Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Sid Ahmed Ghozali : « Nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas »

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Sid Ahmed Ghozali : « Nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas »

    Sid Ahmed Ghozali : « Nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas »
    TSA - 10:32 samedi 1 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa

    Ancien chef du gouvernement, Sid Ahmed Ghozali a également été ministre de l’Énergie et premier PDG Sonatrach. Dans cet entretien, il revient sur la dernière réunion informelle de l’Opep et explique pourquoi c’est non-événement. Il analyse également la stratégie économique du gouvernement et met en garde contre ses conséquences désastreuses.

    Au lendemain de la décision historique de l’Opep de réduire sa production, le baril est reparti en baisse avant de se ressaisir. L’Opep souffre-t-elle d’un déficit de crédibilité ou n’a-t-elle plus les moyens de peser sur le marché ?

    Cette réunion qualifiée précautionneusement d’informelle est et restera un non-événement. Car, quoiqu’il arrive, même si les prix devaient remonter à 150 dollars, le problème central de notre pays est dramatiquement plus grave : la faillite de la gestion économique du pays.

    Fondée aux seules fins d’enrayer la chute des prix de la fin des années 50, l’Opep a pu, dans un passé lointain, peser relativement sur le prix du pétrole. Très relativement. En tout état de cause, ce n’est plus le cas aujourd’hui, si tant est que cela ait pu être le cas hier. Je me dois de rappeler que les clés du marché ne sont, ni dans la « main invisible » d’Adam Smith, ni encore moins entre les mains de l’Arabie saoudite, ni entre celles de l’Iran ou de l’Irak. Les plus grandes réserves d’énergie fossile sont dans l’ensemble Amérique du Nord (USA plus Canada qui en sont en même temps les plus gros consommateurs). Ajoutez-y les réserves qui sont ailleurs mais sous le contrôle économique et géopolitique US et vous comprendrez pourquoi le trousseau est détenu en fin de compte par les États-Unis d’Amérique.

    Si, il y a quarante-trois ans de cela, l’action de l’Opep a pu favoriser une augmentation des prix (pour cause guerre d’octobre 1973 et de l’embargo qui s’en est suivi, NDLR), c’est parce que les États-Unis ne s’y étaient pas opposés…s’ils n’ont pas tout simplement inspiré voire suscité l’événement, aux fins de réduire à leur profit la compétitivité de l’Europe laquelle, en tant que plus gros importateur mondial de pétrole, était la première à souffrir de l’embargo.

    Cela étant dit, ne vous laissez pas entraîner dans ce débat autour du prix du pétrole : vous tomberiez dans le piège qui consiste à faire oublier que le problème de l’Algérie est une situation économique désastreuse que nous devons à nos propres incuries et autres turpitudes politiciennes, et non point au facteur exogène du prix du pétrole, facteur bien commode pour se défausser sur les « autres ».

    Pourquoi est-ce un piège ?

    Vous êtes-vous demandé pourquoi depuis trois ans nous n’avons d’yeux, ni d’oreille, ni de préoccupation que pour le prix du pétrole ? Qui n’a de cesse que de préparer les Algériens à une réduction dramatique de notre artificiel train de vie en enfonçant dans les esprits que notre problème est lié au prix du pétrole…c’est à dire la faute à l’étranger ? En fait, cette baisse du prix du pétrole a levé le rideau sur une situation tragique entièrement due à l’incurie de la gouvernance politique : nous vivons avec une richesse que nous ne créons pas. Pendant quinze ans on a jeté par les fenêtres des brassées de milliards de dollars, on a endormi l’opinion dans l’euphorie financière artificielle. Je ne contribuerai donc pas à alimenter une grossière propagande qui consiste à anesthésier encore le peuple algérien.

    Nous oublions les années 80 : ce que nous vivons trente ans après n’est qu’un replay de ce qu’a vécu le peuple algérien à l’époque. La situation inextricable dans laquelle nous nous trouvons nous la devons à notre incapacité à tirer les leçons du passé.

    Car à l’époque aussi la cigale avait aussi chanté tout l’été se trouvant fort dépourvue quand la bise fut venue. À l’époque aussi, quand les prix se sont mis à dégringoler à partir de 1985 on était allé très loin dans le mensonge jusqu’à faire dire au chef de l’État des énormités, notamment que le prix du pétrole était sciemment manipulé pour nuire à une Algérie jalousée (sic) !

    L’Algérie n’a plus aucun poids aujourd’hui ?

    Dans l’histoire de l’Opep, il n’y a eu qu’un seul sommet de Chefs d’États, celui qui s’était tenu en Algérie en mars 1975. C’était au moment où notre pays avait un poids relatif sur le plan diplomatique. Il était crédible parce qu’il avait une politique intérieure crédible.

    On qualifie cette réunion informelle organisée à Alger de succès historique : nous ne tarderons pas à le vérifier demain. Je prie Dieu qu’il confirme ce jugement.

    Aujourd’hui, le pouvoir est dans la fuite en avant. Il entraîne derrière lui tout un peuple. On dit que le pouvoir est rentier. Il s’agit d’un raccourci. Il a ancré dans les têtes l’esprit rentier. Ecoutez ce que disent les gens : « Ils veulent leur part de pétrole ». Ce n’est pas cela la mentalité de rentier ? Vous n’entendrez jamais un Occidental tenir des propos similaires.

    L’Algérie résiste au choc pétrolier, selon le Premier ministre…

    D’autres de ses confrères ont clamé à chaque crise internationale la spécificité algérienne : « Grâce à une politique avisée, l’Algérie ne peut pas être affectée par la crise ». (En 1984, le Premier ministre de l’époque avait lancé de la tribune de l’APN : « nous avons mieux fait que les USA » et puis péroré sur le perron de l’Elysée : « Nous sommes prêts à aider la France à équilibrer ses finances extérieures »…Trois ans plus tard l’Algérie devenait le pays le plus endetté de la planète avec 70% d’endettement et deux ans plus tard ce fut octobre 88)

    La stratégie de communication du pouvoir consiste depuis trois ans à préparer les Algériens à une réduction drastique d’un train de vie artificiel en leur faisant croire que le gouvernement n’est pas responsable de la situation et que celle-ci dépend des pays qui décident du prix du pétrole notamment l’Arabie saoudite. Ce genre de discours n’est pas nouveau, je viens de le rappeler. Si les Algériens sont à ce point anesthésiés, qu’ils sachent que ce sont eux et eux seuls qui paieront la facture. Les mêmes causes produiront les mêmes effets. Les mêmes mensonges produiront les mêmes dégâts, surmultipliés pour raisons de conjoncture politique et sociale aggravante. Aussi refuserai-je de débattre avec vous d’un problème dont on veut me faire croire que c’est le problème central de l’Algérie alors que ce n’est pas le cas. Il faut interroger les faits sur le terrain et vous aurez la réponse à la question de savoir si le Premier ministre dit vrai ou faux.

    L’Algérie peut-elle éviter retour à l’endettement extérieur ?

    Cette histoire d’endettement, de remboursement anticipé etc. date d’une grande escroquerie propagée pour la première fois après la mort de Houari Boumédiène pour détruire son image. Dès le départ, c’était une question politicienne, elle est adoptée en un fonds de commerce politique traditionnel. Le pouvoir sait que les Algériens gardent un très mauvais souvenir d’un endettement de 70% dans les années 1980. Donc il rembourse la dette par anticipation. Au début des années 1980, le prix du pétrole était remonté à 43 dollars. Nous avons remboursé par anticipation pour faire croire aux Algériens qu’on les a débarrassés du surendettement. Résultat : après la chute des prix et un baril à 11 dollars, nous nous sommes mis à emprunter en cachette. La dette de l’Algérie était considérée comme secrète. Ce qui est absolument absurde !

    Risque-t-on de se retrouver dans la même situation ?

    Ce sera pire. En 1990, nous étions moins de 30 millions. Maintenant, nous sommes plus de 40 millions. Je vous rappelle aussi qu’on n’avait pas le même train de vie. On importait 10.000 voitures. On est passé à 600.000 voitures par an. Je ne parle pas du reste.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Il en sait qlq chose SAG, des non événements, puisque que ses aigreurs successives s'assimilent inexorablement à de grossiers non événements...

    Sa propension à caresser au sens du poil ses amis yankees, et autres cercles internationaux, jusqu'à s'accoquiner avec les opposants iraniens est un autre exemple de non événement, de papillonnage dont il a le secret!!!

    La vengeance, l'aigreur, semble être son carburent depuis qu'il a perdu ses privilèges de l'ère Boumedienne, au point d'être chef de gouvernement de ses bourreaux... Et Harki du système dans ses moments de remontées acides... SAG devrait nous éviter ses successives poussées d'urticaires...
    Dernière modification par ott, 01 octobre 2016, 12h29.
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      On ne pas nier que la manne pétrolière de ces dix dernières années a été gérée d'une manière outrancière, qu'elle a financé le clientelisme et l' allégeance. Le gaspillage et la dilapidation des deniers public, n'est pas une vue de l'esprit, c'est une réalité .
      La mauvaise gouvernance et le laisser aller vers l'import n'est pas une invention de SAG, lorsqu'il dit que si nous traversons une crise financière ce n'est pas parceque les prix du brut ont chuté, c'est parceque nous avons tellement mal utilisé les recettes du pétrole.

      Faut il encore s'endetter ou pas, cela est le débat actuel et ghozali est contre.
      Tout se discute et la vérité c'est l'avenir proche qui nous l'apportera.

      Commentaire


      • #4
        Certes, cependant considérer que l'accord de l'OPEP est un non événement avec un discours pro américain, comme il a rarement été tenu par des politiques en Algérie est le genre d'aigreurs qui discrédite toute analyse de cet auto proclamé harki du système...

        Il ne fait aucun doute que les ressources tirées d'un prix de pétrole élevé a permis à une faune de parasites de progresser, et à continuer à pomper la vache laitière... mais se retrouver avec SAG et ses amis comme alternative serait le pire sort lancé contre ml'avenir de ce pays, et ce quelque soit la justesse, la pertinence, les errances des analyses... On se demande bien ce qu'a été le rôle de l'Algérie quand ce monsieur a été MAE, placé par Nezzar pour préparer la suite des événements....
        Othmane BENZAGHOU

        Commentaire


        • #5
          Que SAG et ses amis soient une alternative ou pas et une autre question qui n'est pas d'actualité, le monsieur est interdit d'activité politique, son parti n'est toujours pas agréé et la raison n'est la pertinence de ses idées ou pas, la raison est purrement personnelle, SAG est parmi les rares qui n'ont pas fait acte d'allégeance à qui tu sais !
          Le monsieur a été patron de la Sonatrach, ministre et premier ministre, on ne peut effacer d'un revers de main ses compétences et ses engagements, le monsieur ne se soumet pas à la fatalité bouteflikienne , on ne peut lui reprocher son opposition car il a fait partie du sérail sinon, la totalité de nos politiques seront de fait exclus.

          Commentaire


          • #6
            Le sujet initial était un verdict d'un supposé connaisseur du pétrole quant a la portée de ce qui s'est passé cette semaine à Alger. Et le moins que l'on puisse dire est que l'avis donné est bourré d'amertume, et significatif quant a l'americanisme affiché, pour ne pas dire un mépris affiché de ce monsieur. Quant à sa posture politique, elle date au moins de l'époque où son mentor, Nezzar, n'avait pas encore adoubé le candidat du consensus qu'il qualifiera par la suite du moins pire. Sa candidature face à Bouteflika en 1999 n'avait pas passé le seuil du conseil constitutionnel, contrairement aux 6 autres. Certains iront plus loin, a l'époque Boumedienne, avec plusieurs conseillers sur les affaires pétrolières qui entouraient Boumedienne, et nomment à la présidence... Le reste n'est que posture politicienne, de quelqu'un qui aurait applaudi les mêmes politiques, s'il avait été aux commandes, ou associé. Ce n'est pas la perception que j'ai de la politique. Ses positions concernant une période charnière de l'histoire du pays, les années 90 en est l'exemple le plus criant ou quand il a exigé d'être nommé ambassadeur à Paris au moment où on lui a demandé de dégager de son poste... Ses déclarations comme quoi il se considérait avoir été le harki du système démontre qu'il est prêt à cracher sur n'importe quoi pour arriver à ses fins... Là aussi, ce n'est pas ma perception de la politique...
            Dernière modification par ott, 01 octobre 2016, 18h16.
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              L'événement de cette semaine ne va faire décoller les prix du pétrole, 2 ou 3 dollars de plus par baril ne va pas sauver le pays de la crise, même si à Vienne un miracle se produit l'enjeu est comment faire décoller la machine économique , augmenter les investissements, sauver le pouvoir d'achat, ôter les obstacles structurels qui bloquent la production exportable, éradiquer la corruption et les malversations, remettre les gens au travail et libérer les énergies pour plus d'entreprises. La réunion informelle de l'opep apporte du beurre aux épinards mais le pétrole doit cesser de nous tenir par la barbichette.

              Commentaire


              • #8
                L'événement de cette semaine ne va faire décoller les prix du pétrole, 2 ou 3 dollars de plus par baril ne va pas sauver le pays de la crise, même si à Vienne un miracle se produit l'enjeu est comment faire décoller la machine économique , augmenter les investissements, sauver le pouvoir d'achat, ôter les obstacles structurels qui bloquent la production exportable, éradiquer la corruption et les malversations, remettre les gens au travail et libérer les énergies pour plus d'entreprises. La réunion informelle de l'opep apporte du beurre aux épinards mais le pétrole doit cesser de nous tenir par la barbichette.
                Le catastrophisme de certains non plus!!! L'Algérie a les potentialités d'un avenir radieux, à partir du moment où certains algériens arrêterons de sacrifier tout, même leur avenir, pour assouvir une vengeance personnelle ou politique...

                Quant à l'avenir du pétrole, il est radieux... Le pétrole a encore de très beaux jours devant lui. Cette crise pétrolière est une aubaine pour notre pays, un électrochoc pour que chacun prenne conscience qu'il faut construire une économie viable, et bâtir des institutions politiques solides, qui puissent résister à des crises d'ampleur bien plus grande que ce que nous vivons aujourd’hui, pas de se satisfaire de tout détruire, comme se complaisent certains opposants qui sont capables de papillonner un peu partout...
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  Pour les critiques sur sa personne ou sur son parcours, je ne vais pas m'improviser avocat de SAG, il est assez blindé pour se passer de mes services.

                  Commentaire


                  • #10
                    SAG a affiné ses analyses eco ,on dirait qu'il avait repris le chemin de l'ecole ; quand on sait ses pietres performances durant son passage aux affaires etrangeres et même comme 1°sinistre .Enfin ,c'etait lui le manager organisateur d'elections propres ayant amené le FIS à la majorité !?
                    une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

                    Commentaire


                    • #11
                      Sid Ahmed Ghozali parle de Sonatrach et de Chakib Khelil.....


                      OÙ VA L'ALGÉRIE par Mr.Sid Ahmed Ghozali

                      dz(0000/1111)dz

                      Commentaire


                      • #12
                        Au moins SAG ne tergiverse pas, il va à l'essentiel, il nomme les maux de l'Algérie tout en assumant son parcours et son expérience. Sur la 2 ème vidéo il parle de légitimité du pouvoir et comment maintenir la stabilité du pays avec des caisses pas si remplie que par le passé.
                        En fait il dit que notre problème n'est pas le pétrole mais le système actuel basé sur l'autoritarisme et le verrouillage.

                        Mouloud Hamrouche nous aurait parlé en chinois, on aurait rien pigé !

                        Commentaire


                        • #13
                          Mouloud Hamrouche nous aurait parlé en chinois, on aurait rien pigé !
                          Etonnant de voir un adepte de Ouyahia applaudir Ghozali et encenser Hamrouche, parce que dit-il, il ne le comprend pas. LA réalité, c'est que les sorties de Ghozali sont des non événements chroniques, il ne fait que répéter le même catastrophisme sans qu'aucune donne politique ne bouge d'un iota, il n'a même pas été accepté au sein de l'opposition de Zeralda, et que celles de Hamrouche font mouche, c'est ce qui exaspère au plus haut point.

                          La différence aussi, c'est que Ghozali, en tant que proche de Nezzar traduit une opposition du système, qui ne souhaitent que le remplacement de celui qui les dérange et qui leur donne du file à retordre. Hamrouche parle plutôt d'un processus de changement qui ne se fixe pas sur la personne du président Bouteflika...

                          Quant à ton Ouyahia, il a été l'un des artisants du départ de Benachenhou, au même moment que les Mentouri lors du remaniement de mai 2005, il avait vendu le plan de relance dépensier de l'état que Benachenhou considérait hors de porté des entreprises algériennes, qu'il fallait progressivement accompagner. On aimerait bien t'entendre sur les sujets qui concernent ton candidat, en toute transparence, et non en avançant masqué, sous la couverture de celui qu'on critique par ailleurs, au poste clé de directeur de cabinet de la présidance, en nous parlant de ses réalisations, de ses projets et de son programme pour l'avenir...
                          Dernière modification par ott, 02 octobre 2016, 13h52.
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire


                          • #14
                            Envoyé par ott
                            ...
                            L'Algérie a les potentialités d'un avenir radieux, à partir du moment où certains algériens arrêterons de sacrifier tout, même leur avenir, pour assouvir une vengeance personnelle ou politique...

                            Quant à l'avenir du pétrole, il est radieux... Le pétrole a encore de très beaux jours devant lui. Cette crise pétrolière est une aubaine pour notre pays, un électrochoc pour que chacun prenne conscience qu'il faut construire une économie viable, et bâtir des institutions politiques solides, qui puissent résister à des crises d'ampleur bien plus grande que ce que nous vivons aujourd’hui, pas de se satisfaire de tout détruire, comme se complaisent certains opposants qui sont capables de papillonner un peu partout...
                            Toujours la même chanson et toujours le même désespoir avec le même pouvoir. Telle est la vision de notre Ott !!!!

                            Si la situation financière du pays redevienne comme elle était en 1989, aurions-nous une autre décennie de terrorisme à l'image des années 90 pour que le pouvoir despotique sauve sa peau une fois de plus ?

                            P.

                            Commentaire


                            • #15
                              Toujours la même chanson et toujours le même désespoir avec le même pouvoir. Telle est la vision de notre Ott !!!!

                              Si la situation financière du pays redevienne comme elle était en 1989, aurions-nous une autre décennie de terrorisme à l'image des années 90 pour que le pouvoir despotique sauve sa peau une fois de plus ?
                              Je me suis relis plusieurs fois, et je ne comprends pas comment tu peux parler de désespoir dans mes propos. Bien au contraire, le pays a les potentialité d'un avenir meilleur, tu en doutes?
                              Othmane BENZAGHOU

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X