de première instance relative à l’accord agricole entre le Maroc et l’UE.
L’Algérie dans le désarroi tente tout et n’importe quoi
Ces derniers temps les diplomates algériens ont jugé bon de s’attaquer aux amis du Maroc parmi les députés et autres officiels français. L’un d’entre eux, Gilles Pargneaux, ne s’est pas laissé faire et a descendu en flamme l’ambassadeur d’Alger à Bruxelles dans un courrier dont nous avons au Quid pu obtenir une copie. “Votre réaction (sur la question du Sahara, NDLR) est enfin la preuve, malgré les dénégations des autorités algériennes ces dernières années, que ce conflit est bien une préoccupation majeure de l’État algérien et qu’il est devenu une question de politique intérieure”, a affirmé l’eurodéputé dans sa lettre au diplomate algérien.
L’APS est décidément à l’affut de tout événement lié au Maroc pour le détourner de son contexte et s’en servir dans l’objectif de nuire au pays
L’agence de presse algérienne a cherché à convaincre ses lecteurs que le report d’une visite au Maroc (1er au 3 juillet) du ministre français des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault, serait dû à un « changement de position de la France sur la question du Sahara », parlant d’une « nouvelle brouille diplomatique entre Paris et Rabat », en attribuant ce “scoop” à « des milieux bien au fait des relations entre les deux pays ».
« Je démens formellement ; ce n’est pas le cas. C’est un report technique qui n’est en aucun cas dû à une difficulté politique, la relation franco-marocaine étant en plein essor », a affirmé, samedi, le porte-parole du Quai d’Orsay, Romain Nadal. « Ce report n’a strictement rien à voir avec la question du Sahara », d’ailleurs les deux ministres se sont entretenus au téléphone et une nouvelle date est en cours de fixation, a précisé le porte-parole dans une déclaration à la MAP.
De surcroît, la France se tient du côté du Maroc dans la défense de ses intérêts stratégiques et de sa cause nationale, notamment au conseil de sécurité de l’ONU. Les deux pays amis coordonnent leurs actions dans nombreux sujets de l’heure et préparent ensemble des échéances de haute importance sur la scène internationale, notamment la conférence planétaire sur le climat COP 22 qui se tiendra en novembre prochain à Marrakech. Inutile de rappeler aussi que la France s’est constituée partie intervenante, au même titre que l’Allemagne, le Portugal et l’Espagne, en soutien du Conseil de l’Union européenne (UE) dans le pourvoi qu’il a introduit auprès de la Cour de justice européenne pour infirmer la décision du tribunal de première instance relative à l’accord agricole entre le Maroc et l’UE.
L’Algérie dans le désarroi tente tout et n’importe quoi
Ces derniers temps les diplomates algériens ont jugé bon de s’attaquer aux amis du Maroc parmi les députés et autres officiels français. L’un d’entre eux, Gilles Pargneaux, ne s’est pas laissé faire et a descendu en flamme l’ambassadeur d’Alger à Bruxelles dans un courrier dont nous avons au Quid pu obtenir une copie. “Votre réaction (sur la question du Sahara, NDLR) est enfin la preuve, malgré les dénégations des autorités algériennes ces dernières années, que ce conflit est bien une préoccupation majeure de l’État algérien et qu’il est devenu une question de politique intérieure”, a affirmé l’eurodéputé dans sa lettre au diplomate algérien.
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