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Quand MEDIAPART RÉVÈLE le VRAI VISAGE de JEUNE AFRIQUE

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  • Quand MEDIAPART RÉVÈLE le VRAI VISAGE de JEUNE AFRIQUE

    Quand MEDIAPART RÉVÈLE le VRAI VISAGE de JEUNE AFRIQUE : « …sac à ***** et Bras armé de la Françafrique »

    Dans un violent article intitulé «Jeune Afrique: Racisme, chantages, escroquerie, mercenariat, rackets…perquisitions d’une maison close… », Médiapart, reconnu pour ses enquêtes pointues et ses publications explosives, fait des révélations inouïes sur Jeune Afrique(JA).

    Françafrique, Tyrannie, Mépris, corruption, colonisation, endoctrinement, Médiapart dit absolument tout au sujet du groupe de presse conduit par Béchir Ben Yahmed (BBY) depuis plus d’un demi-siècle, en prenant les cas du Cameroun, du Gabon, du Sénégal, du Tchad et de la Mauritanie.
    Le journal en ligne s’est d’abord interrogé sur l’apport de JA sur le continent africain. Pour lui, JA s’est enrichi sur le dos des Africains en s’alignant toujours sur les positions françaises:

    «Les violons s’accordaient régulièrement entre BBY et Jacques Foccart qui révéla dans ses mémoires qu’il avait un rituel d’un dîner par mois avec le propriétaire de J.A» et même que Jacques Foccart avait désigné BBY comme son légataire testamentaire universel. Que peut-on donc attendre d’un héritier légal de Jacques Foccart? J.A fait clairement partie intégrante des réseaux Foccart avec la mission de salir, d’insulter les dirigeants et chefs d’État de la seule Afrique Noire. Depuis sa création, J.A n’a jamais traité un chef d’État Arabe de dictateur, de tueur, et pourtant tout le monde peut faire son constat sur la réalité des pays arabes. J.A est la manifestation de la haine et de la soumission des seuls Africains noirs à la France.

    En dehors des opérations de chantage à l’encontre des chef d’État africains, s’ajoute l’escroquerie qui fait que ce journal soit vendu deux fois. Chaque impression est d’abord présenté au chef d’État ou homme politique concerné avant d’être mis en kiosque. C’est ainsi qu’il permet de maintenir en négociation et mettre la pression sur les dirigeants noirs africains.
    Au Cameroun, un contrat pour la somme de 650 millions de FCFA à verser chaque année permet au régime de Paul Biya de bénéficier d’un traitement de faveur. Cette somme a été payée pendant 4 ans. Après le refus du Président camerounais de payer, J.A a pondu un dossier pour zapper et critiquer Paul BIYA.

    Au Sénégal, de vives tensions avaient opposé le régime de Diouf à BBY au sujet de la couverture de la crise qui a opposé le Sénégal à la Mauritanie en 1989. Les premiers papiers de J.A étaient une véritable lapidation médiatique du régime de Diouf. L’élite sénégalaise avait bien compris que BBY avait choisi le camp de ses frères arabes. Le régime de Diouf paniqua et envoya une délégation pour négocier à coups de millions de FCFA.

    Le cas du Tchad peut se résumer à la personne du Président Habré, à son combat contre Khadafi et à la position de BBY. La façon dont BBY, un vieillard de 83 ans s’occupe personnellement, avec une haine féroce, à démolir l’image d’Hissein Habré (HH), a poussé ses propres collaborateurs noirs africains à s’interroger sur cette attitude raciste.

    Au Rwanda, pendant longtemps, le régime de Juvenal Habiarimana a signé d’importants contrats publicitaires, J.A a fait des affaires en or avec les auteurs du génocide. Désormais, on fait la cour à Kagamé, signature d’un contrat de 350 000 dollars, François Soudan exalte Paul Kagamé, désormais décrit comme ayant fait de son pays un paradis sécuritaire etc.

    Le Gabon d’Ali Bongo Ondimba a refusé d’assurer les fins du mois de l’hebdomadaire qui selon certains, le faisait sous Omar Bongo. Aujourd’hui, notre pays est sous la menace et les critiques de ce grand business qui a fait sa fortune dans l’intimidation, l’escroquerie, le racisme et la haine. Pour Médiapart, J.A reste un excellent outil d’endoctrinement des populations noires africaines au service de la France en Afrique (Françafrique) et qui a pour seule loi: «obéir ou mourir».

    Auteur: Mediapart avec Times Gabon - Seneweb.com

  • #2
    Le cas du Tchad peut se résumer à la personne du Président Habré, à son combat contre Khadafi et à la position de BBY. La façon dont BBY, un vieillard de 83 ans s’occupe personnellement, avec une haine féroce, à démolir l’image d’Hissein Habré (HH), a poussé ses propres collaborateurs noirs africains à s’interroger sur cette attitude raciste.
    A ma connaissance, dans le conflit tchadien, Jeune Afrique a pris position contre Gueddafi et son allié Goukouni Oueddei. Bechir Ben Yahmed était carrément pour Hissène Habré, protégé de la France et des USA.
    A noter que Hissène Habré a été reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité commis lorsqu'il était soutenu militairement, financièrement, diplomatiquement et médiatiquement par la France.

    La thèse en filigrane de l'article, selon laquelle Jeune Afrique ménageait les régimes arabes et enfonçait ceux de l'Afrique Noire est tout à fait fausse. De mémoire, je dirais que l'attitude de ce journal envers les régimes africains était déterminée pour une bonne part par la nature leurs rapports avec la France. Le journal était favorables aux "amis", serviteurs et protégés de la France. Les autres étaient globalement critiqués et ne pouvaient être ménagés ou même loués que proportionnellement aux nombre de pages de pub qu'ils commandaient à Jeune Afrique ou aux dessous de table comme le révèle l'article. Il lui arrivait parfois de déroger à cette règle dans un souci de se ménager un minimum de crédibilité.
    "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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