Le groupe gazier Engie (GDF-Suez) s’apprêterait à quitter l’Algérie
Le groupe gazier français Engie, anciennement GDF-Suez, s’apprêterait à vendre ses actifs en Algérie, selon une information de l’agence Bloomberg. L’entreprise est présente dans le pays via un groupement avec la société publique Sonatrach, en charge de l’exploitation d’un important gisement gazier à Touat, dans la région d’Adrar.
La direction d’Engie a indiqué, plus tôt cette année, réfléchir à se désengager de l’activité de production-exploration. Cette option semble se concrétiser, selon des informations de Bloomberg, citant des personnes proches du dossier ayant souhaité garder l’anonymat, au regard du caractère privé des délibérations.
L’Algérie ferait partie des pays concernés, au même titre que le Royaume-Uni, la Norvège, l’Égypte, l’Allemagne et la région de l’Asie, précise la même source. Pour ces actifs, Engie compte engranger près de 4 milliards de dollars. Au total, le groupe gazier compte se séparer de 15 milliards d’euros d’actifs à travers le monde et réduire ses coûts d’un milliard d’euros à l’horizon 2018, rappelle Bloomberg.
Contacté par TSA, le service de presse d’Engie n’a pas souhaité commenter l’information, se contentant de rappeler que la Direction avait effectivement annoncé réfléchir à une « rotation d’actifs », soit un désengagement de l’activité production-exploration. Interrogé sur les actifs concernés en Algérie et les éventuelles implications d’un retrait du pays, le groupe s’est refusé à tout commentaire.
En Algérie, le gisement d’Adrar devait initialement entrer en production en 2017, avec des réserves de 68,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel et 8,5 millions de baril de condensats, conférant une durée de production de 27 ans, indique le site internet d’Engie.
TSA
Le groupe gazier français Engie, anciennement GDF-Suez, s’apprêterait à vendre ses actifs en Algérie, selon une information de l’agence Bloomberg. L’entreprise est présente dans le pays via un groupement avec la société publique Sonatrach, en charge de l’exploitation d’un important gisement gazier à Touat, dans la région d’Adrar.
La direction d’Engie a indiqué, plus tôt cette année, réfléchir à se désengager de l’activité de production-exploration. Cette option semble se concrétiser, selon des informations de Bloomberg, citant des personnes proches du dossier ayant souhaité garder l’anonymat, au regard du caractère privé des délibérations.
L’Algérie ferait partie des pays concernés, au même titre que le Royaume-Uni, la Norvège, l’Égypte, l’Allemagne et la région de l’Asie, précise la même source. Pour ces actifs, Engie compte engranger près de 4 milliards de dollars. Au total, le groupe gazier compte se séparer de 15 milliards d’euros d’actifs à travers le monde et réduire ses coûts d’un milliard d’euros à l’horizon 2018, rappelle Bloomberg.
Contacté par TSA, le service de presse d’Engie n’a pas souhaité commenter l’information, se contentant de rappeler que la Direction avait effectivement annoncé réfléchir à une « rotation d’actifs », soit un désengagement de l’activité production-exploration. Interrogé sur les actifs concernés en Algérie et les éventuelles implications d’un retrait du pays, le groupe s’est refusé à tout commentaire.
En Algérie, le gisement d’Adrar devait initialement entrer en production en 2017, avec des réserves de 68,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel et 8,5 millions de baril de condensats, conférant une durée de production de 27 ans, indique le site internet d’Engie.
TSA
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