Tweet
Par Hakim Laâlam
Football. Pour un championnat plus attrayant, ce ne sont
pas les flics qui doivent quitter le stade. Mais les…
… joueurs !
Je lis que la ministre de l’Education a le soutien du Palais et du châtelain en personne face aux attaques des partis islamistes. Moi, je veux bien ! D’abord, parce que je trouve cette dame de fer formidable dans ce qu’elle a entrepris. C’est mon avis. Et je l’assume, puisque mon espace est tout, sauf celui de l’objectivité. Alors, oui ! Je la trouve formidable et echah dans la tronche des barbus. Ensuite, parce que l’enjeu de l’école est effectivement la clé.
Ceci posé sur la table, me reste sur les bras un casse-tête : par quel miracle un châtelain qui, par toutes les pores de son Palais, a fait la promotion de l’islamisme, allant jusqu’à encenser les Frères des Montagnes, à les décorer des signes d’honorabilité les plus clinquants et à les réinjecter dans la vie «civile» avec arriérés et cigare au bec, se lève aujourd’hui de manière aussi énergique pour défendre Benghabrit face à la meute islamiste ? S’est-il seulement levé ? De forts indices donnent à lire une option franche de soutien à la ministre dans sa politique d’extraction de l’école algérienne des griffes poilues des barbus. C’est une option lourde. Peut-être même la plus lourde depuis 1999 et une autre décision. Diamétralement opposée ! Celle de la réhabilitation des islamistes et celle de l’épongeage de leurs crimes. D’où ma question réitérée : un même homme peut-il être l’auteur de deux actions aussi aux antipodes l’une de l’autre ? Je ne connais pas le personnage. Ceux qui le connaissent disent qu’il peut effectivement déjeuner avec le feu et dîner avec l’eau, dans la même journée. Peut-être ! Ou peut-être pas ! J’ose, du bout de mes pitreries, émettre une absurdité comme celles que je balance ici quotidiennement : peut-être que la succession en est à un stade plus avancée, beaucoup plus avancé, vachement plus avancé que certains ne le pensent. Et du coup, des dossiers comme celui de l’école se géreraient autrement, parce que déjà entre d’autres mains. Au final, et comme à chaque jour suffit sa peine, l’option actuelle de soutien franc à la ministre me botte. Même si je la sais fragile. Tant pis ! Je prends ce que j’ai sous la dent. Et je croque avec plaisir cette grosse part du gâteau, l’école républicaine, enlevée de la bouche puante des islamistes ! Tout en fumant du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue.
H. L.
Football. Pour un championnat plus attrayant, ce ne sont
pas les flics qui doivent quitter le stade. Mais les…
… joueurs !
Je lis que la ministre de l’Education a le soutien du Palais et du châtelain en personne face aux attaques des partis islamistes. Moi, je veux bien ! D’abord, parce que je trouve cette dame de fer formidable dans ce qu’elle a entrepris. C’est mon avis. Et je l’assume, puisque mon espace est tout, sauf celui de l’objectivité. Alors, oui ! Je la trouve formidable et echah dans la tronche des barbus. Ensuite, parce que l’enjeu de l’école est effectivement la clé.
Ceci posé sur la table, me reste sur les bras un casse-tête : par quel miracle un châtelain qui, par toutes les pores de son Palais, a fait la promotion de l’islamisme, allant jusqu’à encenser les Frères des Montagnes, à les décorer des signes d’honorabilité les plus clinquants et à les réinjecter dans la vie «civile» avec arriérés et cigare au bec, se lève aujourd’hui de manière aussi énergique pour défendre Benghabrit face à la meute islamiste ? S’est-il seulement levé ? De forts indices donnent à lire une option franche de soutien à la ministre dans sa politique d’extraction de l’école algérienne des griffes poilues des barbus. C’est une option lourde. Peut-être même la plus lourde depuis 1999 et une autre décision. Diamétralement opposée ! Celle de la réhabilitation des islamistes et celle de l’épongeage de leurs crimes. D’où ma question réitérée : un même homme peut-il être l’auteur de deux actions aussi aux antipodes l’une de l’autre ? Je ne connais pas le personnage. Ceux qui le connaissent disent qu’il peut effectivement déjeuner avec le feu et dîner avec l’eau, dans la même journée. Peut-être ! Ou peut-être pas ! J’ose, du bout de mes pitreries, émettre une absurdité comme celles que je balance ici quotidiennement : peut-être que la succession en est à un stade plus avancée, beaucoup plus avancé, vachement plus avancé que certains ne le pensent. Et du coup, des dossiers comme celui de l’école se géreraient autrement, parce que déjà entre d’autres mains. Au final, et comme à chaque jour suffit sa peine, l’option actuelle de soutien franc à la ministre me botte. Même si je la sais fragile. Tant pis ! Je prends ce que j’ai sous la dent. Et je croque avec plaisir cette grosse part du gâteau, l’école républicaine, enlevée de la bouche puante des islamistes ! Tout en fumant du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue.
H. L.
Commentaire