Lundi, le ministre de l’Industrie, du commerce, de l’investissement et de l’économie numérique Moulay Hafid Elalamy, a présenté devant le roi, "cinq mesures phares pour donner un nouveau souffle à l’investissement". Parmi elles, le développement d’au moins une zone franche par région.
"Nous avons 12 régions. Il faut avoir au moins une zone franche par région, pour pousser les régions défavorisées à avoir leurs zones franches aussi", a affirmé le ministre, lors d’une conférence de presse organisée à Casablanca, pour présenter la nouvelle Charte d’investissement lancée par son département.
Pour ce faire, le ministère veut mettre en place des appuis diversifiés au profit donc des régions les moins favorisées, avec notamment "une fiscalité qui sera différenciée en fonction de l’état par région". "C’est important si l’on veut donner la chance à tout le monde et aussi pour pousser les entreprises à s’installer dans des zones qui sont un peu plus reculées que d’autres. Certains opérateurs l’ont fait eux-mêmes et en ont tiré un grand profit", a assuré MHE.
À terme, cela devrait permettre de "stimuler l’investissement industriel et de favoriser un développement territorial équilibré".
Un "Statut Zone Franche"
MHE a aussi annoncé la possibilité d’octroyer désormais un "Statut Zone Franche" aux grandes industries exportatrices situées hors zone franche. "Nous avions eu plusieurs investisseurs dans le passé pour parler du fait de pouvoir être hors zone franche et d’en avoir les avantages. Aujourd’hui, c’est fait", s’est réjoui le ministre.
"Les zones franches ont un statut connu et reconnu. Lorsque vous êtes un investisseur important et que vous n’avez pas envie de vous installer dans une zone franche parce que le personnel que vous cherchez ne se trouve pas dans ce bassin d’emploi par exemple, jusqu’à présent vous étiez coincé. Il fallait être dans une zone franche pour avoir les avantages de la zone franche. Désormais, quand on est un grand exportateur, on peut s’installer en zone franche", a-t-il insisté.
L’octroi d’un "Statut Exportateur Indirect" aux sous-traitants est aussi possible dorénavant. À en croire Elalamy, "c’était fondamental et ça change complètement la donne".
Huffpost
"Nous avons 12 régions. Il faut avoir au moins une zone franche par région, pour pousser les régions défavorisées à avoir leurs zones franches aussi", a affirmé le ministre, lors d’une conférence de presse organisée à Casablanca, pour présenter la nouvelle Charte d’investissement lancée par son département.
Pour ce faire, le ministère veut mettre en place des appuis diversifiés au profit donc des régions les moins favorisées, avec notamment "une fiscalité qui sera différenciée en fonction de l’état par région". "C’est important si l’on veut donner la chance à tout le monde et aussi pour pousser les entreprises à s’installer dans des zones qui sont un peu plus reculées que d’autres. Certains opérateurs l’ont fait eux-mêmes et en ont tiré un grand profit", a assuré MHE.
À terme, cela devrait permettre de "stimuler l’investissement industriel et de favoriser un développement territorial équilibré".
Un "Statut Zone Franche"
MHE a aussi annoncé la possibilité d’octroyer désormais un "Statut Zone Franche" aux grandes industries exportatrices situées hors zone franche. "Nous avions eu plusieurs investisseurs dans le passé pour parler du fait de pouvoir être hors zone franche et d’en avoir les avantages. Aujourd’hui, c’est fait", s’est réjoui le ministre.
"Les zones franches ont un statut connu et reconnu. Lorsque vous êtes un investisseur important et que vous n’avez pas envie de vous installer dans une zone franche parce que le personnel que vous cherchez ne se trouve pas dans ce bassin d’emploi par exemple, jusqu’à présent vous étiez coincé. Il fallait être dans une zone franche pour avoir les avantages de la zone franche. Désormais, quand on est un grand exportateur, on peut s’installer en zone franche", a-t-il insisté.
L’octroi d’un "Statut Exportateur Indirect" aux sous-traitants est aussi possible dorénavant. À en croire Elalamy, "c’était fondamental et ça change complètement la donne".
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