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Orphelin et ancien SDF, il obtient son diplôme et une place à l'université

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  • Orphelin et ancien SDF, il obtient son diplôme et une place à l'université

    Avec beaucoup de bonne volonté + un coups de pousse on peut renverser des montagnes.

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    Un jeune américain, orphelin et SDF vient d'obtenir son diplôme de secondaire avec les félicitations et de décrocher une place à l'université grâce à ses excellents résultats scolaires.

    Liyjon Desilva a perdu sa mère à l'âge de cinq ans. Il passe de foyer en foyer puis finit par être abandonné et livré à lui-même. Il vit dans la rue et dort dans des parcs dans la banlieue de Houston au Texas, mais continue de suivre les cours au lycée, car à l'époque c'était tout ce qu'il lui restait “Qu'est-ce que j'étais supposé faire d'autre? (…) J'avais une chance, pourquoi n'en aurais-je pas profité?”, témoigne-t-il.

    Mobilisation

    Il reste SDF pendant trois ans, jusqu'à ce que le lycée apprenne qu'il dort sur un banc. Une conseillère de l'établissement, le directeur ainsi que quelques professeurs se mobilisent pour lui trouver un toit. Le proviseur lui paie une chambre d'hôtel provisoirement pour qu'il ne dorme plus dehors.

    Puis Jessica Smith l'assistante sociale de la Lee High School poste un message sur Facebook dans lequel elle demande de l'aide pour trouver un hébergement à l'adolescent. Rapidement, une connaissance propose d'héberger Liyjon gratuitement dans un studio au-dessus de son garage.

    “Il suffit parfois d'un coup de pouce pour faire la différence”

    En mai dernier, Liyjon a reçu son diplôme, grâce aux excellentes notes obtenues. Il vient d’avoir une bourse pour une université du Minnesota après qu'un de ses enseignants a proposé sa candidature.

    “Je n'avais pas de famille, j'étais SDF, j'ai été abusé enfant, ma famille se droguait”, indique Liyjon qui confie que sa famille a même essayé de l'envoyer en Afrique parce que son père ne voulait pas de lui. “J'ai vécu aux pires endroits. (…) Maintenant, je suis sur le toit du monde”, indique le jeune homme qui se dit confiant dans l'avenir. “Il suffit parfois d'un coup de pouce pour faire la différence”, conclut-il.

    L'assistante sociale qui lui est venue en aide a également lancé une plateforme de crowdfunding pour permettre au jeune homme de payer ses frais d'étudiant. La collecte a déjà atteint les 12 000 dollars, soit plus de 11.000 euros.

    m6info
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

  • #2
    Cette histoire me fait penser au film : Homeless to Harvard : The Liz Murray Story, un film très touchant, un film à voir.

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    Pour une vie meilleure : le portrait de Liz Murray, une SDF diplômée de Havard

    Aux États-Unis, le seul nom de Liz Murray impose le respect. Cette ancienne SDF est en effet parvenue à intégrer le prestigieux établissement de Havard. Celle qui a vécu dans les rues de New York a été diplômée de la célèbre école, avant de prendre la parole pour raconter son histoire.

    « Mes soeurs et moi nous nous nourrissions de glaçons pour avoir la sensation de manger. Nous partagions un tube de dentifrice en guise de repas », a-t-elle notamment révélé. Ses parents toxicomanes dépensaient le moindre dollar pour acheter de la cocaïne et de l’héroïne, au point de voler l’argent des anniversaires de leurs enfants ou de vendre l’écran de télévision.

    À 16 ans, orpheline de sa mère séropositive, Liz vit dans les allées souterraines du réseau ferroviaire après que son père a été placé dans un foyer. Celle qui n’a pas pu suivre une scolarité normale, décide, à l’âge de 17 ans, de se reprendre en main et finit ses années high shcool en l‘espace de deux ans. Après des jobs alimentaires, tout en suivant des classes de nuit, elle pose sa candidature pour une bourse d’études proposée par le New York Times.

    Depuis, Liz Murray a reçu des mains d’Oprah Winfrey un Chutzpah Award pour la féliciter, elle rencontre Bill Clinton et est invitée à des conférences pour sensibiliser les adolescents aux tentations de la drogue. Elle revient également sur son expérience dans un livre devenu un best-seller. Son portrait est adapté en 2003 dans Homeless to Harvard : The Liz Murray Story, un téléfilm Lifetime. A l’inverse des comédies dramatiques/romantiques dont la chaîne est habituée, la fiction reçoit un bel accueil de la presse et obtient même trois nominations aux Emmy Awards en 2003. Le rôle-titre est confiée à Thora Birch, vue alors dans le film American beauty.

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    • #3
      BeeHive bonjour et saha aïdek
      Cette histoire me fait penser au film : Homeless to Harvard : The Liz Murray Story, un film très touchant, un film à voir.
      je ne connaissais pas cette histoire, mais en effet c'est chapeau bats de rattraper en 2 ans à partir de 17 ans une scolarité qu'elle n'a pas eu la possibilité de suivre depuis longtemps au poins de pouvoir suivre les cours de haut niveau à Harvard, tout en travaillant pour subvenir à ses besoins.
      Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
      L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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      • #4
        Wa Anta Zada Adhrhar, ramdanek makboul inchallah.

        Le tire du film 'Homeless to Havard" à attirer ma curiosité et je n'ai pas regretté de l'avoir vu. J'ai visité Havard et MIT et je vous assure qu'une sensation bizzare "de eulim (science)" envahi votre corps, je ne saurai vous la décrire ...

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        • #5
          C'est ce qu'on appelle la rage de réussir d'un nécessiteux
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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          • #6
            ça me rappel un autre film magnifique : The pursuit of happyness , qui est à la base l'histoire réel de Christopher Paul "Chris" Gardner. qui est parti comme SDF avec son fils pour devenir un riche entrepreneur.

            J'ai l'impression que ce genre d'histoire arrive qu'au US.
            شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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            • #7
              Envoyé par Histo
              J'ai l'impression que ce genre d'histoire arrive qu'au US.
              Ça doit certainement arriver ailleurs, mais les américains ont raffole de ces histoires qui font rêver, ils font la une de leurs médias, des tournées de talk-show et des scénarios pour pour leurs films, histoire de maintenir "American Dream" en vie

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              • #8
                Ça doit certainement arriver ailleurs, mais les américains ont raffole de ces histoires qui font rêver, ils font la une de leurs médias, des tournées de talk-show et des scénarios pour pour leurs films, histoire de maintenir "American Dream" en vie
                Je pense aussi , mais j'ai l'impression qu'ils sont fascinés par tout la bas, j'adore leur : Oh really ? !! à la moindre histoire que je leur raconte

                J'ai visité Havard et MIT et je vous assure qu'une sensation bizzare "de eulim (science)" envahi votre corps, je ne saurai vous la décrire ...

                J'ai visité l'université de Chicago , je t'avoue que étudiant la bas Tkra bla mzeytek ... c'est fascinant
                شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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                • #9
                  J'ai visité l'université de Chicago , je t'avoue que étudiant la bas Tkra bla mzeytek ... c'est fascinant
                  Au prix des droits d'inscriptions, tkra tani bla mzeytek.

                  Il ne faut pas oublier, qu'aux USA une grande partie de la population n'a pas accès à l'université, l'autre partie s'endette sur plusieurs années pour suivre des études universitaires. Aller à l'université pour un enfant pauvre est exceptionnel. Ce qui n'est pas le cas en France ou en Algérie par exemple.

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                  • #10

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                    • #11
                      Il ne faut pas oublier, qu'aux USA une grande partie de la population n'a pas accès à l'université, l'autre partie s'endette sur plusieurs années pour suivre des études universitaires.
                      Pas toute à fait, l'université est accessible à toute le monde, il y a tout les prix, de 2000 à 50000$ et beaucoup de bourse d'étude publique et privé. C'est un modèle qui marche bien, les universités américaines surclassent de loin ceux du reste monde. Le première université française est classée 35ème, et dans les 500 premières universités, il se compte sur les doigts d'une main.

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