L' Espagne a un problème avec ses îles. Les archipels de Charafinas et d’Al Hoceima, situés au nord des côtes marocaines, sont pris d’assaut tantôt par des immigrés subsahariens, tantôt par des nationalistes marocains qui les revendiquent.
Sur son blog édité par El Pais, le journaliste espagnol Ignacio Cembrero argumente en faveur d’une cession de ces îlots au royaume du Maroc.
Selon lui, l’époque où des voyageurs les visitaient étant révolue, l’Espagne n’aurait plus aucun intérêt à les garder. D’autant plus que ces îlots volcaniques n’appartiennent à aucune région ni province du pays. Autant donc, selon lui, les céder au Maroc, et se débarrasser en même temps des problémes qu’ils peuvent causer.
Nombreux sont d’ailleurs les chefs d’Etat espagnols qui, depuis le XVIIIe siècle, y ont déjà songé, sans jamais oser franchir le pas, de peur, selon Ignacio Cembrero, de devoir ensuite remettre au Maroc les villes espagnoles de Ceuta et Melilla.
Ceuta et Melilla qui, bien qu'attirant les convoitises marocaines, sont et doivent rester espagnoles pour la simple et bonne raison que la majorité de leurs 160.000 habitants veut rester espagnole, explique le journaliste. :22:
Source: Slate afrique/ 14/9/ 2012
Sur son blog édité par El Pais, le journaliste espagnol Ignacio Cembrero argumente en faveur d’une cession de ces îlots au royaume du Maroc.
Selon lui, l’époque où des voyageurs les visitaient étant révolue, l’Espagne n’aurait plus aucun intérêt à les garder. D’autant plus que ces îlots volcaniques n’appartiennent à aucune région ni province du pays. Autant donc, selon lui, les céder au Maroc, et se débarrasser en même temps des problémes qu’ils peuvent causer.
Nombreux sont d’ailleurs les chefs d’Etat espagnols qui, depuis le XVIIIe siècle, y ont déjà songé, sans jamais oser franchir le pas, de peur, selon Ignacio Cembrero, de devoir ensuite remettre au Maroc les villes espagnoles de Ceuta et Melilla.
Ceuta et Melilla qui, bien qu'attirant les convoitises marocaines, sont et doivent rester espagnoles pour la simple et bonne raison que la majorité de leurs 160.000 habitants veut rester espagnole, explique le journaliste. :22:
Source: Slate afrique/ 14/9/ 2012
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