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GNL : Le Maroc cherche à s’approvisionner auprès du Qatar

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  • GNL : Le Maroc cherche à s’approvisionner auprès du Qatar

    Le Maroc multiplie les contacts avec les grands pays gaziers pour son approvisionnement en gaz dans le cadre du Plan national de développement du GNL.

    Le Maroc discute avec le Qatar son approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL), dans le cadre de la stratégie de mix énergétique du Royaume lancée en décembre 2014.

    Le Conseil de gouvernement a, en effet, approuvé, hier, le projet de loi 46-16 portant approbation du mémorandum d’entente dans les secteurs du pétrole, du gaz, de l’électricité, des énergies renouvelables et de l’utilisation de l’énergie, entre le ministère de l’Énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement au Maroc et le ministère de l’Energie et de l’industrie au Qatar, signé le 5 avril 2016 à Doha. Les deux parties ont convenu de développer la coopération bilatérale dans les secteurs du pétrole et d’examiner la possibilité d’approvisionner le marché marocain en gaz liquéfié, rapporte l’agence MAP.

    Ces négociations entrent dans le cadre du Plan national de développement du GNL qui prévoit de porter la part du gaz naturel liquéfié dans le mix énergétique de 10% à 30% à l’horizon 2025. Le Maroc a déjà signé avec la Russie un mémorandum d’entente sur la coopération dans le domaine de l’énergie, notamment en matière de gaz naturel liquéfié. Aux coté de ces deux grands pays gazier, les Etats-Unis figurent aussi parmi les futurs fournisseurs de GNL pour le Royaume.

    Un méga contrat d’importation de GNL
    Un méga contrat d’importation de GNL d’environ 7 milliards de M3 est phase de réparation, selon le ministre marocain de l’énergie et des mines, Abdelkader Amara. Pour réceptionner ces quantités, le Maroc compte construire un terminal méthanier maritime à Jorf Lasfar.

    Le Maroc est actuellement alimenté par le gaz algérien, en vertu d’un contrat de fourniture de gaz entre l'ONEE et Sonatrach ainsi que les prélèvements en gaz effectués sur le transit du gaz algérien par le GME (gazoduc Maghreb Europe). A travers sa nouvelle stratégie, le Maroc veut s’affranchir de sa dépendance envers le gaz algérien surtout que les relations entre les deux pays sont jalonnées de tensions. Mais aussi de négocier sereinement ses contrats sur les marchés mondiaux.

    maghrebemergent

  • #2
    Dommage on aurait pu ou du acheter le Gaz algérien et négocier un nouveau contrat au delà de 2021 , Ça aurait était moins coûteux mais bon il y a plus de confiance entre les deux parties : MAROC ET ALGÉRIE .

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    • #3
      Dommage on aurait pu ou du acheter le Gaz algérien et négocier un nouveau contrat au delà de 2021 , Ça aurait était moins coûteux mais bon il y a plus de confiance entre les deux parties : MAROC ET ALGÉRIE .
      "goulna klima, sbahna fi dlima". Bourguiba Allah y rahmo.

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      • #4
        "goulna klima, sbahna fi dlima". Bourguiba Allah y rahmo.
        Exact.
        Pour rappel, Bourguiba avait dit lorsque Boumediane avait coupe l'alimentation en gaz de toute la Tunisie parce qu'un responsable tunisien avait dit quelque chose que Bourguiba n'a pas aime

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        • #5
          Le gaz algérien t aurais aimé continuer à l avoir gratuitement mais c'est est terminé


          Tu achèteras le gaz Qatari avec les dons qataris
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #6
            Gallou gratuitement , sir awa rou7 ter9ed hahahah
            la redevance de transit du gaz naturel algérien par le Gazoduc Maghreb-Europe
            La quantité annuelle, qui dépend du prix international du gaz naturel, varie entre 600 et 700 millions de mètres cubes. tu ne veux pas quand même passer ton gaz vers l’Europe gratuitement .
            Cette redevance a permis au Maroc d’installer sa première centrale à cycle combiné de Tahaddart (400 MW), opérationnelle depuis 2005, et la centrale thermosolaire de Aïn Beni Mathar (Oriental) de 472 MW, mise en service en 2010. L’expiration de la convention de transit du gaz algérien par le GME est prévue en 2021. Cependant le Maroc prévoit, dans le cadre de la phase «Gas to Power», de construire notamment un Gazoduc de transport reliant le futur Terminal GNL au GME existant sur une distance d’environ 400 km et desservant les centres de consommation des régions de Casablanca, Mohammedia et Kénitra.

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