MiRou
Je suis prêt à ester en justice le ministère de la Justice avait déclaré Maitre Mechri. Une mise en garde en filigrane à l'adresse du garde des sceaux, en premier chef. Selon cet avocat, le général Hocine Benhadid, incarcéré depuis Octobre 2015, est menacé de mort à tout moment ; il est atteint , selon cet avocat,d'un cancer de la prostate qui s'est malheureusement métastasé, c'est ce qui a fait multiplier les demandes de sa liberté provisoire pour lui permettre de mieux se soigner. M. Mechri considére que le maintien de son client est une grave décision qui témoigne de l'absence totale d'humanité, et surtout, une volonté manifeste de détruire un homme dont les propos dérangent.
Pour sa part, M. Bouchachi ne va pas par quatre chemin pour pointer du doigt le pouvoir qu'il accuse d'instrumentaliser la justice pour servir les hommes du pouvoir. Il estime qu'il s'agit-là d'un signe patent de la déliquescence et de la vassalisation des institutions de l'Etat. Pour ces deux bâtonniers, l'arrestation de ce haut gradé militaire, l'interdiction de parole aux officiers supérieurs et l'affaire KBC entrent dans une logique qui consiste à vouloir taire les voix discordantes qui ne riment pas avec les fausses assurances du pouvoir.
Notons que le général rebelle n'a été entendu qu'une seule fois par le juge d'instruction depuis sa mise sa mise à l'ombre il y a de cela 9 mois, alors que son dossier ainsi que son sort auraient pu être ficelés en quelques semaines seulement.
Je suis prêt à ester en justice le ministère de la Justice avait déclaré Maitre Mechri. Une mise en garde en filigrane à l'adresse du garde des sceaux, en premier chef. Selon cet avocat, le général Hocine Benhadid, incarcéré depuis Octobre 2015, est menacé de mort à tout moment ; il est atteint , selon cet avocat,d'un cancer de la prostate qui s'est malheureusement métastasé, c'est ce qui a fait multiplier les demandes de sa liberté provisoire pour lui permettre de mieux se soigner. M. Mechri considére que le maintien de son client est une grave décision qui témoigne de l'absence totale d'humanité, et surtout, une volonté manifeste de détruire un homme dont les propos dérangent.
Pour sa part, M. Bouchachi ne va pas par quatre chemin pour pointer du doigt le pouvoir qu'il accuse d'instrumentaliser la justice pour servir les hommes du pouvoir. Il estime qu'il s'agit-là d'un signe patent de la déliquescence et de la vassalisation des institutions de l'Etat. Pour ces deux bâtonniers, l'arrestation de ce haut gradé militaire, l'interdiction de parole aux officiers supérieurs et l'affaire KBC entrent dans une logique qui consiste à vouloir taire les voix discordantes qui ne riment pas avec les fausses assurances du pouvoir.
Notons que le général rebelle n'a été entendu qu'une seule fois par le juge d'instruction depuis sa mise sa mise à l'ombre il y a de cela 9 mois, alors que son dossier ainsi que son sort auraient pu être ficelés en quelques semaines seulement.
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