Près de deux mois après le vote des Britanniques en faveur du Brexit, les consommateurs commencent à ressentir les premiers effets de ce vote sur les prix.
L'effet le plus évident et immédiat du Brexit a bien sûr été la chute de la devise. En deux mois la livre sterling a perdu entre 10 et 15% de sa valeur face à l'euro ou au dollar.
Une dépréciation qui représente un manque à gagner pour les sociétés qui vendent au Royaume-Uni des biens produits à l'étranger. Des sociétés qui du coup ont décidé de répercuter à leur tour cette différence.
Ainsi Peugeot, le constructeur français d'automobile, a augmenté au début de ce mois de 2% en moyenne les tarifs de ses voitures Peugeot, Citroën et DS. Le groupe informatique Dell a également augmenté le prix de ses composants, libellés en dollars, et le groupe britannique Headlam a fait de même avec ses moquettes et autres revêtements de sols pour la maison importés des Pays-Bas et de Belgique.
Un des secteurs les plus étroitement surveillés, c'est celui de l'alimentation. Au Royaume-Uni en effet 40% de ce que l'on mange est importé. Le panier moyen aurait augmenté de 1% au mois de juillet.
RFI
L'effet le plus évident et immédiat du Brexit a bien sûr été la chute de la devise. En deux mois la livre sterling a perdu entre 10 et 15% de sa valeur face à l'euro ou au dollar.
Une dépréciation qui représente un manque à gagner pour les sociétés qui vendent au Royaume-Uni des biens produits à l'étranger. Des sociétés qui du coup ont décidé de répercuter à leur tour cette différence.
Ainsi Peugeot, le constructeur français d'automobile, a augmenté au début de ce mois de 2% en moyenne les tarifs de ses voitures Peugeot, Citroën et DS. Le groupe informatique Dell a également augmenté le prix de ses composants, libellés en dollars, et le groupe britannique Headlam a fait de même avec ses moquettes et autres revêtements de sols pour la maison importés des Pays-Bas et de Belgique.
Un des secteurs les plus étroitement surveillés, c'est celui de l'alimentation. Au Royaume-Uni en effet 40% de ce que l'on mange est importé. Le panier moyen aurait augmenté de 1% au mois de juillet.
RFI