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Le pétrole avance à tâtons, le Nigeria et la Libye rendent les investisseurs prudents

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  • Le pétrole avance à tâtons, le Nigeria et la Libye rendent les investisseurs prudents

    jeudi 15 septembre 2016 12:39 Écrit par Cours du baril

    prix du petrole Londres: Les prix du pétrole reprenaient leur souffle jeudi en cours d'échanges européens après avoir fortement reculé sur quatre séances, alors que des producteurs comme la Libye pourraient revenir en force sur des marchés qui peinent déjà à trouver une demande suffisante.

    Vers 10H10 GMT (12H10 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 46,21 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 36 cents par rapport à la clôture de mercredi.

    Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTIWTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.) pour le mois d'octobre prenait 24 cents à 43,82 dollars.


    Les investisseurs les plus optimistes ont sauté sur l'occasion de la baisse des prix, mais il ne faut pas s'attendre à ce que cela mette un terme au recul des cours, jugeaient dans une note Michael van Dulken et Henry Croft, analystes de Accendo Markets.

    Depuis la clôture de jeudi dernier, le Brent avait reculé de 8,28% et le WTI de 8,48%. Les inquiétudes sur une hausse de la production plus rapide que celle de la demande ont été ravivées aussi bien par des éléments géopolitiques que par des publications de marché.

    En Libye, le président de la compagnie nationale de pétrole (NOC), Mustafa Sanalla, a promis mercredi de relancer les exportations de pétrole, alors que les autorités libyennes non reconnues, qui contrôlent la région du Croissant pétrolier, où se trouvent les principaux terminaux, a remis ces derniers à la NOC.

    La situation en Libye est parfois un peu dure à suivre, et il y a eu des faux départs auparavant, donc l'annonce de la NOC pourrait être prise avec des pincettes par les investisseurs, commentait Olivier Jakob, de Petromatrix, dans une note, avant d'ajouter : Le contrôle des ports par la LNA (les autorités de l'Est, NDLR) est cependant un nouvel élément. (...) Ils ont un intérêt politique à collaborer avec la NOC.



    L'analyste citait également un possible retour du Nigeria sur les marchés, alors que le pays avait été frappé par une vague de sabotages.

    Les risques de surproduction avaient été exacerbés mercredi par la publication par le Département américain de l'énergie (DoE), qui avait pourtant fait état d'une baisse des stocks hebdomadaires de brut aux Etats-Unis.


    La mauvaise surprise est venue des produits distillés (gazole, fioul de chauffage, kérosène, etc., NDLR) et de l'essence, qui ont respectivement progressé de 600.000 barils et de 4,6 millions de barils, expliquait Tamas Varga, de PVM, dans une note. Les stocks des produits distillés sont à leur plus haut en six ans pour cette période de l'année, s'inquiétait-il.
    "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
    Johann Wolfgang von Goethe

  • #2
    ça continuera à évoluer dans ces eaux en attendant la réunion d'Alger et ce qui en ressortira.

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    • #3
      en attendant la réunion d'Alger et ce qui en ressortira.
      Il n'en ressortira rien.

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      • #4
        Il n'en ressortira rien.
        Je ne parlais pas de tes souhaits mais des résultats de la dite réunion.

        Commentaire


        • #5
          Je ne parlais pas de tes souhaits mais des résultats de la dite réunion.
          Vous verrez, elle n'en sortira rien.

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          • #6
            Vous verrez, elle n'en sortira rien.
            Peut être que OUI, peut être que NON.

            A moins d'un argumentaire intellectuellement bien construit, plaidant un cas ou son contraire, le "Il n'en sortira rien" reste du domaine des souhaits.

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            • #7
              en exemple, ce que dis elwatan


              Demande mondiale en pétrole
              L’AIE abaisse sa prévision de croissance


              le 14.09.16 | 10h00 Réagissez


              La consommation mondiale de pétrole devrait croître de 1,3 million de barils par jour (mbj)
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              La consommation mondiale de pétrole devrait croître de 1,3...
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              Un nouveau ralentissement de la croissance de la demande est anticipé pour 2017.


              L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a abaissé, hier, sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2016 en raison d’incertitudes économiques. La consommation mondiale du pétrole devrait croître de 1,3 million de barils par jour (mbj) à 96,1 mbj cette année, contre une précédente estimation de 1,4 mbj, a détaillé l’AIE dans son rapport mensuel sur le pétrole. «Les récents piliers de la croissance de la demande, à savoir la Chine et l’Inde, vacillent», a expliqué l’agence basée à Paris. Un nouveau ralentissement de la croissance de la demande est anticipé pour 2017, avec une hausse de 1,2 mbj à 97,3 mbj.

              Dans le même temps, l’offre reste soutenue, notamment celle en provenance de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui a pompé à un niveau quasi record de 33,47 mbj en août — soit 930 000 barils/j de plus sur un an. Cela a permis de compenser le déclin de production observé dans les pays tiers en raison de la faiblesse des prix qui ont réduit les investissements et de limiter à 0,3 mbj la baisse de la production mondiale en août à 96,9 mbj.

              L’AIE a souligné que le Koweït et les Emirats arabes unis ont pompé à des niveaux «sans précédent» et l’Irak a augmenté ses livraisons. Elle a noté l’élévation à «un niveau quasi-record» de la production de l’Arabie Saoudite, et celle de l’Iran a bondi à 3,64 mbj, un plus haut depuis la levée des sanctions en janvier.

              Ces chiffres traduisent la stratégie offensive de défense des parts de marché adoptée par l’organisation pétrolière, qui a permis à son chef de file, l’Arabie Saoudite, de ravir aux Etats-Unis leur place de premier producteur mondial de produits pétroliers, a ajouté le bras énergétique de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). «Il se pourrait que cette dynamique offre-demande ne change pas significativement au cours des prochains mois.

              En conséquence, l’offre continuera à dépasser la demande au moins durant le premier semestre de l’an prochain (...). Quant au retour à l’équilibre du marché, il semble qu’il faille attendre un peu plus longtemps», a conclu l’AIE. Et ce, d’autant plus que la production des pays hors Opep devrait se reprendre et augmenter de 380 000 bj en 2017, après un déclin anticipé à 840 000 bj cette année.

              Cette abondance de la production pourrait alimenter les spéculations sur la possibilité d’un accord entre grands producteurs de pétrole pour limiter leur production et soutenir les prix, lors d’une réunion informelle des membres de l’Opep organisée fin septembre à Alger en marge du Forum international de l’énergie, ajoute-t-on.Côté prix, les cours du pétrole cédaient du terrain, hier en cours d’échanges européens, pénalisés par ledit rapport de l’AIE.

              Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 47,35 dollars sur l’InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 97 cents par rapport à la clôture de lundi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour le mois d’octobre reculait de 1,10 dollar à 45,19 dollars.

              Depuis vendredi dernier, les cours du brent et du WTI ont nettement reculé malgré un léger rebond lundi. Selon les analystes, «l’avertissement de l’AIE rend à nouveau les investisseurs prudents», d’autant que le rapport de cette organisation vient s’ajouter à celui publié lundi par l’Opep, qui tablait également sur une hausse de la production mondiale cette année et la suivante. 

              Lyes M.
              "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
              Johann Wolfgang von Goethe

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              • #8
                ou encore ce qu dis elwatan

                Production pétrolière non Opep : Une tendance légèrement en hausse

                le 14.09.16 | 10h00 Réagissez

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                La production d’or noir des pays n’appartenant pas à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devrait décliner moins fortement qu’anticipé en 2016 et 2017, face à une demande très légèrement révisée à la hausse, a indiqué, lundi dernier, le rapport mensuel de l’Opep.


                Les pays tiers devraient produire 56,32 millions de barils par jour cette année, soit 610 000 barils/j de moins sur un an, a précisé l’Opep dans son rapport publié à Vienne. C’est moins que la contraction qui était encore anticipée en août (-790.000 bj) et même en juillet (-880 000 bj) en raison d’un déclin moins fort que prévu dans le pétrole de schiste américain et une performance meilleure qu’attendu en Norvège, ainsi qu’au démarrage anticipé de Kashagan, au Kazakhstan, a expliqué l’OPEP.

                Cette tendance devrait se poursuivre au deuxième semestre grâce à la reprise de production au Canada après de gigantesques feux de forêt et en 2017 du fait de la montée en puissance du champ géant de Kashagan. L’an prochain, la production hors Opep devrait en effet limiter son repli à 200 000 bj pour atteindre 56,52 mbj.

                Cette robustesse de la production pourrait alimenter les spéculations sur la possibilité d’un accord entre grands producteurs de pétrole pour limiter leur production, lors d’une réunion informelle des membres de l’Organisation, fin septembre à Alger, en marge du Forum international de l’énergie. Les ministres de l’Opep, craignant une perte de parts de marché, ne s’étaient pas fixé de plafond de production lors de leur réunion à Vienne le 2 juin, jugeant leur production raisonnable et validée par la progression tendancielle des prix après un plus bas atteint en janvier.

                Au total, en août, la production de pétrole s’est élevée à 95,65 mbj, en recul de 140 000 bj sur un mois mais en hausse de 180 000 bj par rapport à la même période en 2015, selon le rapport de l’Opep. La demande a été révisée en légère hausse, grâce notamment à l’appétit des Etats-Unis pour les carburants : elle devrait croître de 1,23 mbj à 94,27 mbj en 2016 et de 1,15 mbj à 95,42 mbj l’an prochain. 

                R. E.
                "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                Johann Wolfgang von Goethe

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                • #9
                  ou encore ce que dis ce que dis cet expert sur elwatan.

                  Prochaine réunion informelle des pays producteurs de brut: Le pessimisme de Mourad Preure

                  le 14.09.16 | 12h47 Réagissez


                  La rencontre informelle des pays producteurs d’hydrocarbures, devant se réunir en marge 15ème Forum international de l’Energie, se tiendra à Alger du 26 au 28 septembre à Alger. Mourad Preuve, expert pétrolier ne s’attend pas à ce qu’elle débouche sur un compromis entre les pays producteurs pour un gel de la production pour un rebond des prix.
                  La rencontre informelle des pays producteurs d’hydrocarbures, devant se réunir en marge 15ème Forum international de l’Energie, se tiendra à Alger du 26 au 28 septembre à Alger. Mourad Preuve, expert pétrolier ne s’attend pas à ce qu’elle débouche sur un compromis entre les pays producteurs pour un gel de la production pour un rebond des prix.La rencontre informelle des pays producteurs d’hydrocarbures, devant se réunir en marge 15ème Forum international de l’Energie, se tiendra à Alger du 26 au 28 septembre à Alger. Mourad Preuve, expert pétrolier ne s’attend pas à ce qu’elle débouche sur un compromis entre les pays producteurs pour un gel de la production pour un rebond des prix.

                  « Est-ce qu’une conférence peut rapprocher les points de vues à un tel point qu’on puisse stabiliser le marché ? J’en doute. Je pense que ça rapprochera les points de vue, ça fera avancer le débat. Mais je ne pense pas que nous sortions de cette conférence avec des décisions contraignantes », a déclaré ce mercredi Mourad Preuve, expert sur les ondes de la radio chaine 3.

                  Pour atténuer ses propos, M.Preure rappelle que le marché pétrolier est déstabilisé pour un ensemble de raisons fondamentales et est régis par un nouveau « paradigme pétrolier » vu que l’OPEP est en train de subir les effets de l'arrivée de la production Américaines de pétrole et de gaz de schiste sur le marché.

                  Si l’organisation venait à baisser sa production, indique M. Preure, « il y aura une organisation concurrence qui va apparaitre ». Si, au contraire, elle augmente sa production et engage une guerre des prix, « la production concurrence va se tasser ». La réalité, assène-t-il, c’est que « nous ne sommes plus dans la logique des années 70 : l’OPEP ne contrôle plus les prix pétroliers ».

                  Un choc haussier des prix en 2020

                  Les prix du pétrole devront reprendre leur tendance haussière à partir de 2017 ou ils se situeront entre 50 et 60 dollars avant de connaitre un « choc haussier à la fin de la décennie, soit en 2020, 2021 » estime l’expert.

                  « Cette crise ne va pas durer longtemps. Les prix sont orientés à long terme à la hausse. Cette chute des prix va provoquer un choc haussier vers la fin de la décennie », ajoute-t-il.

                  Pour M.Preure, cette crise est « provisoire » et il est plus judicieux de garder son « sang-froid » et profiter pour déployer l’économie nationale et renforcer Sonatrach.

                  Mina Adel
                  "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                  Johann Wolfgang von Goethe

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                  • #10
                    Mourad Preuve, expert pétrolier ne s’attend pas à ce que la rencontre informelle des pays producteurs d’hydrocarbures, devant se réunir à Alger du 26 au 28 septembre débouche sur un compromis entre les pays producteurs pour un gel de la production pour un rebond des prix.

                    « Est-ce qu’une conférence peut rapprocher les points de vues à un tel point qu’on puisse stabiliser le marché ? J’en doute. Je pense que ça rapprochera les points de vue, ça fera avancer le débat. Mais je ne pense pas que nous sortions de cette conférence avec des décisions contraignantes », a déclaré ce mercredi Mourad Preuve expert sur les ondes de la radio chaîne 3
                    C'est ce que je disais. De cette réunion, il n'en sortira rien.

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                    • #11
                      Envoyé par hakimcasa Voir le message
                      C'est ce que je disais. De cette réunion, il n'en sortira rien.
                      si on y ajoute ça

                      L’Arabie Saoudite redevient le premier producteur mondial de brut
                      (Agence Ecofin) - Selon le dernier rapport de l'agence internationale de l'énergie (AIE), l’Arabie Saoudite est redevenue le premier producteur mondial de pétrole brut après avoir augmenté sa production de plus de 400 000 barils par jour depuis le début de l’année. Celle des Etats-Unis, son principal challenger dans le classement, a par contre reculé de 460 000 barils par jour.

                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=384665
                      je vois pas comment il reste possible d'esperer quelque chose de cette reunion mais bon

                      wait and see
                      "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                      Johann Wolfgang von Goethe

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                      • #12
                        Il y a aussi l'Iran qui tient coûte que coûte à ses 4,3 millions de barils par jour d'avant l'embargo.

                        Il y a la Libye qui, suite à la prise de contrôle des ports pétroliers dans l’Est par les troupes du général Haftar, a repris ses exportations après plus de trois ans d’interruption.

                        Commentaire


                        • #13
                          De cette réunion, il n'en sortira rien.
                          Humm, jour de deuil...

                          Commentaire


                          • #14

                            Les analystes jugeaient jeudi que son impact sur les marchés risquait d'être éphémère.
                            les analystes tablent sur la prudence dans l'attente du sommet de Vienne.
                            Les investisseurs vont également regarder du côté des producteurs non membres de l'Opep comme la Russie, les Etats-Unis et le Canada.
                            Les marchés, qui avaient pris jusqu'à 6% après l'annonce de l'accord, ont ensuite reflué en Asie.
                            Vers 05H00 GMT, le WTI pour livraison en novembre perdait sept cents, à 46,98 dollars, dans les échanges électroniques en Asie.
                            Le Brent, également pour livraison en novembre, cédait 18 cents à 48,51 dollars.
                            "Il n'y a pas eu d'accord ces huit dernières années alors il est compréhensible que certains restent sceptiques"

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par El-NiNo Voir le message
                              Humm, jour de deuil...
                              meme à 100 $ il n'etait jamais question de deuil


                              Cours du baril de pétrole en euro dollar
                              Jeudi 29 septembre 2016 10:22
                              Le Cours du baril de pétrole en dollars: 46.92 $ (-0.13 0.28% )
                              Le Cours du pétrole Brent en dollars: 48.95 $ (-0.29 0.59% )
                              "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                              Johann Wolfgang von Goethe

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