Le 28 août dernier, un astéroïde mesurant entre 15 à 55 mètres a frôlé la Terre, passant seulement à 80 000 km de notre planète. Le plus surprenant, c'est qu'il n'a été découvert par les scientifiques que... la veille.
Baptisé 2016 QA2, l'astéroïde a été découvert le 27 août par l'observatoire brésilien Sonear, révèle Space.com. Mesurant entre 15 à 55 mètres selon les estimations, il est passé à 80 000 km de la Terre, ce qui correspond à moins d'un cinquième de la distance qui nous sépare de la Lune.
On estime que pour éradiquer l'humanité toute entière, un astéroïde doit avoisiner la taille d'un kilomètre. On en est donc loin, mais c'est largement suffisant pour que cela provoque des dégâts extrêmement importants.
En février 2013, une météorite s'était désintégrée dans l'atmosphère, provoquant de nombreuses explosions dans la région de Tcheliabinsk, en Russie. Au total, 1 200 personnes avaient été blessées. L'objet faisait environ 20 mètres de large. Heureusement, la Nasa affirme qu'elle a déjà répertorié 90% des astéroïdes de plus d'un kilomètre, soit ceux qui sont susceptibles de provoquer la fin de l'humanité. Mais quand on passe aux astéroïdes de 160 mètres ou plus, le chiffre tombe à 30%. Et pour ceux de 30 mètres, c'est même seulement 1%. On comprend donc mieux pourquoi l'astéroïde de dimanche dernier n'a été aperçu que très tardivement.
Baptisé 2016 QA2, l'astéroïde a été découvert le 27 août par l'observatoire brésilien Sonear, révèle Space.com. Mesurant entre 15 à 55 mètres selon les estimations, il est passé à 80 000 km de la Terre, ce qui correspond à moins d'un cinquième de la distance qui nous sépare de la Lune.
On estime que pour éradiquer l'humanité toute entière, un astéroïde doit avoisiner la taille d'un kilomètre. On en est donc loin, mais c'est largement suffisant pour que cela provoque des dégâts extrêmement importants.
En février 2013, une météorite s'était désintégrée dans l'atmosphère, provoquant de nombreuses explosions dans la région de Tcheliabinsk, en Russie. Au total, 1 200 personnes avaient été blessées. L'objet faisait environ 20 mètres de large. Heureusement, la Nasa affirme qu'elle a déjà répertorié 90% des astéroïdes de plus d'un kilomètre, soit ceux qui sont susceptibles de provoquer la fin de l'humanité. Mais quand on passe aux astéroïdes de 160 mètres ou plus, le chiffre tombe à 30%. Et pour ceux de 30 mètres, c'est même seulement 1%. On comprend donc mieux pourquoi l'astéroïde de dimanche dernier n'a été aperçu que très tardivement.
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