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La parution de l’intégralité de la carte du royaume du Maroc dans le manuel scolaire algérien n’a soulevé aucune réaction de la part de l’opinion publique algérienne, pour qui le Sahara marocain reste un non sujet. Eclairage.
L’ «erreur technique» survenue dans le manuel scolaire algérien, -ellipse de l’Etat de la Palestine de la carte-, a suscité un tollé dans l’opinion publique algérienne. La colère, voire l’indignation, a été telle que le livre, par qui ce scandale est arrivé, a été retiré et l’erreur, corrigée, avec des excuses publiques présentées par l’imprimeur au peuple algérien et au peuple palestinien.
Or voilà, à peine ce tollé s’est-il calmé qu’une tempête (dans l’eau!) s’est soulevée cette fois du côté de Tindouf pour contester la parution, dans le même manuel scolaire algérien (première année moyenne), de la carte du royaume dans son intégralité, de Tanger à Lagouira. La machine de propagande séparatiste s’est auto-scandalisée quant au silence de la même opinion publique algérienne concernant la parution de la carte du royaume du Maroc dans son intégralité!
Le Polisario, qui tentait en vain d’induire en erreur l’opinion publique algérienne et à travers elle l’opinion publique internationale, se rend à l’évidence. Si le manuel scolaire algérien avec l’intégralité du Sahara marocain n’intéresse pas l’opinion publique en Algérie contrairement à la carte de la Palestine, c’est que le Sahara marocain est non sujet pour les Algériens, contrairement à ce que laissent entendre leurs dirigeants et… aux gesticulations du Polisario.
Le peuple algérien frère sait pertinemment que le conflit saharien a été créé de toutes pièces par les dirigeants algériens, au même titre que l’a été le Polisario par le régime du colonel Houari Boumediene dans la moitié des années soixante-dix. Il n’est par conséquent pas dupe des manoeuvres hostiles à l’intégrité territoriale du royaume du Maroc, orchestrées par les héritiers de Boumediene, de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba. Pas plus d’ailleurs que de cet amalgame que le tandem Alger-Polisario veut délibérément mais vainement entretenir entre une cause légitime, celle du peuple palestinien, et cette imposture grossière nommée «cause sahraouie»!
En prenant ses distances par rapport à cette fausse polémique que le Polisario, ainsi que ses mentors à Alger, veulent susciter autour de la carte du Maroc, le peuple algérien a démontré qu’il ne se trompait pas de cause, réfutant, envers et contre ses dirigeants, tout apparentement entre une cause juste, soit celle du peuple palestinien spolié, et cette affabulation abusivement nommée «cause sahraouie».
L’attitude du peuple algérien face à cette question prouve encore une fois que ses préoccupations sont loin de celles de l’establishment militaro-politique en exercice, en panne de légitimité populaire et qui ne saurait indéfiniment hypothéquer le droit des Algériens à disposer d’eux-mêmes.
Vous avez bien lu: le droit des algériens à disposer d'eux-mêmes. Quant à cette fiction nommée "peuple sahraoui", cela ferait rire jusque les chameaux de Tamanraset et de Tindouf! De la même façon que le ferait cette ridicule gesticulation autour de la carte du Maroc.
Ziad Alami
L’ «erreur technique» survenue dans le manuel scolaire algérien, -ellipse de l’Etat de la Palestine de la carte-, a suscité un tollé dans l’opinion publique algérienne. La colère, voire l’indignation, a été telle que le livre, par qui ce scandale est arrivé, a été retiré et l’erreur, corrigée, avec des excuses publiques présentées par l’imprimeur au peuple algérien et au peuple palestinien.
Or voilà, à peine ce tollé s’est-il calmé qu’une tempête (dans l’eau!) s’est soulevée cette fois du côté de Tindouf pour contester la parution, dans le même manuel scolaire algérien (première année moyenne), de la carte du royaume dans son intégralité, de Tanger à Lagouira. La machine de propagande séparatiste s’est auto-scandalisée quant au silence de la même opinion publique algérienne concernant la parution de la carte du royaume du Maroc dans son intégralité!
Le Polisario, qui tentait en vain d’induire en erreur l’opinion publique algérienne et à travers elle l’opinion publique internationale, se rend à l’évidence. Si le manuel scolaire algérien avec l’intégralité du Sahara marocain n’intéresse pas l’opinion publique en Algérie contrairement à la carte de la Palestine, c’est que le Sahara marocain est non sujet pour les Algériens, contrairement à ce que laissent entendre leurs dirigeants et… aux gesticulations du Polisario.
Le peuple algérien frère sait pertinemment que le conflit saharien a été créé de toutes pièces par les dirigeants algériens, au même titre que l’a été le Polisario par le régime du colonel Houari Boumediene dans la moitié des années soixante-dix. Il n’est par conséquent pas dupe des manoeuvres hostiles à l’intégrité territoriale du royaume du Maroc, orchestrées par les héritiers de Boumediene, de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba. Pas plus d’ailleurs que de cet amalgame que le tandem Alger-Polisario veut délibérément mais vainement entretenir entre une cause légitime, celle du peuple palestinien, et cette imposture grossière nommée «cause sahraouie»!
En prenant ses distances par rapport à cette fausse polémique que le Polisario, ainsi que ses mentors à Alger, veulent susciter autour de la carte du Maroc, le peuple algérien a démontré qu’il ne se trompait pas de cause, réfutant, envers et contre ses dirigeants, tout apparentement entre une cause juste, soit celle du peuple palestinien spolié, et cette affabulation abusivement nommée «cause sahraouie».
L’attitude du peuple algérien face à cette question prouve encore une fois que ses préoccupations sont loin de celles de l’establishment militaro-politique en exercice, en panne de légitimité populaire et qui ne saurait indéfiniment hypothéquer le droit des Algériens à disposer d’eux-mêmes.
Vous avez bien lu: le droit des algériens à disposer d'eux-mêmes. Quant à cette fiction nommée "peuple sahraoui", cela ferait rire jusque les chameaux de Tamanraset et de Tindouf! De la même façon que le ferait cette ridicule gesticulation autour de la carte du Maroc.
Ziad Alami
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