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Le coordinateur national des enseignants contractuels, Bachir Saïdi, n’a pas caché son indignation après l’annonce jeudi dernier des résultats du concours de recrutement de 28.000 enseignants tous paliers confondus.
Le coordinateur national des enseignants contractuels a qualifié les épreuves de non-transparentes. Selon lui, les épreuves ont été émaillées du favoritisme, de la corruption, notamment l’examen oral ce qui contredit les assurances de la ministre de l’éducation quant à la transparence.
« Tout a été préparé cette année dans ce sens en changeant le mode d’examen en passant de l’étude des dossier à l’examen écrit», soutient Saïdi.
Le représentant des enseignants contractuels a fait savoir que seulement 5 ou 7% d’entre eux ont réussi le concours de recrutement contrairement au chiffre communiqué par la tutelle qui était de 45%.
Pour lui, les promesses de Benghebrit au sujet de la prise en considération de l’expérience professionnelle des contractuels sont tombées à l’eau, ajoutant que la ministre les a poignardés dans le dos.
D’après notre interlocuteur, le favoritisme et la corruption ont caractérisé davantage l’épreuve orale que lors des concours organisés les années précédentes.
De l’avis de Saïdi, le fait de ne pas avoir le droit de voir sa copie, ni le droit d’introduire un recours est une injustice ce qui rend, selon lui, le concours plus opaque estimant que tout a été concocté d’avance pour être écartés.
Pour ce qui est des cas d’enseignants contractuels exclus abusivement du concours, le coordinateur, qui exerce sous contrat depuis 4 ans, a estimé que certains enseignants ont été favorisés au détriment des contractuels, comme c’est le cas à Tizi Ouzou, selon lui.
Notre interlocuteur nous a confié que des candidats ont passé l’épreuve orale sans s’être munis de convocation et ce grâce à leurs liens avec des personnes influentes.
Saïdi a dit être privé de poste au profit du fils d’un directeur et c’en dépit d’une moyenne de 13/20 qu’il a obtenue lors de ce concours.
S’agissant des démarches à entreprendre à l’avenir en réaction à ce qu’il qualifie d’injustice, les promesses non-tenues de la première responsable du secteur, il a révélé que lui et ses collègues étaient plus que jamais déterminés de renouer avec la contestation et concrétiser les démarches décidées lors de la dernière réunion tenue à Béjaïa, à savoir l’organisation des rassemblements devant les directions d’éducation à partir de dimanche prochain, un sit-in national devant l’annexe du ministère de la tutelle à Ruisseau le 13 juillet prochain et l’interpellation du Premier ministre afin de leur rendre justice après l’échec de Benghebrit dans le règlement du dossier qui reste en suspens pour les années à venir.
echoroukonline
Le coordinateur national des enseignants contractuels a qualifié les épreuves de non-transparentes. Selon lui, les épreuves ont été émaillées du favoritisme, de la corruption, notamment l’examen oral ce qui contredit les assurances de la ministre de l’éducation quant à la transparence.
« Tout a été préparé cette année dans ce sens en changeant le mode d’examen en passant de l’étude des dossier à l’examen écrit», soutient Saïdi.
Le représentant des enseignants contractuels a fait savoir que seulement 5 ou 7% d’entre eux ont réussi le concours de recrutement contrairement au chiffre communiqué par la tutelle qui était de 45%.
Pour lui, les promesses de Benghebrit au sujet de la prise en considération de l’expérience professionnelle des contractuels sont tombées à l’eau, ajoutant que la ministre les a poignardés dans le dos.
D’après notre interlocuteur, le favoritisme et la corruption ont caractérisé davantage l’épreuve orale que lors des concours organisés les années précédentes.
De l’avis de Saïdi, le fait de ne pas avoir le droit de voir sa copie, ni le droit d’introduire un recours est une injustice ce qui rend, selon lui, le concours plus opaque estimant que tout a été concocté d’avance pour être écartés.
Pour ce qui est des cas d’enseignants contractuels exclus abusivement du concours, le coordinateur, qui exerce sous contrat depuis 4 ans, a estimé que certains enseignants ont été favorisés au détriment des contractuels, comme c’est le cas à Tizi Ouzou, selon lui.
Notre interlocuteur nous a confié que des candidats ont passé l’épreuve orale sans s’être munis de convocation et ce grâce à leurs liens avec des personnes influentes.
Saïdi a dit être privé de poste au profit du fils d’un directeur et c’en dépit d’une moyenne de 13/20 qu’il a obtenue lors de ce concours.
S’agissant des démarches à entreprendre à l’avenir en réaction à ce qu’il qualifie d’injustice, les promesses non-tenues de la première responsable du secteur, il a révélé que lui et ses collègues étaient plus que jamais déterminés de renouer avec la contestation et concrétiser les démarches décidées lors de la dernière réunion tenue à Béjaïa, à savoir l’organisation des rassemblements devant les directions d’éducation à partir de dimanche prochain, un sit-in national devant l’annexe du ministère de la tutelle à Ruisseau le 13 juillet prochain et l’interpellation du Premier ministre afin de leur rendre justice après l’échec de Benghebrit dans le règlement du dossier qui reste en suspens pour les années à venir.
echoroukonline
la charte d’éthique et de déontologie de Mme Benghebrit.
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