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Le phénomène météorologique El Niño, à l’origine de vagues de sécheresse et de graves inondations depuis 2015 à travers la planète, a pris fin en mai dernier, a indiqué l’Organisation météorologique mondiale (OMM) dans un communiqué.
«Les indicateurs atmosphériques qui révélaient la présence d'un épisode El Niño intense au début de l'année 2016 sont revenus à des valeurs proches de la normale en juin et juillet», a souligné l’agence onusienne.
Le phénomène inverse, La Nina, pourrait se manifester à son tour, mais plus faiblement pendant le troisième trimestre de l’année, en raison notamment d’un refroidissement des eaux du Pacifique.
Selon le secrétaire général de l’OMM, Petteri Taalas, si El Niño qui a fait grimper le thermostat de la Terre a désormais disparu, le changement climatique provoqué par les gaz à effet de serre ne disparaîtra pas.
«Cela signifie que nous sommes confrontés à davantage de vagues de chaleur, à davantage de précipitations diluviennes et à des cyclones tropicaux dont l'impact est potentiellement supérieur», a-t-il expliqué.
El Niño, qui se produit tous les 4 ou 5 ans avec une intensité variable, atteint son intensité maximale vers la fin de l'année, d'où son nom qui signifie «l'enfant Jésus» en espagnol.
De l’avis des climatologues de l’agence américaine Nasa, les six premiers mois de 2016 ont été de loin les plus chauds sur le globe dans les annales, le mercure étant en passe de battre un nouveau record pour l'année.
Au cours de cette même période, les concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ont dépassé le seuil symbolique des 400 parties par million (ppm).
-Elles ont augmenté de façon significative pendant les premiers mois de 2016 pour atteindre 407 ppm en juin 2016, soit 4 ppm de plus qu'en juin 2015. El Nino a provoqué de graves sécheresses dans l'est de l'Afrique, notamment en Ethiopie, Malawi, Mozambique et Zimbabwe.
Selon l'ONG Save the Children (Sauvez les enfants), 26,5 millions d'enfants risquent de souffrir de malnutrition, du manque d'eau et de maladies dans ces régions.
le matin
«Les indicateurs atmosphériques qui révélaient la présence d'un épisode El Niño intense au début de l'année 2016 sont revenus à des valeurs proches de la normale en juin et juillet», a souligné l’agence onusienne.
Le phénomène inverse, La Nina, pourrait se manifester à son tour, mais plus faiblement pendant le troisième trimestre de l’année, en raison notamment d’un refroidissement des eaux du Pacifique.
Selon le secrétaire général de l’OMM, Petteri Taalas, si El Niño qui a fait grimper le thermostat de la Terre a désormais disparu, le changement climatique provoqué par les gaz à effet de serre ne disparaîtra pas.
«Cela signifie que nous sommes confrontés à davantage de vagues de chaleur, à davantage de précipitations diluviennes et à des cyclones tropicaux dont l'impact est potentiellement supérieur», a-t-il expliqué.
El Niño, qui se produit tous les 4 ou 5 ans avec une intensité variable, atteint son intensité maximale vers la fin de l'année, d'où son nom qui signifie «l'enfant Jésus» en espagnol.
De l’avis des climatologues de l’agence américaine Nasa, les six premiers mois de 2016 ont été de loin les plus chauds sur le globe dans les annales, le mercure étant en passe de battre un nouveau record pour l'année.
Au cours de cette même période, les concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ont dépassé le seuil symbolique des 400 parties par million (ppm).
-Elles ont augmenté de façon significative pendant les premiers mois de 2016 pour atteindre 407 ppm en juin 2016, soit 4 ppm de plus qu'en juin 2015. El Nino a provoqué de graves sécheresses dans l'est de l'Afrique, notamment en Ethiopie, Malawi, Mozambique et Zimbabwe.
Selon l'ONG Save the Children (Sauvez les enfants), 26,5 millions d'enfants risquent de souffrir de malnutrition, du manque d'eau et de maladies dans ces régions.
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