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Vous êtes fou à lier, M Boualem Sansal

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  • Vous êtes fou à lier, M Boualem Sansal

    Boualem Sansal assassine Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Djamila Bouhired , Djamila Boupacha, Ourida Meddad, Djouher Akrour, Yacef Saadi et crache sur la révolution algérienne

    Vous êtes fou à lier, M Boualem Sansal


    Khidr Ali, Algérie1


    Boualem Sansal est un écrivain algérien (malheureusement !) qui aime cultiver le sens de l’iconoclastie, de la provocation, pour exister. C’est son truc à lui, sa signature. L’homme est en effet coutumier des esclandres qui caressent bien souvent dans le sens des clichés de ceux qui font la « promo », en France, à ses écrit pituitaires. Il n’y a pas si longtemps, ce plumitif qui s’arroge le rôle d’opposant ( à qui ? A quoi) s’est rendu en Israël, dans le cadre d’un voyage organisé par une association qui n’est qu’une des façades du puissant lobby sioniste. C’est son problème à la limite. Sauf que M. Sansal a tenu à le faire savoir.

    A son retour, il avait commis un papier dans lequel il décrivait le « bonheur » des palestiniens vivant en Israël, un pays qu’il présente comme un exemple de démocratie et de vivre ensemble. Cet article, comme de juste, a provoqué une vague d’indignation dans le monde arabe et musulman, surtout venant d’un algérien dont le pays a toujours fait de la cause palestinienne une « constante nationale ».

    La célèbre phrase du défunt président Houari Boumediene « avec la Palestine Dhalima aw Madhlouma » résonne toujours dans la conscience des algériens comme un serment de fraternité intemporelle. Après un tel pataquès fou et les effets qu’il a provoqués, on croyait Sansal revenu à la raison, à la mesure. Que nenni ! C’est à croire qu’il y a chez cet écrivaillon une sorte d’incontinence à la provocation. C’est quelque chose de compulsif chez lui. Il vient de « rechuter » ; Mais pour le coup, il est allé loin, très loin. Cela relève quasiment du délire schizophrénique chez cet homme.

    Le sieur Sansal a fait un parallèle monstrueux, indécent, insupportable entre l’action du paumé-déséquilibré-terroriste qui a commis le criminel attentat de Nice et les actes de bravoure révolutionnaire accomplis par les fidayines et fidayates algériens durant la noble Révolution Algérienne. A le suivre dans son faux parallélisme, les Hassiba Ben Bouali, Djamila Bouhired , Djamila Boupacha, Ourida Meddad, Djouher Akrour, qui déposaient les bombes dans les quartiers européens, dans le cadre de la quête de l’indépendance du pays, ne seraient pas moins coupables que le désaxé-criminel de Nice.

    En effet, faisant le parallèle entre l’action du criminel de Nice et les révolutionnaires algériens, Sansal écrit dans une tribune parue sur le journal Le Monde « Sur le plan technique, il y aura des évolutions dans l’action terroriste, il faudra les suivre attentivement. Chaque terrorisme a besoin d’inventer son mode opératoire à lui, qui sera sa signature et qui produira l’effet le plus important pour le coût le plus bas.(…) En Algérie, durant la bataille d’Alger (1957), le FLN après avoir usé de diverses méthodes (attentat au pistolet, égorgement, incendie, le tout improvisé plutôt que réfléchi et planifié…) a trouvé la méthode qui allait être sa signature, qui donnerait l’effet le plus grand (action psychologique sur les populations, nombre de victimes, retentissement médiatique, destruction de lieux qui symboliseraient la vilenie de l’ennemi…), pour le coût le plus bas (la mort éventuelle du terroriste ou du commando). Ce fut l’attentat à la bombe dans des cafés phares de la capitale, très courus par la bourgeoise algéroise (La Cafétéria, Le Milk Bar, L’Otomatic, Le Coq Hardi), commis par de jeunes Algériennes se faisant passer pour des Européennes délurées. »

    Indignité nationale

    Quel outrage pour la mémoire des héros éternels de la bataille d’Alger ? Du révisionnisme ? Ou tout simplement de la vulgaire danse du ventre de la part de cet écrivain pour être dans les bonnes grâces de quelques éditeurs, en vue d’un prix littéraire ?

    Vous êtes fou monsieur Sansal ! Même chez les irréductibles nostalgiques de l’Algérie française, qui sont d’ailleurs très nombreux à Nice n’ont jamais lu ou entendu pareil délire. En vérité, le bon parallèle à faire c’est celui qui existe entre l’écrivain et le terroriste qu’il décrit dans son brûlot paru dans le journal Le Monde.

    Le terroriste tunisien, pris de fanatisme démentiel a écrasé sous les roues d’un camion des dizaines de personnes. Boualem Sansal a fait pire en l’occurrence, il a souillé la mémoire de la Révolution algérienne et la noblesse de sa cause. C’est son mode opératoire qui est sa signature, son truc. A défaut d’être déchu de sa nationalité algérienne, Boualem Sansal doit, à tout le moins être frappé d’indignité nationale. Le seul risque est qu’il pourrait jouer sur le registre victimaire pour décrocher le prochain Goncourt.

  • #2
    Rebonjour Mr Mirou...svp vous pouvez m éclairer un peu sur ce que vous en savez sur Ali la pointe et yacef saadi ? Je vous en serai gré...merci...
    Nb/ mais relisez d'abord votre citation en rouge avant de me répondre...à moins que vous l'ayez mise juste pour faire joli, intello ou presque...

    ______________________________Teo
    Dernière modification par tayeb el Ouatani, 27 juillet 2016, 09h51.
    "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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