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Le Maroc poursuivra les travaux de la construction d'un petit tronçon routier à Guerguerate. Le Conseil de sécurité n'y voit aucune objection. Les relais du Polisario au sein de l'instance onusienne n'ont pu imposer leur position au reste des Quinze.
Au Conseil de sécurité, le Maroc vient de gagner la bataille de Guerguerate. La réunion du vendredi s'est conclue sans aucune décision majeure des Quinze. Les travaux de la construction du tronçon routier, d'environ 4 km, pourront donc se poursuivre sans entrave et seront menés exclusivement par des moyens marocains.
Jeudi 8 septembre, un relais médiatique du Polisario à New York a avancé que les Nations Unies auraient proposé de se substituer aux Marocains pour terminer la réalisation de la route. Selon la même source, cette solution désamorcerait la nouvelle crise entre le Maroc et le Polisario.
Aucune violation du cessez-le-feu
"Le Maroc a expliqué au secrétariat général de l'ONU et aux membres du Conseil que les travaux qu'il mène à Guerguerate sont éminemment civils et limités dans le temps, et ce jusqu'à la finalisation de la construction de la route. Cet objectif est stratégiquement sécuritaire et le Maroc est résolument déterminé à le réaliser", a précisé le représentant permanent du royaume à New York, Omar Hilale dans une interview accordée à la MAP. Le "nettoyage" de la zone est "impératif pour des raisons éminemment sécuritaires", a-t-il ajouté.
Il a d'ailleurs informé Ban Ki-moon des résultats des investigations effectuées par la Brigade nationale de la police judiciaire suite à la saisie par des unités des Forces armées royales (FAR) déployées au niveau du mur de sécurité à 280 km du sud-est de Boujdour de 500 kg de chira. Des investigations ayant conduit à l'implication de membres du Polisario. Parmi eux figure notamment Majidi Ida Ibrahim Hamim, fils de Ida Ibrahim Hamim, ex-wali du camp « Es-Smara » à Tindouf et actuel « ministre du Développement » au sein de la « RASD ».
Omar Hilale a tenu à rappeler que l'opération des forces marocaines à Guerguerate " n'est interdite par aucune disposition de l'Accord militaire numéro 1. Elle nécessite une simple notification. Ce que le Maroc a fait 24 heures après son lancement". Le 28 août un "document confidentiel", publié par l'agence Reuters, du département des opérations du maintien de la paix de l'ONU adressé aux Quinze, avait accusé le royaume de violer le cessez-le-feu du 6 septembre 1991.
Ya Biladi
Au Conseil de sécurité, le Maroc vient de gagner la bataille de Guerguerate. La réunion du vendredi s'est conclue sans aucune décision majeure des Quinze. Les travaux de la construction du tronçon routier, d'environ 4 km, pourront donc se poursuivre sans entrave et seront menés exclusivement par des moyens marocains.
Jeudi 8 septembre, un relais médiatique du Polisario à New York a avancé que les Nations Unies auraient proposé de se substituer aux Marocains pour terminer la réalisation de la route. Selon la même source, cette solution désamorcerait la nouvelle crise entre le Maroc et le Polisario.
Aucune violation du cessez-le-feu
"Le Maroc a expliqué au secrétariat général de l'ONU et aux membres du Conseil que les travaux qu'il mène à Guerguerate sont éminemment civils et limités dans le temps, et ce jusqu'à la finalisation de la construction de la route. Cet objectif est stratégiquement sécuritaire et le Maroc est résolument déterminé à le réaliser", a précisé le représentant permanent du royaume à New York, Omar Hilale dans une interview accordée à la MAP. Le "nettoyage" de la zone est "impératif pour des raisons éminemment sécuritaires", a-t-il ajouté.
Il a d'ailleurs informé Ban Ki-moon des résultats des investigations effectuées par la Brigade nationale de la police judiciaire suite à la saisie par des unités des Forces armées royales (FAR) déployées au niveau du mur de sécurité à 280 km du sud-est de Boujdour de 500 kg de chira. Des investigations ayant conduit à l'implication de membres du Polisario. Parmi eux figure notamment Majidi Ida Ibrahim Hamim, fils de Ida Ibrahim Hamim, ex-wali du camp « Es-Smara » à Tindouf et actuel « ministre du Développement » au sein de la « RASD ».
Omar Hilale a tenu à rappeler que l'opération des forces marocaines à Guerguerate " n'est interdite par aucune disposition de l'Accord militaire numéro 1. Elle nécessite une simple notification. Ce que le Maroc a fait 24 heures après son lancement". Le 28 août un "document confidentiel", publié par l'agence Reuters, du département des opérations du maintien de la paix de l'ONU adressé aux Quinze, avait accusé le royaume de violer le cessez-le-feu du 6 septembre 1991.
Ya Biladi
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