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Agence Ecofin) - Au Maroc, Qatar Petroleum et Chevron viennent de conclure la cession de 30% des participations détenues par la filiale marocaine de Chevron sur trois blocs offshore à la compagnie nationale qatarie en charge des hydrocarbures.
L’opération, annoncée en février dernier par les deux parties, permettra à Chevron de conserver désormais 45% de parts sur les blocs Cap Rhir, Cap Cantin et Cap Walidia, tous situés au large d’Agadir, ainsi que le statut d’opérateur. Qatar Petroleum détient maintenant 30% de ces blocs et l'Office national des hydrocarbures et des mines (Onhym), le reste. Le montant de la transaction n’a toutefois pas été communiqué.
Pour Saad Sherida Al-Kaabi (photo), PDG de Qatar Petroleum, la conclusion de cet accord est un pas important vers la construction d'une relation mutuellement bénéfique avec Chevron, en mettant notamment un accent particulier sur les activités upstream internationales. Avec une industrie gazière en pleine évolution qui attire actuellement beaucoup d’investissements, le Maroc fait en effet partie des marchés sur lesquels compte le pays du Golfe pour se développer à l’étranger.
Les trois blocs, objets de la cession, s’étendent sur une superficie de 29 200 km², à une profondeur d’eau allant de 100 à 4 500 mètres, et regorgent d’un important potentiel en hydrocarbures selon les experts
L’opération, annoncée en février dernier par les deux parties, permettra à Chevron de conserver désormais 45% de parts sur les blocs Cap Rhir, Cap Cantin et Cap Walidia, tous situés au large d’Agadir, ainsi que le statut d’opérateur. Qatar Petroleum détient maintenant 30% de ces blocs et l'Office national des hydrocarbures et des mines (Onhym), le reste. Le montant de la transaction n’a toutefois pas été communiqué.
Pour Saad Sherida Al-Kaabi (photo), PDG de Qatar Petroleum, la conclusion de cet accord est un pas important vers la construction d'une relation mutuellement bénéfique avec Chevron, en mettant notamment un accent particulier sur les activités upstream internationales. Avec une industrie gazière en pleine évolution qui attire actuellement beaucoup d’investissements, le Maroc fait en effet partie des marchés sur lesquels compte le pays du Golfe pour se développer à l’étranger.
Les trois blocs, objets de la cession, s’étendent sur une superficie de 29 200 km², à une profondeur d’eau allant de 100 à 4 500 mètres, et regorgent d’un important potentiel en hydrocarbures selon les experts