"Tout ce [qu'elle] touche elle le gâche avec hubris."
Tell us what you really thinkPublié le 15 Septembre 2016
Aux États-Unis, Colin Powell, chef d'état major pendant la première guerre du Golfe et ancien secrétaire d'État, reste un homme d'État très respecté, qui s'est peu exprimé sur la campagne présidentielle américaine. C'est sans compter sur les emails hackés du DNC. Il s'avère qu'en privé Colin Powell a son franc-parler. Des conversations entre lui et Jeffrey Leeds, un important contributeur au Parti démocrate, ont fuité.
Dans un mail, il dit au sujet d'Hillary Clinton que "tout ce [qu'elle] touche elle le gâche un peu avec son hubris", que les explications qu'elle a données au sujet de son utilisation d'un serveur personnel d'emails sont "stupides".
Mais il y en a un extrêmement savoureux qu'il faut simplement citer in extenso :
Je préférerais ne pas avoir à voter pour elle, bien qu'elle soit une amie que je respecte. Elle a 70 ans, un lourd bilan, une ambition sans limite, cupide, ne changera rien, et son mari continue de b---er des bimbos à la maison (selon le [New York Post]).
Bon, au moins, c'est clair.
Ceci dit, le Républicain qui a naguère soutenu Obama, n'est pas non plus tendre avec Donald Trump : "il est une honte nationale et un paria international. [...] Il est entrain de s'auto-détruire", et dans un autre email, parlant de la communauté afro-américaine, ajoute que Trump "nous prend pour des idiots".
Lu sur CBS News
atlantico.fr
Tell us what you really thinkPublié le 15 Septembre 2016
Aux États-Unis, Colin Powell, chef d'état major pendant la première guerre du Golfe et ancien secrétaire d'État, reste un homme d'État très respecté, qui s'est peu exprimé sur la campagne présidentielle américaine. C'est sans compter sur les emails hackés du DNC. Il s'avère qu'en privé Colin Powell a son franc-parler. Des conversations entre lui et Jeffrey Leeds, un important contributeur au Parti démocrate, ont fuité.
Dans un mail, il dit au sujet d'Hillary Clinton que "tout ce [qu'elle] touche elle le gâche un peu avec son hubris", que les explications qu'elle a données au sujet de son utilisation d'un serveur personnel d'emails sont "stupides".
Mais il y en a un extrêmement savoureux qu'il faut simplement citer in extenso :
Je préférerais ne pas avoir à voter pour elle, bien qu'elle soit une amie que je respecte. Elle a 70 ans, un lourd bilan, une ambition sans limite, cupide, ne changera rien, et son mari continue de b---er des bimbos à la maison (selon le [New York Post]).
Bon, au moins, c'est clair.
Ceci dit, le Républicain qui a naguère soutenu Obama, n'est pas non plus tendre avec Donald Trump : "il est une honte nationale et un paria international. [...] Il est entrain de s'auto-détruire", et dans un autre email, parlant de la communauté afro-américaine, ajoute que Trump "nous prend pour des idiots".
Lu sur CBS News
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