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Algérie : encore de l’austérité dans la loi de finances de 2017

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  • Algérie : encore de l’austérité dans la loi de finances de 2017

    Dans le cadre de la loi de finances pour 2017, qui sera présentée au Parlement entre octobre et novembre, le gouvernement algérien envisage d’instaurer de nouvelles hausses sur le prix des carburants, de l’eau, du gaz et de l’électricité.

    En revanche, une majoration du prix des produits de première nécessité (pain, huile, lait…), qui bénéficient du soutien de l’État, n’est pas envisagée.

    Par ailleurs, le Premier ministre a demandé au ministère des Finances, chargé de l’élaboration de cette loi, de faire en sorte que la facture des importations ne dépasse pas 25 milliards de dollars (elles avaient atteint 51 milliards en 2015). Confrontées à une grave crise financière due à l’effondrement des revenus pétroliers, les autorités ont déjà eu recours, en 2016, à des hausses limitées des tarifs des carburants et de l’électricité.

    Jeune Afrique
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    le Premier ministre a demandé au ministère des Finances, chargé de l’élaboration de cette loi, de faire en sorte que la facture des importations ne dépasse pas 25 milliards de dollars
    Prix Nobel hada..

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    • #3
      A 25 MM$ d'importation ca sera la famine ... pénurie d’essence ... le KO pour les revendeurs de tout sorte de produits.

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      • #4
        mediteraneo
        Prix Nobel hada..
        Celui qui a écrit l'article ???? Surement ,c'est largement mérité !!!

        Quel est le rapport de la loi de finance avec les importations ???

        Payer des droits de douanes et des taxes qui vont au trésor .
        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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        • #5
          AARROU

          Tu ne peux pas passer de 51 MMUS$ à 25 MMUS$ en un an sans qu'il y ait des conséquences grave pour l'économie du pays, les intrants pour l'industrie, la consommation et donc les taxes dessus,.. bref on ne réduit pas les besoins d'un pays de moitié en une année.. Ces 26 MMUS$ manquantes, il faut les produire ce qui est impossible..

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          • #6
            mediteraneo

            Tu ne peux pas passer de 51 MMUS$ à 25 MMUS$ en un an sans qu'il y ait des conséquences grave pour l'économie du pays, les intrants pour l'industrie, la consommation et donc les taxes dessus,..
            Tu n'as pas compris ma remarque .

            Et comment la loi de finance peut limiter les importations ???

            Augmenter les droits de douanes ??? Ce n'est vraiment pas un frein pour les importations .

            Alors comment les limiter ??? Le journaliste qui a écrit ça mérite vraiment le prix Nobel de l'économie Sellal lui n'a rien dit de tel .
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #7
              AARROU

              Même avec des droits de douane tu n'arriveras jamais à diviser par deux le montant des importations en une année. Il y a certes les mesures radicales (limitation des importations de voitures), mais ça ne résout toujours pas le problème: taux d'intégration local de Renault très bas donc importation qd même, création de monopole.. et j'en passe. Ce que je veux dire c'est ce n'est pas une question qui se décrète et c'est ce que semble demander Sellal..

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              • #8
                Ce que je veux dire c'est ce n'est pas une question qui se décrète et c'est ce que semble demander Sellal..
                Sellal n'a rien dit de tel !! Alors ?

                Pour agir sur les importations on agit par le taux de change et non pas par la loi de finance .

                Le commerce extérieur n'est pas du domaine de la loi de finance,mais de la loi monétaire .

                Et cette fois j’espère que tu as compris que c'est du vent ce que vend le vieux Afrique avec cet article .
                "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                • #9
                  AARROU
                  je n'ai fait que répondre à tes interrogations.. je n'ai pas commenté une loi de finance qui n'existe pas encore.. by the way, limiter les importations n'est pas uniquement modifier les taux de change.. les mécanismes sont multiples..

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                  • #10
                    Je doute de la véracité de ce que rapporte Jeune Afrique.

                    Néanmoins, dans le cas de l'Algérie et au jour d'aujourd'hui, l'amélioration de la balance commerciale est plus facile (parce que plus immédiate) en agissant sur les importations que sur les exportations.

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                    • #11
                      jawzia
                      Je doute de la véracité de ce que rapporte Jeune Afrique.
                      C'est comme croire ce que rapporte le MAkhnez !!!
                      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                      • #12
                        Je pense qu'il esg plus judicieux de developper les exportations que de limiter les importations

                        Mais c'est bcp plus difficile je le concede

                        Mais a terme c'est ce quil faut faire
                        et dans l'urgence on n'a veritablement la main que sur les importations

                        Pour ce faire il y a le gaux de change
                        il faut laisser filer le dinar
                        Mais pas trop
                        .
                        .
                        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                        Napoléon III

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                        • #13

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