Tweet
L’armée israélienne met en application les nouvelles directives du fasciste Lieberman qui a ordonné de terroriser les Palestiniens des zones qui résistent à l’occupation. Elle a envahi dimanche le domicile d’une famille de Sair, près d’Hébron et menacé d’enlever un bébé de 10 mois pour faire un exemple dans la région.
La soldatesque a tout détruit dimanche matin dans la maison de la famille de Fadi Faroukh, assassiné par l’armée le 1er novembre 2015 dans le village de Beit Einoun à l’est d’ Hébron, accusé d’avoir voulu poignarder un soldat.
Les soldats ont menacé d’enlever sa fille de 10 mois, a indiqué son frère.
Après avoir mis à sac la maison, l’armée d’occupation a accroché une lettre sur la porte extérieure de la maison, s’adressant non seulement à la famille mais à tous les habitants de Sair, et disant :
“Dans le contexte d’attaques contre des civils dans votre région, les forces de sécurité israélienne vont redoubler d’efforts contre les terroristes et contre toute personne impliquée dans ces activités".
Lieberman, ministre israélien de la "défense" a récemment recommandé l’utilisation du "bâton et de la carotte" en Cisjordanie, en exerçant des châtiments plus durs aux familles et villages dont sont originaires des "terroristes" et en accordant des avantages économiques aux zones qui "n’ont pas produit de terroristes".
Un colon conduisant près de la colonie illégale de Teqoa ayant été blessé en juillet dernier, l’armée a décrété que l’attaquant venait de Sair, et le village a été totalement bouclé tandis que les soldats s’y livraient à une chasse à l’homme.
Dans la région d’Hébron, toute une série de villages comme Yatta, et Bani Naim, subissent le même sort, sont victimes de raids nocturnes, de tirs, et les habitants se sont vu privés de leur permis de circuler.
CAPJPO-EuroPalestine 4 septembre 2016
La soldatesque a tout détruit dimanche matin dans la maison de la famille de Fadi Faroukh, assassiné par l’armée le 1er novembre 2015 dans le village de Beit Einoun à l’est d’ Hébron, accusé d’avoir voulu poignarder un soldat.
Les soldats ont menacé d’enlever sa fille de 10 mois, a indiqué son frère.
Après avoir mis à sac la maison, l’armée d’occupation a accroché une lettre sur la porte extérieure de la maison, s’adressant non seulement à la famille mais à tous les habitants de Sair, et disant :
“Dans le contexte d’attaques contre des civils dans votre région, les forces de sécurité israélienne vont redoubler d’efforts contre les terroristes et contre toute personne impliquée dans ces activités".
Lieberman, ministre israélien de la "défense" a récemment recommandé l’utilisation du "bâton et de la carotte" en Cisjordanie, en exerçant des châtiments plus durs aux familles et villages dont sont originaires des "terroristes" et en accordant des avantages économiques aux zones qui "n’ont pas produit de terroristes".
Un colon conduisant près de la colonie illégale de Teqoa ayant été blessé en juillet dernier, l’armée a décrété que l’attaquant venait de Sair, et le village a été totalement bouclé tandis que les soldats s’y livraient à une chasse à l’homme.
Dans la région d’Hébron, toute une série de villages comme Yatta, et Bani Naim, subissent le même sort, sont victimes de raids nocturnes, de tirs, et les habitants se sont vu privés de leur permis de circuler.
CAPJPO-EuroPalestine 4 septembre 2016
Commentaire