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LA SINISTROSE FRAPPE LE TOURISME A AGADIR
La plus grande destination balnéaire du royaume aurait-elle perdu de son attrait pour faire face aujourd’hui à une crise sans précédent?
Faute de promotion intelligente et créative, cette destination très prisée autrefois qui n’a pas su se renouveler , est en train de payer le prix fort de son déclin auprès des voyagistes étrangers après avoir disparu des catalogues.
Sur fond de chute vertigineuse des arrivées de touristes ces derniers mois, on ne compte plus les établissements hôteliers qui mettent la clé sous la porte faute de pouvoir payer fournisseurs et employés après avoir tourné à vide pendant une longue période avec l’espoir d’une reprise. L’endettement auprès des banques a conduit pas moins de 16 hôtels classés de la ville à la liquidation judiciaire mettant des centaines de personnes au chômage privées des arriérés de salaire et des droits. Un vrai drame pour des familles entières qui ont vécu, des années durant, dans la certitude que ce secteur était pérenne.
Les survivants de ce naufrage ne crient pas pour autant victoire après avoir bradé leurs tarifs pour maintenir leurs unités en activité. La balle est dans le camp d’un ministre qui, malheureusement pour Agadir, est sur le départ.
actumaroc
La plus grande destination balnéaire du royaume aurait-elle perdu de son attrait pour faire face aujourd’hui à une crise sans précédent?
Faute de promotion intelligente et créative, cette destination très prisée autrefois qui n’a pas su se renouveler , est en train de payer le prix fort de son déclin auprès des voyagistes étrangers après avoir disparu des catalogues.
Sur fond de chute vertigineuse des arrivées de touristes ces derniers mois, on ne compte plus les établissements hôteliers qui mettent la clé sous la porte faute de pouvoir payer fournisseurs et employés après avoir tourné à vide pendant une longue période avec l’espoir d’une reprise. L’endettement auprès des banques a conduit pas moins de 16 hôtels classés de la ville à la liquidation judiciaire mettant des centaines de personnes au chômage privées des arriérés de salaire et des droits. Un vrai drame pour des familles entières qui ont vécu, des années durant, dans la certitude que ce secteur était pérenne.
Les survivants de ce naufrage ne crient pas pour autant victoire après avoir bradé leurs tarifs pour maintenir leurs unités en activité. La balle est dans le camp d’un ministre qui, malheureusement pour Agadir, est sur le départ.
actumaroc