Je ne peux rien ajouter sur le retour (ou le refus) du Maroc au sein de l'union africaine. Le Maroc peut toujours intégré l'union européenne mais cela me semble impossible. Le Maroc peut toujours avec ses 28 pays créer une union 'fantoche''
Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, M. Abdelkader Messahel a indiqué, mercredi, que la visite récente à Alger de l’envoyé spécial du Roi du Maroc, Mohamed VI portait sur les relations bilatérales et à la situation dans la région et non sur une éventuelle demande à l’Algérie d’un soutien marocain à une adhésion à l’Union Africaine (UA).
Poursuivant ses explications autour de la cette question de demande de retour du Maroc au sein de l’UA, Messahel, qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale, a souligné que « l’adhésion du Maroc à l’UA ne peut être conditionnée en respect de l’article 29 de l’acte constitutif de l’Organisation » avant d’ajouter que « l’UA a ses critères. Il y a adhésion d’un Etat. Il n’y a pas retour ».
Dans le même sillage, il a rappelé que « vous voulez rentrer vous rentrez mais sans conditions. Il n’y pas de conditions ni de gel ni de retrait ni de suspension. La suspension ne se fait que dans un seul cas, c’est lorsqu’il y a changement anticonstitutionnel dans un pays ».
Un Forum économique africain à Alger du 4 au 6 décembre prochain
Par ailleurs, le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, M. Abdelkader Messahel a annoncé la tenue à Alger, du 4 au 6 décembre 2016, d’un Forum économique africain.
Pour Messahel, « l’Algérie se trouve géographiquement en Afrique, un continent en plein essor avec un potentiel fabuleux et extraordinaire, et l’Algérie qui y est très présente politiquement, doit aussi l’être économiquement ». Comme il a souligné que deux conditions majeures sont déjà réunies pour booster les échanges interafricains, qui ne dépassent actuellement pas les 4%, à savoir le parachèvement de la route transsaharienne et la volonté des opérateurs algériens (publics et privés) à exporter leurs produits et investir en Afrique. Et sur le premier aspect, le ministre a précisé que l’Algérie sera reliée à l’Afrique de l’Ouest d’ici fin 2017.
S’agissant de la deuxième idée débattue au plan économique lors de ce sommet, c’est cette zone africaine de libre échange qui devrait se mettre en place de 2017.
Algérie du 20 Juillet 2016
Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, M. Abdelkader Messahel a indiqué, mercredi, que la visite récente à Alger de l’envoyé spécial du Roi du Maroc, Mohamed VI portait sur les relations bilatérales et à la situation dans la région et non sur une éventuelle demande à l’Algérie d’un soutien marocain à une adhésion à l’Union Africaine (UA).
Poursuivant ses explications autour de la cette question de demande de retour du Maroc au sein de l’UA, Messahel, qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale, a souligné que « l’adhésion du Maroc à l’UA ne peut être conditionnée en respect de l’article 29 de l’acte constitutif de l’Organisation » avant d’ajouter que « l’UA a ses critères. Il y a adhésion d’un Etat. Il n’y a pas retour ».
Dans le même sillage, il a rappelé que « vous voulez rentrer vous rentrez mais sans conditions. Il n’y pas de conditions ni de gel ni de retrait ni de suspension. La suspension ne se fait que dans un seul cas, c’est lorsqu’il y a changement anticonstitutionnel dans un pays ».
Un Forum économique africain à Alger du 4 au 6 décembre prochain
Par ailleurs, le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, M. Abdelkader Messahel a annoncé la tenue à Alger, du 4 au 6 décembre 2016, d’un Forum économique africain.
Pour Messahel, « l’Algérie se trouve géographiquement en Afrique, un continent en plein essor avec un potentiel fabuleux et extraordinaire, et l’Algérie qui y est très présente politiquement, doit aussi l’être économiquement ». Comme il a souligné que deux conditions majeures sont déjà réunies pour booster les échanges interafricains, qui ne dépassent actuellement pas les 4%, à savoir le parachèvement de la route transsaharienne et la volonté des opérateurs algériens (publics et privés) à exporter leurs produits et investir en Afrique. Et sur le premier aspect, le ministre a précisé que l’Algérie sera reliée à l’Afrique de l’Ouest d’ici fin 2017.
S’agissant de la deuxième idée débattue au plan économique lors de ce sommet, c’est cette zone africaine de libre échange qui devrait se mettre en place de 2017.
Algérie du 20 Juillet 2016
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