Conséquence de la baisse des prix du pétrole : In Salah Gaz va libérer 40% de son personnel étranger
Conséquence de la chute de prix du pétrole, la société In Salah Gaz, propriété de Sonatrach conjointement avec BP et Statoil, va libérer d’ici la fin de l’année en cours 40% de ses effectifs étrangers, a indiqué ce samedi le président directeur général de la société « In Salah Gas » Maazou Slimane.
« Cette décision a été prise de commun accord entre les trois actionnaires dans la société suite au recul des prix du pétrole en vue de réduire les coûts élevés en matière de salaires, de transport, hébergement et de protection », a-t-il affirmé à l’APS en marge d’une visite sur le site de Krechba, cible d’un attentat terroriste en mars dernier.
Selon lui, la réduction se fera autant que possible et le recours aux étrangers ne se fera qu’en cas « d’extrême urgence ». Ces départs seront remplacés par la main d’œuvre algérienne aussi bien pour les cadres que les ingénieurs et les techniciens d’exploitation et de maintenance, a-t-il précisé.
La société emploie actuellement près de 1800 travailleurs au niveau de ses cinq gisements dont 400 travailleurs étrangers, a-t-il indiqué.
Par ailleurs, ce responsable a affirmé que tous les travailleurs étrangers du site de Krechba qui l’ont quitté au lendemain de l’attentat de mars dernier ont repris le travail « depuis longtemps ».
tsa-algerie
Conséquence de la chute de prix du pétrole, la société In Salah Gaz, propriété de Sonatrach conjointement avec BP et Statoil, va libérer d’ici la fin de l’année en cours 40% de ses effectifs étrangers, a indiqué ce samedi le président directeur général de la société « In Salah Gas » Maazou Slimane.
« Cette décision a été prise de commun accord entre les trois actionnaires dans la société suite au recul des prix du pétrole en vue de réduire les coûts élevés en matière de salaires, de transport, hébergement et de protection », a-t-il affirmé à l’APS en marge d’une visite sur le site de Krechba, cible d’un attentat terroriste en mars dernier.
Selon lui, la réduction se fera autant que possible et le recours aux étrangers ne se fera qu’en cas « d’extrême urgence ». Ces départs seront remplacés par la main d’œuvre algérienne aussi bien pour les cadres que les ingénieurs et les techniciens d’exploitation et de maintenance, a-t-il précisé.
La société emploie actuellement près de 1800 travailleurs au niveau de ses cinq gisements dont 400 travailleurs étrangers, a-t-il indiqué.
Par ailleurs, ce responsable a affirmé que tous les travailleurs étrangers du site de Krechba qui l’ont quitté au lendemain de l’attentat de mars dernier ont repris le travail « depuis longtemps ».
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