Des souscripteurs au programme de logement promotionnel public, ont tenu hier, un sit-in, devant le siège du ministère de l’Habitat de l’Urbanisme et de la Ville sis à Didouche Mourad à Alger.
Les revendications de ces derniers, les mêmes depuis le début de leur mécontentement exprimé, consistent, pour rappel, respectivement en la nécessité de revoir le prix du mètre carré jugé trop élevé pour les souscripteurs et le mode paiement, pénalisant au regard de la bourse des demandeurs.
Deux revendications majeures, selon ces derniers, qui, ont décidé, dans un premier élan, de recourir à un désistement collectif. Le sit-in d’hier, tenu par les souscripteurs aux programmes LPP devant le siège ministère, n’est pas le premier. En effet, ce mouvement de protestation fait suite à bien d'autres déjà organisées précédemment et durant lesquels les manifestants ont demandé au ministère de l'Habitat de répondre aux doléances des futurs bénéficiaires des logements LPP.
Cette manifestation intervient au moment où l'entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) a assuré qu'il n'y avait pas de versement de 3e tranche. En effet, dans un communiqué du ministère de l'Habitat, il est clairement indiqué que l'ENPI a annoncé, mercredi dernier, qu'il n'est pas réclamé aux souscripteurs du programme de logement promotionnel public (LPP) le versement d'une troisième tranche. «L'ENPI se contente du versement de la première et deuxième tranche. Il n'y aura pas de troisième tranche, contrairement à ce qui a été rapporté par certains journaux et réseaux sociaux», précise le communiqué.
Les souscripteurs du programme LPP sont tenus de s'acquitter de l'intégralité des montants restant du prix des logements avant la remise des clés. Le souscripteur a le choix de payer comptant, ou recourir au crédit bancaire. L'ENPI affirme que l'acquisition d'un logement promotionnel public est «une opération purement commerciale» et que l'octroi d'un crédit bancaire est une affaire qui concerne uniquement le souscripteur et la banque.
El Moudjahid
Les revendications de ces derniers, les mêmes depuis le début de leur mécontentement exprimé, consistent, pour rappel, respectivement en la nécessité de revoir le prix du mètre carré jugé trop élevé pour les souscripteurs et le mode paiement, pénalisant au regard de la bourse des demandeurs.
Deux revendications majeures, selon ces derniers, qui, ont décidé, dans un premier élan, de recourir à un désistement collectif. Le sit-in d’hier, tenu par les souscripteurs aux programmes LPP devant le siège ministère, n’est pas le premier. En effet, ce mouvement de protestation fait suite à bien d'autres déjà organisées précédemment et durant lesquels les manifestants ont demandé au ministère de l'Habitat de répondre aux doléances des futurs bénéficiaires des logements LPP.
Cette manifestation intervient au moment où l'entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) a assuré qu'il n'y avait pas de versement de 3e tranche. En effet, dans un communiqué du ministère de l'Habitat, il est clairement indiqué que l'ENPI a annoncé, mercredi dernier, qu'il n'est pas réclamé aux souscripteurs du programme de logement promotionnel public (LPP) le versement d'une troisième tranche. «L'ENPI se contente du versement de la première et deuxième tranche. Il n'y aura pas de troisième tranche, contrairement à ce qui a été rapporté par certains journaux et réseaux sociaux», précise le communiqué.
Les souscripteurs du programme LPP sont tenus de s'acquitter de l'intégralité des montants restant du prix des logements avant la remise des clés. Le souscripteur a le choix de payer comptant, ou recourir au crédit bancaire. L'ENPI affirme que l'acquisition d'un logement promotionnel public est «une opération purement commerciale» et que l'octroi d'un crédit bancaire est une affaire qui concerne uniquement le souscripteur et la banque.
El Moudjahid
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