Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Affaire des lycéennes de Sebbala/Non à la wahhabisation des esprits !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Affaire des lycéennes de Sebbala/Non à la wahhabisation des esprits !

    La rédaction
    Heureux ceux qui ont pu obtenir un appartement dans la cité des 1600 logements au lieu-dit Sebbala du côté de Draria. C’est moins hideux qu’ailleurs mais c’est du même tabac, c’est à dire sans finition, où les ascenseurs sont en grève, et où on a la boue en hiver, la poussière en été et l’ennui toute l’année.

    Un de mes vieux amis y habite depuis peu. Il n’arrive pas à s’habituer à vivre dans un quartier sans commodités et où les seuls lieux publics proches de chez lui se résument au cimetière et à la mosquée. L’animation est à un quart d’heure à pied, à partir du rond-point du faux policier. C’est là qu’officie un citoyen un peu spécial, qui a fantasmé toute sa vie sur le métier d’agent de la circulation et qui, faute d’avoir pu intégrer l’effectif de la police urbaine, s’est résolu à occuper la fonction de force. La police et la population ont fini par s’y faire ; voir même à y trouver leur compte puisque l’agent se fait obéir et que ça roule. On aurait été tenté d’y voir une belle illustration de la démocratie participative, mais autant déchanter tout de suite car la prestation quotidienne de notre agent relève tout simplement de la psychiatrie. Beaucoup d’algérois connaissent ce vrai-faux policier et ne se lassent pas d’admirer sa maîtrise des gestes et du coup de sifflet. Les riverains, du moins les plus moqueurs d’entre eux, vous diront qu’ils préfèrent le faux policier au vrai, parce qu’il ne dresse pas de contraventions et qu’il ne fume pas pendant le service.

    Mais depuis ce dimanche 4 septembre, Sebbala vient d’être victime d’une agression qui devrait intéresser beaucoup de monde. Son lycée de jeunes filles refuse l’accès aux élèves qui ne portent pas le foulard islamique. Les lycéennes récalcitrantes ont été renvoyées et les parents ont eu droit pour comble d’audace, à une leçon de morale administrée par l’agent d’accueil qui leur enjoint de « bien éduquer leurs filles » ; entendez, leur apprendre à se couvrir entièrement la tête, à regarder par terre, à obéir au petit frère et à attendre tranquillement d’être livrée à un homme que la famille aura choisi.

    L’incident est très grave car il remet en question les fondements mêmes de notre république et, en attendant d’en savoir un peu plus, on peut d’ores et déjà émettre deux hypothèses.

    Soit l’agent qui a renvoyé les jeunes filles, l’a fait de sa propre initiative et dans ce cas son administration doit le suspendre immédiatement de ses fonctions sans préjuger de la poursuite judiciaire.

    Soit il a agi sur ordre pour tester la réactivité des parents d’élèves et les réactions de l’opinion, avant d’aller plus loin dans la restriction des libertés et, dans ce cas le Ministre chargé de l’enseignement secondaire doit intervenir immédiatement pour sanctionner sévèrement l’agent et ceux des fonctionnaires qui l’auraient encouragé ou couvert, et ouvrir une enquête pour éviter que ce genre d’incident ne se renouvelle.

    Précisons tout de même qu’on n’ira pas jusqu’à douter de la loyauté des principaux responsables de l’éducation nationale et à les soupçonner de tentative de wahhabisation des esprits ; ce qui à Dieu ne plaise, serait un comble ; n’est-ce-pas ?

    Reste que l’un des aspects les plus inquiétants dans ce qu’il convient d’appeler l’affaire des lycéennes de Sebbala, c’est l’assurance et la morgue avec laquelle cet agent a agi. Il est invraisemblable qu’il ait agi seul, compte tenu de la gravité de la décision. Auquel cas, ses donneurs d’ordre seraient des irresponsables, car le moindre accident survenu aux jeunes filles supposées être dans l’enceinte du lycée et non pas à la rue, les rendrait civilement responsables.

    Faut-il encore une fois, rappeler que l’éducation de nos enfants tient du sacerdoce et qu’on ne laissera jamais personne nous dévier de la voie du savoir et de l’amour de la science en fidélité avec l’enseignement du Prophète (Asws) et les valeurs de l’islam dans leur primo-vérité et leur authenticité.

    Il est inutile de critiquer encore une fois l’administration et les responsables éducatifs. Ils sont à l’image du pays et il n’y a pas de raison qu’ils échappent au laisser-aller et au laisser-faire qu’on déplore quotidiennement. On considérait, ou du moins on espérait qu’on ne toucherait jamais à des sanctuaires comme les établissements d’enseignements et qu’on laisserait nos jeunes accéder au savoir sans entrave ni contrainte. On est bien obligé d’admettre que rien n’est moins sûr et qu’il ne sert à rien de se faire trop d’illusions sur l’impartialité et la célérité de la justice. La « fatwa » lancée contre Kamel Daoud et les affaires de la Sonatrach sont là pour nous rappeler que la justice est encore et toujours l’un de maillons les plus faibles de l’Etat, et il y aurait fort à parier que l’agent du lycée de jeunes filles de Sebbala ne sera ni inquiété, ni réprimandé. On ne demande qu’à avoir tort.

    En attendant, il appartient aux parents de s’organiser pour demander une rencontre avec les responsables du lycée afin de tirer tous les enseignements de ce grave incident et éviter qu’il ne se reproduise dans un autre établissement scolaire. La suite de cette affaire apportera suffisamment d’indications sur la détermination des autorités en charge de l’éducation de nos enfants à ne pas polluer leur environnement par des combats d’arrière-garde importés de “wahhabie” et prétendument religieux et qui n’ont pas leur place dans un lieu où on fait ses humanités et où on apprend à respecter la liberté et le respect d’autrui.

    Aziz Benyahia
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Des filles «non voilées» empêchées d’accéder à leur établissement

    L’interdiction d’accès au lycée de la cité des 1600 Logements de Sebbala, dans la commune de Draria, à des élèves ne portant pas le voile a suscité l’indignation des internautes algériens.


    Selon le site d’information Dernières info d’Algérie (die), des lycéennes ne portant pas le voile n’ont pas pu accéder à leur établissement dimanche, jour de la rentrée scolaire. Un agent de sécurité affecté au portail d’entrée de l’établissement interdisait aux jeunes filles ne portant pas le voile d’accéder au lycée et enjoignait aux parents de «bien éduquer leurs filles», précise l’auteur de l’article relayé par les sites d’information et largement partagé sur les réseaux sociaux.

    Une source proche de la direction de l’éducation Alger-ouest confirme les faits rapportés. Le «débordement» résulte, selon elle, du fait qu’en l’absence d’encadrement au niveau de ce lycée, le directeur a fait appel à des parents d’élèves pour orienter les nouveaux élèves. «Ce sont les parents d’élèves auxquels la direction a fait appel qui ont interdit l’accès aux filles non voilées à cet établissement», précise notre source, rappelant que l’établissement fonctionne sans une partie de son encadrement.

    La même source indique que le lycée a consommé quatre directeurs en moins de quatre ans et manque de surveillants, de surveillant général et une grande partie de son personnel est sous contrat de l’Anem. «Cet établissement n’a jamais réussi à trouver un semblant de stabilité avec des grèves régulières et des actes de violence récurrents ; il est d’ailleurs considéré comme un établissement de transit vu son état d’instabilité permanent», ajoute notre source.

    Des enseignants dénoncent «l’excès» de zèle de certains fonctionnaires du secteur. «Ce genre de comportement est très grave, mais il reste un acte isolé qui ne peut être dicté par une quelconque hiérarchie», estime Idir Achour, président du Conseil des lycées d’Algérie.


    Cet acte rappelle l’interdiction faite à une jeune fille de passer un examen dans une université du pays, car la jupe qu’elle portait était trop courte aux yeux d’un agent de sécurité. Selon Meziane Meriane, coordonnateur national du Syndicat national des professeurs du secondaire et du technique (snapest), des cas d’excès de zèle similaires sont vécus quotidiennement par des élèves qui sont livrées à elles-mêmes en l’absence de sanctions administratives contre leurs auteurs.

    M. Meriane révèle que des agents de sécurité, et parfois même des adjoints de l’éducation, intimident de la même façon des jeunes lycéennes pour non port du foulard. «Il faut que cela cesse !» soutient le syndicaliste du snapest, convaincu que ces comportements rappellent ce qui était vécu dans les années 90’.

    «L’autorité administrative a-t-elle réagi face à l’attitude de cet agent dont le comportement affole la Toile algérienne. Les cas similaires dénoncés ont-ils fait l’objet d’enquêtes ?» s’interroge notre interlocuteur. «Il faut des sanctions contre l’auteur de cet acte pour ne plus jamais retomber dans ce que nous avons enduré il y a quelques années», ajoute M. Meriane rappelant que ce «dépassement» est déploré au lendemain de l’hommage symbolique rendu par la ministre de l’Education nationale aux enseignantes assassinées en septembre 1996 par des terroristes. Jusqu’à hier en fin de journée, le ministère de l’Education nationale n’a fait part d’aucune réaction officielle. Nos tentatives de joindre les responsables de cette institution sont restées vaines.
    


    Fatima Aït Khaldoun-Arab
    EL WATAN
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

    Commentaire


    • #3
      Des filles non-voilées ont-elles vraiment été empêchées d’accéder à leur lycée ?

      Depuis dimanche, la polémique fait rage sur internet avant de s’étendre à la presse nationale et française : des filles non voilées auraient été interdites d’accès au lycée de la Nouvelle Sebbala dans la commune de Draria. L’affaire est largement relayée et abondamment commentée sur les réseaux sociaux où de nombreux internautes dénoncent une « atteinte aux libertés », « aux lois en vigueur » et même une « horreur ».

      Mais qu’en est-il réellement ? Est-ce que l’accès à cet établissement est vraiment interdit aux filles non-voilées ? Sur quelle base cette interdiction a-t-elle pu être ordonnée et par qui ? TSA s’est déplacé sur les lieux ce mardi 6 septembre et a pu rencontrer l’un des responsables du lycée. « Ce sont des propos que la raison ne peut pas admettre ! », lâche d’emblée Mouhoub Touchi, l’un des responsables du lycée.

      « Aucun parent ne s’est plaint ! »

      « On ne savait rien jusqu’à hier lundi quand on nous a ramené un article affirmant que le lycée a interdit aux non-voilées de rentrer », jure-t-il. « Comment le directeur de l’établissement peut-il être absent le jour de la rentrée ? On est dans une autre République ? Il ne faut pas oublier que le lycée est sous la tutelle du ministère de l’Éducation de la République algérienne démocratique et populaire », ajoute ce responsable, agacé.

      Mouhoub Touchi dit ne pas avoir la moindre idée sur ce qui a pu se produire le dimanche devant le portail et qui aurait pu être à l’origine de cette affaire. « C’est peut-être un problème entre parents d’élèves qui est à l’origine de cette affaire », suppose notre interlocuteur qui affirme que son établissement n’a reçu aucune plainte émanant d’un parent d’élève. « Il n’y a ni plainte orale, ni écrite ! Aucun parent d’élève ne s’est plaint », assure-t-il.


      « La ministre de l’Éducation a appelé »

      Après la diffusion de l’information, la ministre de l’Éducation nationale en personne a contacté la direction de l’Éducation de l’ouest d’Alger pour avoir des informations sur ce problème, selon lui. La direction a par la suite « contacté notre lycée. Nous avons alors fait un démenti officiel écrit que j’ai moi-même remis », indique Mouhoub Touchi.

      Sur place, les deux jeunes agents de sécurité présents confirment les propos du responsable. « Nous n’avons interdit l’accès à personne. Seuls les élèves venus avec des shorts et des pantacourts ont été interdits d’accès », témoigne l’un d’eux.

      À l’extérieur de l’établissement, la polémique surprend les riverains. « On m’a posé la même question ce matin et même hier et j’ai dit la même chose, des filles non-voilées accèdent normalement à l’établissement. Revenez demain à 8 heures et vous verrez », assure un marchand de fruit dont la camionnette est stationnée juste en face du lycée.


      Hier lundi, nos confrères de Ennahar TV avaient également interrogé des lycéennes dont l’une ne portait pas le foulard. Les jeunes filles avaient démenti les faits qui circulent sur les réseaux sociaux.


      06/09/2016 TSA
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

      Commentaire


      • #4
        affaire close



        .
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

        Commentaire


        • #5
          Tsa qui reprend el nahar qui reprend el chourrouk des tele poubelles
          non zizou pas clos
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

          Commentaire


          • #6
            L’affaire du Lycée Seballa provoque un tollé: Les parents d’élèves témoignent
            Articles similaires


            DIA-05 septembre 2016: Suite à la publication de notre article sur l’exclusion de lycéennes non voilées, des parents nous ont écrit pour témoigner, dénoncer cet état de fait et raconter ce qui s’est réellement passé ce jour là.

            Un des parents des jeunes filles a témoigné sur le site de DIA pour démentir certains informations disant que c’était des rumeurs ou de l’intox. Tout en gardant l’anonymat pour éviter que des sanctions soient portés contre sa fille, il a déclaré: « Je témoigne qu’effectivement les filles non voilées étaient interdites d’accès à l’intérieur du lycée par un homme portant kamis et une longue barbe, ma fille en faisait partie. A 8h30 le chef de brigade de la gendarmerie nous a permis de pénétrer dans l’enceinte du lycée et a demandé à voir le directeur qui était finalement cloîtré dans son bureau malgré le brouhara . Croyez moi toutes les filles portaient des tenues plus que correctes, d’ailleurs la situation géographique du lycée ne permet vraiment pas aux filles de s’ habiller librement. »

            Un autre parent d’élève réagit saluant l’intervention de la gendarmerie: « On a atteint le fond lorsque une réalité injuste est mise en doute. Reste-t-il des gens sensées dans ce pays? Je suis père d’une fille qui a été empêchée de rejoindre sa classe pour des motifs relevant de pensées hors sujet. Ma fille portait une tenue très correcte mais ne relevant pas d’une pratique ostentatoire . Elle est très bonne élève avec une excellente moyenne au B.E.M 2016. Par ailleurs, je rends hommage à la gendarmerie nationale qui a intervenu avec promptitude , ce qui a permis aux élèves refoulées de rejoindre le lycée. »

            Sur la page de l’article qu’a publié par DIA, une soixantaine de réactions ont été postés par les lecteurs, où la majorité des intervenants ont dénoncé cet état de fait et ont demandé des sanctions contre le proviseur du Lycée et l’appariteur en kamis. La question de l’Islam a été également soulevé durant le débat avec quelques clashs entre partisans et opposants du voile.

            Amel Bouchaib
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

            Commentaire


            • #7
              Bien sur clos solas ne vous en deplaise , ca puer l'khorti a plein nez , mais que cela ne t'empeche pas de faire d'autre poubelle , ya encore a "boire et a manger"
              Dernière modification par Discus, 06 septembre 2016, 22h56.

              Commentaire


              • #8
                Si ce n etait qu une histoire de ripailles
                je ferais profil bas....
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                Commentaire


                • #9
                  J'en doute fort

                  Commentaire


                  • #10
                    À l’occasion de la fête nationale de son pays : Le Président Bouteflika félicite le roi du Swaziland
                    Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a félicité le Roi du Swaziland, Mswati III, à l'occasion de la fête nationale de son pays, lui réitérant, dans un message, son «entière disponibilité» à œuvrer au renforcement des relations de coopération entre les deux pays.


                    Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a félicité le Roi du Swaziland, Mswati III, à l'occasion de la fête nationale de son pays, lui réitérant, dans un message, son «entière disponibilité» à œuvrer au renforcement des relations de coopération entre les deux pays. «La célébration, par le Royaume du Swaziland, de sa fête nationale m'offre l'agréable opportunité de Vous adresser au nom du peuple et du gouvernement algériens, ainsi qu'en mon nom personnel, nos chaleureuses félicitations ainsi que mes vœux les meilleurs de bonne santé et de bonheur pour Votre Majesté, de progrès et de prospérité pour votre peuple frère», écrit le Chef de l'État dans son message. «Je saisis cette occasion pour Vous réitérer mon entière disponibilité à œuvrer, avec Vous, au renforcement des relations d'amitié et de coopération entre nos deux pays et à poursuivre nos efforts conjoints au sein de l'Union africaine en vue de la consolidation de la paix et de la stabilité dans notre continent», ajoute le Président Bouteflika.
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                    Commentaire


                    • #11
                      qu’effectivement les filles non voilées étaient interdites d’accès à l’intérieur du lycée par un homme portant kamis et une longue barbe,
                      Et ce barbu de m**** a-t-il été arrêté par la gendarmerie et mis en garde à vue ?
                      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                      (Paul Eluard)

                      Commentaire


                      • #12
                        Solas @
                        J'imagine que c'est le hasard qui a fait en sorte que tu te trompe de poste ? et avec quoi svp !

                        Commentaire


                        • #13
                          Et ce barbu de m**** a-t-il été arrêté par la gendarmerie et mis en garde à vue ?
                          non; donc la gendarmerie est complice; que vas-tu faire ?!

                          Commentaire


                          • #14
                            Solas @
                            J'imagine que c'est le hasard qui a fait en sorte que tu te trompe de poste ? et avec quoi svp
                            ou s'est trompé de mangeoire

                            Commentaire


                            • #15
                              non; donc la gendarmerie est complice; que vas-tu faire ?!
                              à ton avis
                              Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                              (Paul Eluard)

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X