L’Algérie compte sur l’endettement extérieur pour la réalisation de son programme de développement des énergies renouvelables, a déclaré le ministre de l’Energie, Nourredine Bouterfa.
L’Algérie n’a, selon le ministre, pas les moyens de financer le programme de développement des énergies renouvelables, d’où l’utilité d’aller en chercher ailleurs.
« Est-ce que nous avons les ressources locales pour lancer un tel programme ? Elles ne sont pas disponibles. Donc si nous voulons les renouvelables il faut aller chercher les ressources extérieures », a déclaré M.Bouterfa ce mardi sur les ondes de la radio nationale.
Pour le ministre la solution est claire : tout investisseur étranger disposant de la technologie requise et voulant lancer un projet en Algérie doit lui-même le financer.
« C’est un endettement étranger sous le principe de financement sans recours. C’est-à-dire c’est la banque qui prend le risque par rapport au projet lui-même qui doit se rémunérer par lui-même », explique le ministre. Et d’ajouter que ce financement va éviter que l’Etat vient s’impliquer dans un dispositif de mobilisation de ressources qui pourraient être utilisé pour développer d’autres secteurs comme la santé, les routes ou encore l’éducation.
Toutefois, le développement de l’énergie solaire et éolienne ne semble pour bientôt puisque une refonte du programme mis en place semble nécessaire. Admettant que le programme annoncée en grandes pompes ces dernières années ne donne pas assez de visibilité pour asseoir une industrie de l’énergie des renouvelables, le ministre ajoute que les services concernées sont entrain de revoir ce programme à la fois sous l’aspect réglementaire pour permettre d’initier de manière « frontale et importante » ce démarrage des renouvelables. Suite à quoi sera lancé un appel au partenariat national et international. M.Bouterfa s’engage à parvenir d’ici la fin de l’année en cours à donner de la visibilité sur le programme solaire.
M.Bouterfa explique le retard que prend l’Algérie dans le lancement d’une industrie des énergies renouvelables par l’existence de plusieurs entraves et par la complexité de la question. « On prend autant de retard parce que ce sont des questions compliquées ». Il cite le cadre légal et juridique qu’il faut revoir et l’obligation d’assurer les ressources de l’investissement le foncier.
El watan dz
L’Algérie n’a, selon le ministre, pas les moyens de financer le programme de développement des énergies renouvelables, d’où l’utilité d’aller en chercher ailleurs.
« Est-ce que nous avons les ressources locales pour lancer un tel programme ? Elles ne sont pas disponibles. Donc si nous voulons les renouvelables il faut aller chercher les ressources extérieures », a déclaré M.Bouterfa ce mardi sur les ondes de la radio nationale.
Pour le ministre la solution est claire : tout investisseur étranger disposant de la technologie requise et voulant lancer un projet en Algérie doit lui-même le financer.
« C’est un endettement étranger sous le principe de financement sans recours. C’est-à-dire c’est la banque qui prend le risque par rapport au projet lui-même qui doit se rémunérer par lui-même », explique le ministre. Et d’ajouter que ce financement va éviter que l’Etat vient s’impliquer dans un dispositif de mobilisation de ressources qui pourraient être utilisé pour développer d’autres secteurs comme la santé, les routes ou encore l’éducation.
Toutefois, le développement de l’énergie solaire et éolienne ne semble pour bientôt puisque une refonte du programme mis en place semble nécessaire. Admettant que le programme annoncée en grandes pompes ces dernières années ne donne pas assez de visibilité pour asseoir une industrie de l’énergie des renouvelables, le ministre ajoute que les services concernées sont entrain de revoir ce programme à la fois sous l’aspect réglementaire pour permettre d’initier de manière « frontale et importante » ce démarrage des renouvelables. Suite à quoi sera lancé un appel au partenariat national et international. M.Bouterfa s’engage à parvenir d’ici la fin de l’année en cours à donner de la visibilité sur le programme solaire.
M.Bouterfa explique le retard que prend l’Algérie dans le lancement d’une industrie des énergies renouvelables par l’existence de plusieurs entraves et par la complexité de la question. « On prend autant de retard parce que ce sont des questions compliquées ». Il cite le cadre légal et juridique qu’il faut revoir et l’obligation d’assurer les ressources de l’investissement le foncier.
El watan dz
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