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ALGERIE. Mines : signature d’un contrat de 4,5 Mdrs de dollars

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  • ALGERIE. Mines : signature d’un contrat de 4,5 Mdrs de dollars

    Un contrat de partenariat de transformation des phosphates et de gaz naturel d’un montant de 4,5 milliards de dollars a été signé ce matin entre les deux groupes algériens, l’un spécialisé dans la production et la commercialisation des engrais et des produits phytosanitaires, Asmidal, et le groupe industriel minier «Manadjim El Djazaïr » (Manal) avec le géant indonésien Indorama leader dans plusieurs pays dans le secteur minier.

    Le contrat qui a été signé en présence des directeur généraux de ces trois groupes, porte sur la transformation des phosphates pour la production de l’acide phosphorique et le diammonium phosphate à Souk Ahras, ainsi que la transformation du gaz naturel pour la production d’ammoniac, de nitrate d’ammonium et du calcium ammonium nitrate à HdjarEssoud à Skikda. Ajouter à cela le développement et l’exploitation de la nouvelle mine de phosphate de Blad el Hadba à Tebessa.

    Le ministre de l’industrie et des mines Abdesslam Bouchoaureb, qui a chapoté cette cérémonie de signature avec l’ambassadrice d’Indonésie en Algérie, a indiqué que « l’exploitation des gisements de phosphates est appelée a connaitre un nouvel essor et contribuer à la diversification des ressources du pays. Sur cette base, l’Algérie compte stimuler sa production du phosphate pour « devenir dans le top trois des producteurs africain. »

    En effet, ces projets de partenariat permettront à l’Algérie d’augmenter sa production « de 1 million de tonnes actuellement à 10 millions de tonnes dans les trois ans à venir ». Le ministre a souligné aussi que « la production issue de ces plates-formes industrielles couvrira les besoins de l’agriculture en fertilisants et permettra l’exportation de l’excédent dégagé».

    L’Algérie qui a un grand atout minier, a réservé un investissement de 5 milliards de dollars pour cette activité qui est en mesure de créer plus de 4000 postes d’emplois lors de l’exploitation.

    En effet, l’objectif global est de transformer « toute la région en un hub minier régional» a souligné encore le ministre de, l’industrie, qui prévoit aussi « une remontée rapide de toute la chaine des valeurs».

    Toutefois, un autre contrat d’une valeur de 500 millions de dollars sera signé demain entre la partie algérienne (Asmidal et Manal) et le groupe français Roullier, pour l’exploitation des mines de Tebessa.


    leconews
    Dernière modification par MEC213, 18 juillet 2016, 21h00.

  • #2
    Un contrat de partenariat de transformation des phosphates et de gaz naturel d’un montant de 4,5 milliards
    Méchants Algériens toujours à faire des cros-en-jambe au gentil voisin marocain !

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    • #3
      Aïe encore un doublon, mes excuses !
      Dernière modification par pioto, 18 juillet 2016, 18h53.

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      • #4
        Envoyé par pioto

        ALGERIE. Mines : signature d’un contrat de 4,5 Mdrs de dollars

        Un contrat de partenariat de transformation des phosphates et de gaz naturel d’un montant de 4,5 milliards de dollars a été signé ce matin entre les deux groupes algériens, l’un spécialisé dans la production et la commercialisation des engrais et des produits phytosanitaires, Asmidal, et le groupe industriel minier «Manadjim El Djazaïr » (Manal) avec le géant indonésien Indorama leader dans plusieurs pays dans le secteur minier.
        Méchants Algériens toujours à faire des cros-en-jambe au gentil voisin marocain !
        L'indonésien Indorama devient un concurrent de taille

        L'OCP devra compter, outre le chinois Wengfu et le canadien GB Minerals, avec l’indonésien Indorama qui, sans tambour ni trompette, a repris 78 % du capital des Industries chimiques du Sénégal (ICS). Depuis, le plus grand complexe industriel sénégalais, qui emploie plus de 1 000 personnes, renaît.

        Le mastodonte indonésien Indorama, qui a pris le relais de l’indien Iffco (6,78 % du capital), a apporté ce qui manquait jusqu’alors le plus aux ICS : de l’argent frais. Une semaine après la signature des accords de restructuration, il a ainsi injecté 100 millions de dollars pour éponger une partie de la dette contractée auprès d’entreprises sous-traitantes et relancer la production via la réhabilitation des installations des trois principaux sites du groupe : Taïba (un gisement à 100 km de Dakar), Darou (production d’acide phosphorique près de Taïba) et Mbao (production d’engrais, dans la banlieue de Dakar). Au total, selon le directeur général des ICS, Alassane Diallo, « Indorama s’est engagé à injecter 225 millions de dollars pour assurer la réhabilitation complète de l’ensemble des unités de production ».

        Un an après le démarrage de l’opération de relance de ce qui était, il y a une quinzaine d’années, le fleuron de l’industrie lourde sénégalaise, les efforts commencent à payer.

        Enfin, côté engrais, les ICS affichent aujourd’hui une capacité de production de 300 000 tonnes par an, c’est-à-dire plus que la consommation du Sénégal. Une deuxième usine d’engrais devrait être construite sur le site de Mbao pour porter la capacité à 1 million de tonnes et exporter davantage sur le marché de la Cedeao, mais aussi dans toute l’Afrique.

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        • #5
          Au JT de 19h00 j'ai entendu que les reserves de l'Algérie en phosphates sont évaluées à 2 beaux milliards de tonnes, pas mal du tout !

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          • #6
            50 milliards de tonnes pour le Maroc 3/4 des réserves mondial

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            • #7
              "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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