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Une entente préliminaire pour un prêt de 12 milliards de dollars a été signé jeudi. L'économie du pays est très affectée depuis 2011.
Le Fonds monétaire international (FMI) et Le Caire ont annoncé jeudi avoir conclu une entente préliminaire pour un prêt de 12 milliards de dollars (11,58 milliards de francs) sur trois ans pour soutenir l'économie de l'Egypte en grande difficulté.
Ce prêt, qui doit encore être avalisé par le Conseil d'administration du FMI selon un communiqué commun lu par le chef de la délégation du FMI au Caire, devrait notamment permettre au plus peuplé des pays arabes de tenter de redresser son économie vacillante.
Réserves en devise
Depuis la révolte populaire qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir en 2011, l'économie est en effet très affectée par l'instabilité politique et les violences qui secouent le pays.
Les réserves en devises ont littéralement fondu en près de cinq ans, la livre égyptienne s'est effondrée et l'inflation a battu en 2016 un record qui datait de près de 8 ans, avec près de 14% en glissement annuel en juin.
L'annonce de cette entente, «au niveau des experts» pour l'heure, a été lue en conférence de presse par Chris Jarvis, qui mène une délégation du FMI venue négocier au Caire depuis le 30 juillet.
Conditions drastiques
Dans un premier temps, aucun détail n'a été livré sur les conditions à remplir pour le gouvernement égyptien pour obtenir ce prêt, que la presse égyptienne et les experts internationaux anticipent drastiques et douloureuses pour la population.
L'Egypte avait officiellement demandé un «soutien financier» au FMI le 27 juillet dernier, «pour accompagner son programme économique».
20 minutes
Le Fonds monétaire international (FMI) et Le Caire ont annoncé jeudi avoir conclu une entente préliminaire pour un prêt de 12 milliards de dollars (11,58 milliards de francs) sur trois ans pour soutenir l'économie de l'Egypte en grande difficulté.
Ce prêt, qui doit encore être avalisé par le Conseil d'administration du FMI selon un communiqué commun lu par le chef de la délégation du FMI au Caire, devrait notamment permettre au plus peuplé des pays arabes de tenter de redresser son économie vacillante.
Réserves en devise
Depuis la révolte populaire qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir en 2011, l'économie est en effet très affectée par l'instabilité politique et les violences qui secouent le pays.
Les réserves en devises ont littéralement fondu en près de cinq ans, la livre égyptienne s'est effondrée et l'inflation a battu en 2016 un record qui datait de près de 8 ans, avec près de 14% en glissement annuel en juin.
L'annonce de cette entente, «au niveau des experts» pour l'heure, a été lue en conférence de presse par Chris Jarvis, qui mène une délégation du FMI venue négocier au Caire depuis le 30 juillet.
Conditions drastiques
Dans un premier temps, aucun détail n'a été livré sur les conditions à remplir pour le gouvernement égyptien pour obtenir ce prêt, que la presse égyptienne et les experts internationaux anticipent drastiques et douloureuses pour la population.
L'Egypte avait officiellement demandé un «soutien financier» au FMI le 27 juillet dernier, «pour accompagner son programme économique».
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