Le juge fédéral américain Emmet Sullivan a ordonné à Hillary Clinton de répondre par écrit à une série de questions au sujet des courriels dans son serveur, questions posées par une organisation conservatrice , une affaire susceptible de nuire à la candidature de la démocrate aux la présidentielles.
La justice américaine s'est déjà prononcée sur le sujet et avait décidé qu'elle ne poursuivrait pas Mme Clinton pour avoir utilisé ses serveurs personnels pour sa messagerie de courriels durant son passage au secrétariat d'état.
L'organisation Judicial Watch a toutefois décidé d'engager des poursuites contre la candidate dans ce dossier.
La Judicial Watch, exige qu'Hillary Clinton témoigne en personne, et que la la candidate devra répondre sous 30 jours par écrit aux questions posées par, l'association, indique le jugement de deux pages rendu vendredi par ce juge fédéral.
La ministre de la Justice Loretta Lynch avait expliqué en juillet que la décision de ne pas inculper Mme Clinton se basant sur les recommandations du FBI, James Comey, le patron de cette organisation, avait cependant déclaré que l'enquête du FBI avait établi que Mme Clinton avait été extrêmement négligente en envoyant des informations secrètes depuis son compte courriel personnel lorsqu'elle était à la tête de la diplomatie américaine entre 2009 et 2013.
L'affaire est considérée comme une occasion ultime par ses opposants et mettre en doute la fiabilité et la sincérité de Mme Clinton.
Ces nouvelles poursuites engagées par Judicial Watch risquent d'entraver la course à la Maison-Blanche, à un peu trois mois du jour J.
Résumé.
La justice américaine s'est déjà prononcée sur le sujet et avait décidé qu'elle ne poursuivrait pas Mme Clinton pour avoir utilisé ses serveurs personnels pour sa messagerie de courriels durant son passage au secrétariat d'état.
L'organisation Judicial Watch a toutefois décidé d'engager des poursuites contre la candidate dans ce dossier.
La Judicial Watch, exige qu'Hillary Clinton témoigne en personne, et que la la candidate devra répondre sous 30 jours par écrit aux questions posées par, l'association, indique le jugement de deux pages rendu vendredi par ce juge fédéral.
La ministre de la Justice Loretta Lynch avait expliqué en juillet que la décision de ne pas inculper Mme Clinton se basant sur les recommandations du FBI, James Comey, le patron de cette organisation, avait cependant déclaré que l'enquête du FBI avait établi que Mme Clinton avait été extrêmement négligente en envoyant des informations secrètes depuis son compte courriel personnel lorsqu'elle était à la tête de la diplomatie américaine entre 2009 et 2013.
L'affaire est considérée comme une occasion ultime par ses opposants et mettre en doute la fiabilité et la sincérité de Mme Clinton.
Ces nouvelles poursuites engagées par Judicial Watch risquent d'entraver la course à la Maison-Blanche, à un peu trois mois du jour J.
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