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Mabrouk al aïd à toutes et tous.
Cela devient à la mode, des ivrognes qui agressent avec "allah akbar", des psychopates etc...l'islam est maintenant mélangé à toutes les sauces.
Un gérant bénévole des Restos du cœur de Montreuil (Seine-Saint-Denis), qui avait raconté avoir été blessé à l’arme blanche par deux personnes aux cris de "Allah Akbar", est soupçonné par les enquêteurs d’avoir menti.
Le responsable du centre des Restos du cœur de Montreuil (Seine-Saint-Denis), soupçonné d’avoir inventé une agression islamiste à son encontre, sera jugé le 3 novembre pour "dénonciation de crime ou délit imaginaire".
L'homme, âgé de 59 ans, avait été placé en garde à vue mardi pour "dénonciation de crime ou délit imaginaire".
Un récit qui suscite la méfiance
En l’absence de témoins, le récit de l’homme de 59 ans avait rapidement suscité la méfiance des enquêteurs et des sources policières avaient appelé à "la plus grande prudence". Blessé à l’arme blanche à l’abdomen et à la clavicule, il avait lui-même appelé les secours le 1er juillet et déclaré aux policiers avoir été agressé par un couple armé d’une hache et d’un couteau.
Selon lui, ils avaient crié "Allah Akbar, chien d’infidèle" en prenant la fuite.
Ses empreintes sur les armes
Sur les armes, comme seules empreintes, les siennes et celles de son épouse.
L’enquête, ouverte dans un premier temps pour tentative d’homicide volontaire, avait été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait fait part de sa "plus vive indignation", immédiatement après l’annonce de l’agression présumée.
Cela devient à la mode, des ivrognes qui agressent avec "allah akbar", des psychopates etc...l'islam est maintenant mélangé à toutes les sauces.
Un gérant bénévole des Restos du cœur de Montreuil (Seine-Saint-Denis), qui avait raconté avoir été blessé à l’arme blanche par deux personnes aux cris de "Allah Akbar", est soupçonné par les enquêteurs d’avoir menti.
Le responsable du centre des Restos du cœur de Montreuil (Seine-Saint-Denis), soupçonné d’avoir inventé une agression islamiste à son encontre, sera jugé le 3 novembre pour "dénonciation de crime ou délit imaginaire".
L'homme, âgé de 59 ans, avait été placé en garde à vue mardi pour "dénonciation de crime ou délit imaginaire".
Un récit qui suscite la méfiance
En l’absence de témoins, le récit de l’homme de 59 ans avait rapidement suscité la méfiance des enquêteurs et des sources policières avaient appelé à "la plus grande prudence". Blessé à l’arme blanche à l’abdomen et à la clavicule, il avait lui-même appelé les secours le 1er juillet et déclaré aux policiers avoir été agressé par un couple armé d’une hache et d’un couteau.
Selon lui, ils avaient crié "Allah Akbar, chien d’infidèle" en prenant la fuite.
Ses empreintes sur les armes
Sur les armes, comme seules empreintes, les siennes et celles de son épouse.
L’enquête, ouverte dans un premier temps pour tentative d’homicide volontaire, avait été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait fait part de sa "plus vive indignation", immédiatement après l’annonce de l’agression présumée.
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