Au moment où il est demandé au peuple algérien de serrer la ceinture pour cause de crise économique due à la chute des prix du pétrole, l'on découvre une toute petite partie de la mauvaise gestion des ressources du pays.
Cette résidence acquise pour la mirobolante somme de 27 millions d'Euros en 2008 n'a jamais été occupée et n'a jamais servi à la mission permanente de l'Algérie à l'ONU. Narcissique comme il est, Bouteflika n'aurait admis voir un haut fonctionnaire de l'Etat habiter une résidence beaucoup plus luxueuse que sa résidence de de président de la république à Alger. Le palais d'El-Mouradia que Bouteflika n'a jamais habité passe pour une garçonnière devant cette résidence genevoise. Il en est de même pour la "petite" villa de Sonatrach récupérée pour servir de résidence médicalisée. Elle passe pour un gourbi comparativement à la résidence de Pregny Chambésy .
Quand la maman du président se soignait à Genève ......
Il faut savoir que ce genre d'acquisition ne peut s'effectuer que sur instruction du président Bouteflika ou avec son accord si la proposition vient d'une partie tierce. Pourquoi a-t-on acquis, alors, cette résidence si couteuse au trésor public?
Selon un ancien diplomate en poste, la résidence était acquise à une période où la mère du président était hospitalisée à Genève. Son fils président y passait de longues journées à son chevet lui tenant la main. Il lui est arrivé de rester 20 jours non-stop à Genève au point où une infirmière suisse s'était interrogée devant ses collègues "Mais le président algérien n'a rien d'autre à faire que de passer ses journées à l'hôpital pour tenir la main de sa maman?" Pour information, l'hospitalisation de la maman du président à Genève coutait au contribuable algérien pas moins de 20.000 Euros par jour. Sans compter les frais de séjour de ses enfants qui se rendaient régulièrement à son chevet.
...... Et le président y suivait des cures de dopage
Le diplomate retraité ajoute "Aussi, durant cette période le président Bouteflika suivait des cures de dopage à la clinique Genolier. Des cures qui seront, avant son AVC du 27 septembre, répétitives et à un rythme régulier. Avant chaque rencontre importante avec un haut responsable (chef d'Etat ou premier ministre) étranger on emmenait le président se requinquer la santé à Genolier.
Du coup, la famille Bouteflika passait plus de temps à Genève qu'à Alger. D'où l'idée d'acquérir un pied à terre du côté du lac Léman pour éviter les hôtels bien qu'ils soient luxueux. Une résidence où se regroupe la famille c'est plus discret qu'un hôtel surtout que d'autres nababs du régime comme les généraux Nezzar, Abdelmalek Guenaïzia ou l'ancien ambassadeur Driss El-Djzaïri etc.; fréquentent les grands établissements hôteliers de Genève. Ils risquent de parler autour d'eux pour nuire au président et à sa famille.
Une fois la résidence acquise Mansouria Ghezlaoui décède
Par malheur pour les Bouteflika, ni la maman ni le président n'avaient pu profiter de cette luxueuse résidence. La maman est décédée dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 juillet 2009, soit quelques semaines après l'acquisition de la luxueuse villa.
Une année plus tard disparaît son frère Mustapha après une longue maladie.Après plusieurs passages dans une clinique privée en Suisse, et des traitements thérapeutiques lourds La villa de Genève est alors abandonnée. Elle ne sera jamais mise à la disposition de la mission permanente algérienne à l'ONU. Il n'y a pas âme qui vive dans cet immense espace. Notre source dit qu'elle ignore si on y allait dépoussiérer les meubles de temps à autre ou pas du tout. Néanmoins, les espaces verts semblent bien entretenus.
La cupidité de Bouteflika et de sa famille n'a pas de limites. Ils pillent l'Algérie sans pitié aucune. Et tout le monde acquiesce. Personne ne s'en offusque. Cette acquisition est une humiliation de plus pour l'Algérie et les Algériens. Sortie de l'oubli grâce à une récente enquête du quotidien helvète "Le Temps", cette résidence si elle était ignorée par l'opinion publique aurait pu faire l'objet d'un détournement au profit de Saïd Bouteflika par un simple jeu d'écriture qui consiste à céder le bien à la personne du président pour "services rendus à la nation". Venant d'une famille de voleurs tout est possible. L'histoire du détournement des 12 milliards après le décès du président Boumediene est toujours présente à l'esprit.
Mon journal le 05/07/3016 14h17
Cette résidence acquise pour la mirobolante somme de 27 millions d'Euros en 2008 n'a jamais été occupée et n'a jamais servi à la mission permanente de l'Algérie à l'ONU. Narcissique comme il est, Bouteflika n'aurait admis voir un haut fonctionnaire de l'Etat habiter une résidence beaucoup plus luxueuse que sa résidence de de président de la république à Alger. Le palais d'El-Mouradia que Bouteflika n'a jamais habité passe pour une garçonnière devant cette résidence genevoise. Il en est de même pour la "petite" villa de Sonatrach récupérée pour servir de résidence médicalisée. Elle passe pour un gourbi comparativement à la résidence de Pregny Chambésy .
Quand la maman du président se soignait à Genève ......
Il faut savoir que ce genre d'acquisition ne peut s'effectuer que sur instruction du président Bouteflika ou avec son accord si la proposition vient d'une partie tierce. Pourquoi a-t-on acquis, alors, cette résidence si couteuse au trésor public?
Selon un ancien diplomate en poste, la résidence était acquise à une période où la mère du président était hospitalisée à Genève. Son fils président y passait de longues journées à son chevet lui tenant la main. Il lui est arrivé de rester 20 jours non-stop à Genève au point où une infirmière suisse s'était interrogée devant ses collègues "Mais le président algérien n'a rien d'autre à faire que de passer ses journées à l'hôpital pour tenir la main de sa maman?" Pour information, l'hospitalisation de la maman du président à Genève coutait au contribuable algérien pas moins de 20.000 Euros par jour. Sans compter les frais de séjour de ses enfants qui se rendaient régulièrement à son chevet.
...... Et le président y suivait des cures de dopage
Le diplomate retraité ajoute "Aussi, durant cette période le président Bouteflika suivait des cures de dopage à la clinique Genolier. Des cures qui seront, avant son AVC du 27 septembre, répétitives et à un rythme régulier. Avant chaque rencontre importante avec un haut responsable (chef d'Etat ou premier ministre) étranger on emmenait le président se requinquer la santé à Genolier.
Du coup, la famille Bouteflika passait plus de temps à Genève qu'à Alger. D'où l'idée d'acquérir un pied à terre du côté du lac Léman pour éviter les hôtels bien qu'ils soient luxueux. Une résidence où se regroupe la famille c'est plus discret qu'un hôtel surtout que d'autres nababs du régime comme les généraux Nezzar, Abdelmalek Guenaïzia ou l'ancien ambassadeur Driss El-Djzaïri etc.; fréquentent les grands établissements hôteliers de Genève. Ils risquent de parler autour d'eux pour nuire au président et à sa famille.
Une fois la résidence acquise Mansouria Ghezlaoui décède
Par malheur pour les Bouteflika, ni la maman ni le président n'avaient pu profiter de cette luxueuse résidence. La maman est décédée dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 juillet 2009, soit quelques semaines après l'acquisition de la luxueuse villa.
Une année plus tard disparaît son frère Mustapha après une longue maladie.Après plusieurs passages dans une clinique privée en Suisse, et des traitements thérapeutiques lourds La villa de Genève est alors abandonnée. Elle ne sera jamais mise à la disposition de la mission permanente algérienne à l'ONU. Il n'y a pas âme qui vive dans cet immense espace. Notre source dit qu'elle ignore si on y allait dépoussiérer les meubles de temps à autre ou pas du tout. Néanmoins, les espaces verts semblent bien entretenus.
La cupidité de Bouteflika et de sa famille n'a pas de limites. Ils pillent l'Algérie sans pitié aucune. Et tout le monde acquiesce. Personne ne s'en offusque. Cette acquisition est une humiliation de plus pour l'Algérie et les Algériens. Sortie de l'oubli grâce à une récente enquête du quotidien helvète "Le Temps", cette résidence si elle était ignorée par l'opinion publique aurait pu faire l'objet d'un détournement au profit de Saïd Bouteflika par un simple jeu d'écriture qui consiste à céder le bien à la personne du président pour "services rendus à la nation". Venant d'une famille de voleurs tout est possible. L'histoire du détournement des 12 milliards après le décès du président Boumediene est toujours présente à l'esprit.
Mon journal le 05/07/3016 14h17
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