L'internaute Laura De a reçu des insultes pour cette photo publiée sur Facebook.
« Je suis une fille qui a décidé de faire ce qu’elle voulait de son corps. » Sur Facebook, Laura affiche fièrement en image de profil, depuis le 15 août, une photographie d’elle les aisselles non-épilées. Ouvert au public, son compte a été pris d’assaut par des commentaires moqueurs sur cette photographie, « aimée » presque 4.000 fois et ayant provoqué plus de 5.000 messages la soutenant ou l’insultant pour son choix.
« Rase-toi vilaine », « Tu es immonde », « Tu m’as fait vomir 146 fois », « Sale lesbienne ! » ou encore « Tu mérites de pourrir dans la cave de Dutroux » sont quelques-uns des exemples d’attaques personnelles, outre les photos de rasoirs et de pots de cire, que la jeune femme a recensé.
Donc comme je disais, les choses peuvent aller très loin. Trop loin. Je suis une fille qui a décidé de faire ce qu'elle voulait de son corps. Comme un garçon peut le faire, lui.. Et les conséquences de sortir de normes sont l'humiliation collective, le harcèlement, les insultes, les menaces.
Source: 20minutes.fr
« Je suis une fille qui a décidé de faire ce qu’elle voulait de son corps. » Sur Facebook, Laura affiche fièrement en image de profil, depuis le 15 août, une photographie d’elle les aisselles non-épilées. Ouvert au public, son compte a été pris d’assaut par des commentaires moqueurs sur cette photographie, « aimée » presque 4.000 fois et ayant provoqué plus de 5.000 messages la soutenant ou l’insultant pour son choix.
« Rase-toi vilaine », « Tu es immonde », « Tu m’as fait vomir 146 fois », « Sale lesbienne ! » ou encore « Tu mérites de pourrir dans la cave de Dutroux » sont quelques-uns des exemples d’attaques personnelles, outre les photos de rasoirs et de pots de cire, que la jeune femme a recensé.
Donc comme je disais, les choses peuvent aller très loin. Trop loin. Je suis une fille qui a décidé de faire ce qu'elle voulait de son corps. Comme un garçon peut le faire, lui.. Et les conséquences de sortir de normes sont l'humiliation collective, le harcèlement, les insultes, les menaces.
Source: 20minutes.fr
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