Les internautes sont nombreux à réagir après la publication sur le Web d'un dessin satyrique sur le drame survenu en Italie.
La publication par le journal satirique français Charlie Hebdo de dessins sur les victimes du récent séisme en Italie déclenche une polémique dans la péninsule.
«Ces dessins sont répugnants», a jugé vendredi le ministre italien de la Justice Andrea Orlando.
«Je ne crois pas utile d'aller au-delà dans les commentaires parce que je crois qu'on produit ainsi exactement l'effet recherché, c'est-à-dire créer un scandale et donc une discussion et attirer l'attention des médias», a ajouté le ministre outré.
Le président du Sénat italien, Pietro Grasso, a de son côté affirmé «respecter la liberté de la satire, de l'ironie». Mais, a-t-il ajouté, «je peux dire également que j'ai la liberté de dire que tout cela est dégoûtant».
La polémique a commencé à monter, principalement sur les réseaux sociaux, après la publication de dessins montrant des victimes du tremblement de terre ensanglantées avec la mention «penne sauce tomate» et «penne gratinées» ou encore écrasés par les débris de leurs maisons sous le titre «lasagnes».
«Les opinions exprimées par les journalistes sont libres» et «le dessin de Charlie Hebdo ne représente en rien la position de la France», a communiqué vendredi l'ambassade française à Rome.
20 minutes
La publication par le journal satirique français Charlie Hebdo de dessins sur les victimes du récent séisme en Italie déclenche une polémique dans la péninsule.
«Ces dessins sont répugnants», a jugé vendredi le ministre italien de la Justice Andrea Orlando.
«Je ne crois pas utile d'aller au-delà dans les commentaires parce que je crois qu'on produit ainsi exactement l'effet recherché, c'est-à-dire créer un scandale et donc une discussion et attirer l'attention des médias», a ajouté le ministre outré.
Le président du Sénat italien, Pietro Grasso, a de son côté affirmé «respecter la liberté de la satire, de l'ironie». Mais, a-t-il ajouté, «je peux dire également que j'ai la liberté de dire que tout cela est dégoûtant».
La polémique a commencé à monter, principalement sur les réseaux sociaux, après la publication de dessins montrant des victimes du tremblement de terre ensanglantées avec la mention «penne sauce tomate» et «penne gratinées» ou encore écrasés par les débris de leurs maisons sous le titre «lasagnes».
«Les opinions exprimées par les journalistes sont libres» et «le dessin de Charlie Hebdo ne représente en rien la position de la France», a communiqué vendredi l'ambassade française à Rome.
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