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Sous toute réserve, il semblerait que l'Union africaine ait reporté au 17 janvier 2017 l'élection de son nouveau président.
Donc, si ce report venait à se confirmer, il s'agirait d'une voie royale à l'Algérien Lamamra qui, à tort, ne s'était porté candidat à la présidence de l'UA alors qu'il en était le favori de charme et de compétences.
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Comme attendue, l’élection du président de la Commission de l’Union africaine a été reportée. Le successeur de Nkosazana Dlamini-Zuma ne sera connu qu’en janvier prochain 2017, lors du sommet de l’organisation. En attendant, le mandat de l’actuel Commission est prolongé.
Trois candidats étaient en lice : l’Equato-guinéen Agapito Mba Mokuy, la Botswanaise Pelonomi Venson-Moitoi et l’Ougandaise Speciosa Wendira-Kazibwe.
Du coup, un nouveau processus de sélection des candidats va être lancé. Cela permettra à de nouveaux candidats de se présenter.
Derrière ce report, il y a le blocage venant des pays de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Unie, l’Afrique de l’ouest a pu marquer des points. Après 7 tours de vote, aucun des candidats n’a obtenu la majorité des deux-tiers du fait de l’abstention de 28 pays dont 14 de la CEDEAO.
Ce report illustre surtout le clivage entre francophone et anglophone pour la présidence de la Commission de l’Union africaine.
Le retour du Maroc sur la scène continentale risque de donner un nouveau tournant à la prochaine élection du président de la Commission africaine. Les pays francophones souhaitent que cette présidence leur revienne. Des négociations serrées sont attendues entre les dirigeants de la CEDEAO pour un candidat unique de la région.
Source: le 360
Donc, si ce report venait à se confirmer, il s'agirait d'une voie royale à l'Algérien Lamamra qui, à tort, ne s'était porté candidat à la présidence de l'UA alors qu'il en était le favori de charme et de compétences.
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Comme attendue, l’élection du président de la Commission de l’Union africaine a été reportée. Le successeur de Nkosazana Dlamini-Zuma ne sera connu qu’en janvier prochain 2017, lors du sommet de l’organisation. En attendant, le mandat de l’actuel Commission est prolongé.
Trois candidats étaient en lice : l’Equato-guinéen Agapito Mba Mokuy, la Botswanaise Pelonomi Venson-Moitoi et l’Ougandaise Speciosa Wendira-Kazibwe.
Du coup, un nouveau processus de sélection des candidats va être lancé. Cela permettra à de nouveaux candidats de se présenter.
Derrière ce report, il y a le blocage venant des pays de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Unie, l’Afrique de l’ouest a pu marquer des points. Après 7 tours de vote, aucun des candidats n’a obtenu la majorité des deux-tiers du fait de l’abstention de 28 pays dont 14 de la CEDEAO.
Ce report illustre surtout le clivage entre francophone et anglophone pour la présidence de la Commission de l’Union africaine.
Le retour du Maroc sur la scène continentale risque de donner un nouveau tournant à la prochaine élection du président de la Commission africaine. Les pays francophones souhaitent que cette présidence leur revienne. Des négociations serrées sont attendues entre les dirigeants de la CEDEAO pour un candidat unique de la région.
Source: le 360