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Célébration du 5 Juillet: L'optimisme de Bouteflika

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  • Célébration du 5 Juillet: L'optimisme de Bouteflika

    L'Algérie se porte bien et a devant elle de grands défis. C'est ce qu'a affirmé dans son message à l'occasion de la fête de l'Indépendance le président Abdelalziz Bouteflika. En fait, le président Bouteflika a fait un bilan plutôt positif de la situation sociale, économique et sécuritaire du pays, même s'il reconnaît que le choc pétrolier fait mal à l'économie nationale. Le chef de l'Etat parlera notamment des efforts déployés pour la reconstruction de l'Etat, ses institutions et la reprise économique après la décennie noire, et la lutte contre le terrorisme. Une période marquée par ce qu'il a appelé ‘'une tragédie nationale sanglante, qui aurait pu détruire notre pays, une tragédie que Dieu nous a aidé à dépasser et dont nous pansons encore les plaies'', et vaincue grâce ‘'à la réconciliation nationale''. Les bienfaits du retour de l'Algérie dans le concert des Nations se sont, en fait, matérialisés par la prise en charge dans l'urgence de la demande sociale, de la relance économique et le développement des infrastructures. Il dira à ce propos que ‘'plus de trois millions de familles ont bénéficié d'un toit, alors que le raccordement à l'eau potable, à l'électricité et au gaz naturel a enregistré une progression remarquable dans toutes les contrées du pays''. Le chômage a ainsi reculé, affirme t-il, avant de relever que ‘'les infrastructures de base ont été fortement développées à travers l'ensemble du territoire national, consolidant ainsi les fondements d'un décollage économique dans la diversification et la compétitivité.'' En marge des efforts pour consolider une assise économique viable, le président Bouteflika rappelle également dans son bilan que l'on pourrait qualifier de mi-mandat, que l'Etat de droit, le pluralisme politique et la démocratie ont été renforcés dans le pays. ‘'La récente révision constitutionnelle atteste des acquis nouveaux en ce qui concerne notamment la promotion et la protection des libertés individuelles et collectives'', a-t-il souligné, avant de rappeler dans la foulée ‘'la consolidation de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance du pouvoir judiciaire, et la constitutionnalisation des droits de l'opposition.'' Pour autant, la crise économique est là, et le président Bouteflika en est conscient, et en parle, à sa manière. ‘'Notre pays est confronté aujourd'hui aux aléas sévères de la chute des prix des hydrocarbures, une ressource qui pèse encore fortement sur notre économie et notre développement.'' Mais, ce ‘'choc'', ou cette dépression économique qui frappe le pays de plein fouet du fait de la chute drastique des prix des hydrocarbures, ''n'est pas la conséquence de failles dans notre démarche interne'', estime t-il, car des mesures prudentielles avaient été prises pour prémunir le pays du spectre de l'endettement. ‘'Ce sont des décisions nationales prudentes que nous avons prises il y a quelques années, notamment un important remboursement anticipé de la dette extérieure, dont la dette militaire.'' L'Algérie devrait, par ailleurs, capitaliser cette crise économique pour, selon lui, ‘'rompre avec le confort de la rente'', et remettre les Algériens au travail. ‘'Dans tous ces domaines, la mutation est déjà là, comme en témoignent l'accélération des réformes, le consensus croissant pour rationaliser notre modèle social, ainsi que le rythme auquel se concrétisent des résultats palpables dans le développement économique hors hydrocarbures'', estime encore le Président.

    Les biens vacants, question close

    Par ailleurs, c'est un juste retour des choses que l'Algérie, au lendemain de l'Indépendance nationale, ait procédé à la récupération des biens laissés vacants par les colons. Cette question avait fait partie des négociations d'Evian, et définitivement close dans les années 1960, après la distribution des appartements et logements laissés vides et inoccupés par les Français d'Algérie, partis définitivement en France.
    Mais, ces derniers temps, la question a été soulevée encore une fois, même si lors de sa visite en 2012 à Alger le président François Hollande avait remis sur le tapis ce dossier. La réponse est aujourd'hui définitive, ferme et sans équivoque: elle est venue dans le message du président Bouteflika à l'occasion de la fête du 5-Juillet. Une réponse en fait qui clôt définitivement, et d'une manière tout aussi explicite sur le plan de l'histoire coloniale de l'Algérie, ce dossier des biens des colons d'Algérie.
    Que dit le président sur cette question ? Tout simplement que la Nation a réintégré dans son patrimoine ses biens spoliés par la France coloniale, dès son invasion d'Algérie, en juillet 1830. ‘'Dans cette même lancée, l'Algérie prit des mesures légitimes en vue d'intégrer au domaine de l'Etat les biens individuels et collectifs demeurés vacants au lendemain de l'indépendance'', a-t-il d'abord rappelé. Avant de préciser que ‘'cette démarche a une relation avec ce que fit le colonisateur, au cours des années quarante du siècle dernier, des biens des populations de notre pays.'' Ces mesures de spoliation et de vol des biens des Algériens, légitimées par le colonisateur par des décrets officiels, ont donc nourri la démarche algérienne, explique le président pour qui cette situation ‘'a induit une mesure irréversible qui fait désormais partie intégrante de notre législation contemporaine.'' Autrement dit, l'Algérie, en reprenant les biens laissés vacants et dûment constatés par des institutions officielles, dont les wilayas et les offices du logement, n'a fait qu'appliquer, souverainement, les mêmes dispositifs juridiques et institutionnels mis en place par le colonisateur pour prendre les terres, les maisons, et les biens meubles et immeubles des Algériens, au lendemain de l'invasion française. Quel décret plus inhumain, scélérat et farouchement dominateur que le Senatus Consulte, qui a spolié les Algériens de leurs biens, les livrant irrémédiablement à la pauvreté, et la décadence sociale ?
    par Mahdi Boukhalfa
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Envoyé par Mahdi Boukhalfa
    En fait, le président Bouteflika a fait un bilan plutôt positif de la situation sociale, économique et sécuritaire du pays...
    Ce pseudo journaliste semble si déjanté/défoncé (abus de cannabis?) qu'il ne se rend pas compte qu'il commente le message du maffieux Said Bouteflika et non pas du zombie Abdelaziz Bouteflika!

    Ce stupide journaliste aurait dû copier/coller le pseudo communiqué présidentiel au lieu de se ridiculiser auprès des lecteurs avec sa stupide analyse prétendant que c'est le zombie Abdelaziz Bouteflika qui s'exprime dans ce communiqué!

    Honte aux maffieux du clan Bouteflika et honte à ces pseudo journalistes qui jouent le sinistre jeu de ces maffieux sans scrupules!

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    • #3
      L'Algérie se porte bien et a devant elle de grands défis...
      Là on a bien compris, Bouteflika laisserait en héritage sa "chaise roulante" et sa "bande de voleurs" pour affronter les grands défis ?
      " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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      • #4
        Azul Nassim

        qu'il ne se rend pas compte qu'il commente le message du maffieux Said Bouteflika et non pas du zombie Abdelaziz Bouteflika!
        Pas si sure, la plume de Bouteflika s'appelait Boukhalfa et quand on lit en bas de l'article , on voit : Mahdi Boukhalfa
        Dernière modification par zwina, 10 juillet 2016, 18h13.
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          « Qu'ils mangent de la brioche ! » était la réponse donnée par la reine Marie-Antoinette à qui l'on faisait part du fait que le peuple n'avait plus de pain à manger.
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            Azul zwina

            Envoyé par zwina
            Pas si sure, la plume de Bouteflika s'appelait Boukhalfa
            Es-tu sûre que le rédacteur de Bouteflika s'appelle Mahdi Boukhalfa? Ce dernier est un vieux routier de l'APS, d'El Moudjahid...etc (soit un pur propagandiste) mais sa biographie n'indique pas qu'il est rédacteur de Bouteflika.

            Sinon, la phrase que t'as cité de mon message est biensûr satirique! Le journaliste propagandiste savait certainement que le zombie Bouteflika n'était pas impliqué dans la rédaction du communiqué. Ce pseudo journaliste indigne tente de tromper les Algériens avec son analyse débile en voulant leur faire croire que c'est le zombie Bouteflika qui s'exprimait dans le communiqué!

            C'est dire combien la présidence algérienne est devenue une très mauvaise blague. Le zombie Bouteflika a fait de l'institution présidentielle algérienne est une risée de ses semblables à travers le monde.

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            • #7
              Azul Nassim

              Es-tu sûre que le rédacteur de Bouteflika s'appelle Mahdi Boukhalfa? Ce dernier est un vieux routier de l'APS, d'El Moudjahid...etc
              Les vieux routiers de l'APS sont effectivement plutôt des pro gouvernement mais justement, leurs statuts leur confèrent une relation directe avec Bouteflika. Si ceux qui se revendiquent El Moudjahid reçoivent des ordres du petit frère ça voudrait dire que la situation est très grave. Le paragraphe sur les biens réclamés par les anciens colons reflètent pourtant bien la position d'El Moudjahid d'antan.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                bouteflikage

                est un grand seigneur c le dieu sur terre c notre dernier rempart contre les nostalgiques du beni ouiouissme
                que dieu prete longue vie a notre excellence le president de tout les presidents

                je vous aime je vous adore vous etes le plus beau le plus grand le fort
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  Azul

                  Envoyé par zwina
                  Si ceux qui se revendiquent El Moudjahid reçoivent des ordres du petit frère ça voudrait dire que la situation est très grave.
                  C'est certain qu'El Moudjahid reçoit des ordres des maffieux du clan Bouteflika et du palais d'el Mouradia puisque c'est un journal gouvernemental! Concrètement, le rôle d'El Moudjahid est de faire l'éloge du maffieux Bouteflika et de le présenter comme un "Dieu vivant"!

                  El Moudjahid ainsi que les autres journaux publics (Horizons...etc) devaient être privatisés ou fermés depuis longtemps. C'est très grave que l'argent public soit gaspillé pour financer une armée de propagandistes.

                  Sinon, ce qui est désolant est que même la presse privée joue le jeu des maffieux du clan Bouteflika et continue à tromper les Algériens en présentant ce genre de communiqué présidentiel comme étant venant d'Abdelaziz Bouteflika alors que ce zombie ne fait que végéter à El Mouradia comme un roi absolu sans rien faire. Le séjour du zombie Bouteflika à la présidence coûte des dizaines de millions de dollars par an au peuple algérien. En plus des milliards de dollars de revenus perdus chaque année par l'Algérie parcequ'elle est dirigée par un zombie totalement incompétent qui étouffe l'Algérie dans tous les domaines.

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