Allons dans cette maison où habite l’oubli
où règne l’insouciance et parfois l’insomnie
avec le vice abandonné et le gracieux silence.
Vers ces torrents
de feux éteints, rallumés et parsemés
je m’avance aveugle et muet,
sans barrière sonores
ni joies multicolores
Déjà je sens que tu t’impatientes.
La nuit est pourtant vaste et nue,
plus illuminée encore
que l’aube de la transition.
elle s’achève parfois
en une journée nue et déserte.
Ton visage impassible et fier
contraste avec le tourbillon,
le naufrage de mes paroles.
Sans que je m’en aperçoive, tu susurres :
— N’attends plus. Emmène-moi.
Emmène-moi dans cette maison où habite l’oubli.
par O. Arezki
où règne l’insouciance et parfois l’insomnie
avec le vice abandonné et le gracieux silence.
Vers ces torrents
de feux éteints, rallumés et parsemés
je m’avance aveugle et muet,
sans barrière sonores
ni joies multicolores
Déjà je sens que tu t’impatientes.
La nuit est pourtant vaste et nue,
plus illuminée encore
que l’aube de la transition.
elle s’achève parfois
en une journée nue et déserte.
Ton visage impassible et fier
contraste avec le tourbillon,
le naufrage de mes paroles.
Sans que je m’en aperçoive, tu susurres :
— N’attends plus. Emmène-moi.
Emmène-moi dans cette maison où habite l’oubli.
par O. Arezki
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