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Un documentaire choc qui glace le sang (Arte)
Un documentaire qui décrypte l'interdépendance entre les plus hautes sphères de l'Etat, le milieu des affaires et le grand bandistisme russe.
Quoi ? Trois grands mafieux russes racontent leur ascension fulgurante au début de la perestroïka et dévoilent le code d'honneur des vory v zakone, les "voleurs dans la loi". Leur témoignage est inédit, l'un d'entre eux est encore activement recherché par Interpol.
Et donc ? Le documentaire décrypte l'interdépendance entre les plus hautes sphères de l'Etat, le milieu des affaires et le grand bandistisme. Les interviewés enchaînent des récits de violence qui glacent le sang et affichent un côté m'as-tu vu qui fait rire - pas trop non plus. On est entre Les Promesses de l'ombre, de David Cronenberg et Le Parrain, de Francis Ford Coppola.
En vieillissant, ces truands cherchent à légaliser une activité économique qui génère des millions d'euros afin de finir leurs jours en paix.
La mafia russe n'a jamais été structurée verticalement, mais est constituée d'une myriade d'organisations ancrées au plan local ou régional, voire à l'échelle d'une province ou d'une République. Chaque groupe, fortement hiérarchisé, se recrute généralement dans une ethnie donnée et possède sa spécialité : criminalité économique, trafic d'êtres humains ou de drogues, proxénétisme, ou encore racket. Du code d'honneur des brigands du XIXe siècle aux assassinats crapuleux d'aujourd'hui, la mafia russe n'a cessé dévoluer.
Depuis le démantèlement de l'URSS, elle a essaimé dans le monde entier. Alimzhan Tokhtakhounov, dit le «Taïwanais», Leonid «Macintosh» Bilounov et Vitaly Diomotchka, trois «parrains», ont accepté de témoigner.
Un documentaire qui décrypte l'interdépendance entre les plus hautes sphères de l'Etat, le milieu des affaires et le grand bandistisme russe.
Quoi ? Trois grands mafieux russes racontent leur ascension fulgurante au début de la perestroïka et dévoilent le code d'honneur des vory v zakone, les "voleurs dans la loi". Leur témoignage est inédit, l'un d'entre eux est encore activement recherché par Interpol.
Et donc ? Le documentaire décrypte l'interdépendance entre les plus hautes sphères de l'Etat, le milieu des affaires et le grand bandistisme. Les interviewés enchaînent des récits de violence qui glacent le sang et affichent un côté m'as-tu vu qui fait rire - pas trop non plus. On est entre Les Promesses de l'ombre, de David Cronenberg et Le Parrain, de Francis Ford Coppola.
En vieillissant, ces truands cherchent à légaliser une activité économique qui génère des millions d'euros afin de finir leurs jours en paix.
La mafia russe n'a jamais été structurée verticalement, mais est constituée d'une myriade d'organisations ancrées au plan local ou régional, voire à l'échelle d'une province ou d'une République. Chaque groupe, fortement hiérarchisé, se recrute généralement dans une ethnie donnée et possède sa spécialité : criminalité économique, trafic d'êtres humains ou de drogues, proxénétisme, ou encore racket. Du code d'honneur des brigands du XIXe siècle aux assassinats crapuleux d'aujourd'hui, la mafia russe n'a cessé dévoluer.
Depuis le démantèlement de l'URSS, elle a essaimé dans le monde entier. Alimzhan Tokhtakhounov, dit le «Taïwanais», Leonid «Macintosh» Bilounov et Vitaly Diomotchka, trois «parrains», ont accepté de témoigner.