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Infomediaire Afrique - 2 ans de crise pétrolière auront suffi à Alger pour mettre à plat les réserves financières de tirées du pétrole. Ainsi, le fonds de régulation des recettes (FRR), alimenté durant les années fastes où les cours de l’or noir tutoyaient les 100 dollars le baril, est théoriquement épuisé.
En effet, le fonds qui contenait encore 18,9 milliards de dollars à fin 2015, a été à nouveau ponctionné de 12 milliards de dollars au 1er semestre (pour faire face au déficit public), d’après les chiffres officiels publiés hier par le ministère des Finances.
Un prélèvement qui induit un solde de 6,75 milliards de dollars, soit moins que le seuil minimal légal fixé par le législateur.
Il s’agit donc du dernier grand revers de l’économie algérienne embourbée par la crise pétrolière. Le déficit budgétaire 2016 est chiffré à 2 542 milliards de dinars, et pour les 6 premier mois de l’année, le manque à gagner des finances publiques s’établit déjà à 1 768,98 milliards, soit 70% de déficit annuel.
En effet, le fonds qui contenait encore 18,9 milliards de dollars à fin 2015, a été à nouveau ponctionné de 12 milliards de dollars au 1er semestre (pour faire face au déficit public), d’après les chiffres officiels publiés hier par le ministère des Finances.
Un prélèvement qui induit un solde de 6,75 milliards de dollars, soit moins que le seuil minimal légal fixé par le législateur.
Il s’agit donc du dernier grand revers de l’économie algérienne embourbée par la crise pétrolière. Le déficit budgétaire 2016 est chiffré à 2 542 milliards de dinars, et pour les 6 premier mois de l’année, le manque à gagner des finances publiques s’établit déjà à 1 768,98 milliards, soit 70% de déficit annuel.