Alger parmi les 10 villes les moins vivables au monde
La capitale de l’Algérie hérite de la 134e place (sur 140) dans le classement des villes les plus vivables dans le monde. Le magazine économique britannique The Economist a publié, ce jeudi 18 août, son classement annuel mondial. Alger obtient un score de 40,9 sur un maximum idéal de 100 points.
Aucune évolution
Le magazine britannique prend en compte cinq paramètres pour noter les 140 villes étudiées. Il s’agit de la « stabilité », la « santé », la « culture et l’environnement », « l’éducation » et les « infrastructures ». Alger se voit attribuer des scores de 40/100 pour la stabilité, 45,8 pour la santé, 42,6 pour la culture et l’environnement, 50 (le plus haut score pour Alger) pour l’éducation et 30,4 pour les infrastructures
Seules cinq villes font pire, à savoir Port Moresby (Papouasie Nouvelle Guinée), Dhaka (Bangladesh), Lagos (Nigéria), Tripoli (Libye) et Damas (Syrie). Ces deux dernières pâtissent de la situation sécuritaire et politique dans ces pays en proie au chaos.
Les villes les plus vivables restent, dans l’ordre : Melbourne (Australie), Vienne (Autriche) et Vancouver (Canada). Le géant nord-américain place trois villes dans le top 5, avec Toronto (4e) et Calgary (5e).
Dans con classement précédent, The Economist Intelligence Unit (EIU) octroyait déjà le même classement à la plus grande ville du pays (134e), ce qui dénote d’une absence d’évolution depuis 2015
tsa-algerie
La capitale de l’Algérie hérite de la 134e place (sur 140) dans le classement des villes les plus vivables dans le monde. Le magazine économique britannique The Economist a publié, ce jeudi 18 août, son classement annuel mondial. Alger obtient un score de 40,9 sur un maximum idéal de 100 points.
Aucune évolution
Le magazine britannique prend en compte cinq paramètres pour noter les 140 villes étudiées. Il s’agit de la « stabilité », la « santé », la « culture et l’environnement », « l’éducation » et les « infrastructures ». Alger se voit attribuer des scores de 40/100 pour la stabilité, 45,8 pour la santé, 42,6 pour la culture et l’environnement, 50 (le plus haut score pour Alger) pour l’éducation et 30,4 pour les infrastructures
Seules cinq villes font pire, à savoir Port Moresby (Papouasie Nouvelle Guinée), Dhaka (Bangladesh), Lagos (Nigéria), Tripoli (Libye) et Damas (Syrie). Ces deux dernières pâtissent de la situation sécuritaire et politique dans ces pays en proie au chaos.
Les villes les plus vivables restent, dans l’ordre : Melbourne (Australie), Vienne (Autriche) et Vancouver (Canada). Le géant nord-américain place trois villes dans le top 5, avec Toronto (4e) et Calgary (5e).
Dans con classement précédent, The Economist Intelligence Unit (EIU) octroyait déjà le même classement à la plus grande ville du pays (134e), ce qui dénote d’une absence d’évolution depuis 2015
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