Ce qui, au demeurant, serait impossible. En effet tout pays africain est fondé à requérir son adhésion à l'Union africaine dans la mesure où il n'enfreint pas aux statuts de l'Organisation.
De surcroît, on voit mal Alger et Pretoria mettre "des bâtons dans les roues" à l'hypothèse d'une adhésion marocaine à l'UA et ceci ne serait que pour mercantilisme d'égard à la contribution financière obligée au royaume chérifien.
En revanche, il est légitime que si le Maroc pose la condition de l'exclusion de la RASD pour son retour, alors il n'est pas le bienvenu!
_________________________
Un communiqué signé au nom de l'Union africaine mais concocté par la présidente sud-africaine de la Commission de l'UA, Dlamini Zuma, à l'instigation d'Alger, prend à rebours la décision du retour conditionné à l'expulsion de la "RASD" officialisée par le Maroc le 17 juillet dernier. Eclairage.
La décision du Maroc de réintégrer l’Union africaine revient au devant de l’actualité. Un communiqué vient d’être diffusé au nom de l’UA, à l’issue d’une réunion vendredi dernier du Conseil de sécurité et de paix (CSP), soulignant «la nécessité pour tout pays désireux d’adhérer à l’UA de respecter les conditions fixées par l’acte constitutif de l’organisation panafricaine, notamment les articles 27 et 29».
Ce communiqué, diffusé au nom de l’UA, vise, sans le nommer, le Maroc qui a officialisé sa décision de réintégrer l’Union africaine, le 17 juillet dernier, lors du 27ème Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement africains qui s’est tenu à Kigali, la capitale rwandaise.
Décryptons! Ce communiqué, bidouillé par Alger-Pretoria-Abuja, résolument hostiles à l’intégrité territoriale du royaume, se veut une riposte à la décision du retour du Maroc à l’UA, conditionné à l’expulsion de la «RASD». Autrement dit, le retour du Maroc au sein de l’UA ne saurait se faire au détriment de l’entité séparatiste.
Cette position, venant d’Alger, Pretoria, ou plus encore Abuja (Nigeria), ne serait pas étonnante. Mais ce qui l'est à coup sûr, c’est l’unilatéralisme de cet axe qui se comporte comme si l’Union africaine était sa «chasse gardée» !
Source: le 360
De surcroît, on voit mal Alger et Pretoria mettre "des bâtons dans les roues" à l'hypothèse d'une adhésion marocaine à l'UA et ceci ne serait que pour mercantilisme d'égard à la contribution financière obligée au royaume chérifien.
En revanche, il est légitime que si le Maroc pose la condition de l'exclusion de la RASD pour son retour, alors il n'est pas le bienvenu!
_________________________
Un communiqué signé au nom de l'Union africaine mais concocté par la présidente sud-africaine de la Commission de l'UA, Dlamini Zuma, à l'instigation d'Alger, prend à rebours la décision du retour conditionné à l'expulsion de la "RASD" officialisée par le Maroc le 17 juillet dernier. Eclairage.
La décision du Maroc de réintégrer l’Union africaine revient au devant de l’actualité. Un communiqué vient d’être diffusé au nom de l’UA, à l’issue d’une réunion vendredi dernier du Conseil de sécurité et de paix (CSP), soulignant «la nécessité pour tout pays désireux d’adhérer à l’UA de respecter les conditions fixées par l’acte constitutif de l’organisation panafricaine, notamment les articles 27 et 29».
Ce communiqué, diffusé au nom de l’UA, vise, sans le nommer, le Maroc qui a officialisé sa décision de réintégrer l’Union africaine, le 17 juillet dernier, lors du 27ème Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement africains qui s’est tenu à Kigali, la capitale rwandaise.
Décryptons! Ce communiqué, bidouillé par Alger-Pretoria-Abuja, résolument hostiles à l’intégrité territoriale du royaume, se veut une riposte à la décision du retour du Maroc à l’UA, conditionné à l’expulsion de la «RASD». Autrement dit, le retour du Maroc au sein de l’UA ne saurait se faire au détriment de l’entité séparatiste.
Cette position, venant d’Alger, Pretoria, ou plus encore Abuja (Nigeria), ne serait pas étonnante. Mais ce qui l'est à coup sûr, c’est l’unilatéralisme de cet axe qui se comporte comme si l’Union africaine était sa «chasse gardée» !
Source: le 360
Commentaire