Il existe un bar à Singapour où on ne trouve ni alcool, ni disc-jockey. Il y règne un silence total et on s'y assoit sans bruit pour prendre le thé, qui est servi par des «baristas» sourds. Cet établissement atypique, Hush Teabar, a été fondé en 2014 dans le but de permettre aux cadres surmenés vivant selon le rythme du «métro-boulot-dodo» de lever le pied, tout en créant de l'emploi pour ceux qui sont affectés par la surdité.
Anthea Ong, 47 ans, est à l'origine du projet. Elle a quitté son poste de directrice générale d'un groupe de consultants en 2013, une décision «qui n'a pas été des plus faciles, mais je suis très heureuse de l'avoir prise», dit-elle. «Créer Hush Teabar m'a aidé à me souvenir de qui je suis vraiment et c'était difficile lorsque j'étais entourée d'hyperactifs qui étaient tous trèa stressés», se souvient-elle.
Le bar n'a pas d'adresse fixe: nomade, il s'établit, le temps de quelques séances, dans les bureaux où ses services ont été demandés, ceux de grandes banques par exemple.
Résumé d'un article du Figaro.
Anthea Ong, 47 ans, est à l'origine du projet. Elle a quitté son poste de directrice générale d'un groupe de consultants en 2013, une décision «qui n'a pas été des plus faciles, mais je suis très heureuse de l'avoir prise», dit-elle. «Créer Hush Teabar m'a aidé à me souvenir de qui je suis vraiment et c'était difficile lorsque j'étais entourée d'hyperactifs qui étaient tous trèa stressés», se souvient-elle.
Le bar n'a pas d'adresse fixe: nomade, il s'établit, le temps de quelques séances, dans les bureaux où ses services ont été demandés, ceux de grandes banques par exemple.
Résumé d'un article du Figaro.
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