Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Un monument dessiné sur une carte par al-idrissi

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Un monument dessiné sur une carte par al-idrissi

    Nous arrivons au terme de cet hommage à Al-Idrissi. Nous le connaissons mieux aujourd’hui à travers son œuvre "Kitab Nuzhat al-mushtaq fî ikhtirâq al-âfâq" ou "Livre de Roger"avec ses cartes géographiques du monde connu du 12ème siècle. Je me suis rendu compte que j’ai qualifié, plusieurs fois, ce savant de monumental. J’ai longtemps cherché quelque chose qui puisse justifier ce qualificatif, naturellement, en dehors de son œuvre qui l’est déjà. Je pense l’avoir trouvé : C’est la liste des ouvrages, études et articles écrits sur lui et en rapport avec son œuvre, depuis au moins quatre siècles..

    Cette liste est imposante de par le nombre d’ouvrages, de leur date de publication et de la diversité des sujets traités en rapport avec l’œuvre d’Al-Idrissi :


    Environ 100 livres, articles et études. Certains auteurs sont connus, comme l’islamologue Louis Massignon. Cependant, celui qui semble être le plus proche de l’œuvre d’Al-Idrissi, c’est l’orientaliste Miguel Casiri (1710-1791). Il a été le bibliothécaire en chel de la Bibliothèque de l’Escurial au nord de Madrid (visitée en 2004). C’est ici que sont conservés les livres arabes d’Al-Andalous.
    Les auteurs représentent 17 pays différents. Maroc, Égypte, Algérie, Allemagne, Angleterre, Autriche, Bulgarie. Écosse, Espagne, Finlande, France, Inde, Italie, Pays-Bas, Pologne, Russie, Ukraine,
    Les sujets développés sont très divers et concernent des pays éparpillés dans le monde : Les routes d’Al-Andalous, le commerce génois dans la mer Noire à la fin du 13ème siècle, la voie Kiev-Vladimir au 13ème ou encore le Turkestan sous la domination mongole et les routes entre Bagdad et l’Inde…
    Ces publications s’étalent sur plusieurs siècles. De nombreux auteurs et historiens arabes comme Hassan Al-wazzan (Léon l’Africain) et Ibn Khaldoun ont cité Al-Idrissi.


    LISTE DES OUVRAGES, ÉTUDES ET ARTICLES ASSOCIES À L’ŒUVRE D'AL-IDRISSI

    Cette bibliographie est un document important pour les universitaires et les chercheurs qui veulent explorer encore plus l'oeuvre d'Al-Idrissi. Les simples titres de ces oeuvres sont une invitation à un long voyage dans le temps et dans l'espace...


    Documents en arabe de deux éminents penseurs marocains :
    Mohammed EL FASSI:,الشريف الإدريسي، أكبر علماء الجغرافية عند العرب Revue Al-‘Udwatani, Tanger, 1952

    Abdellah GUENNOUN : الشريف الإدريسي in an-Noubough al-maghribi, Tétouan, 1952
    Traductions

    Traduction française : P. A JAUBERT, Géographie d’Edrisi, Paris, 1836-1840.
    Traduction italienne : M. AMARI et C. SCHAPARELLI, L’Italia descritta nel Libro di re Ruggero, Roma (Atti R. Accademia Lincei, 2 ser., VIII), 1883.
    Traduction anglaise : H. MONES, “ Description of Egypt by Edrisi “, Studi maghrebini, XVI, 1984, p. p. 1-53
    Traduction castillane : C. DUBLER, “ Al-Andalus en la Geographica de al-Idrissi”, Studu maghrebini, XX, 1988, p. 113-151.
    Ch PELLAT, « La France dans la Géographie d’Al-Idrîsî », Studi maghribini, X, p. 33-7
    R. DOZY et DE GOEJE, Description de l’Afrique et de l’Espagne, réimp, Leyde, 1968.
    J. RIZZTTANO, Il Libro di re Ruggero di Idrisi, Palermo, 1966.
    R RUBINACCI, « Il Tibet nella Geograhica d’Idrisi », Gururâja-manjarika, Studi in onore di Giuseppe TUCCI, I, NAPLES, 1974, p. 195.
    Articles et ouvrages

    H AHRLWEILER, « L’Histoire et la géographie de la région de Smyrne entre les occupations turques (1081-1317) » Travaux et Mémoires, I, 1965, p. 1-204.
    J. ALEMANY BOLUFER, « La Geographia de la Peninsula Iberica en los escritores arabes ». Revista del Centro de Estudios Historicos de Granada y su reino, 9, 1919 , p. 109-172 ; 10, 1920, p. 1-29, 121-184 ; 11, 1921 ? p. 1-40.
    W. BARTHOLD, Turkestan down to the Mongol invasion, London, 1928.
    (siglo XII) “, Boletin de la R. Sociedad Geographica, XI.III, 190?, p. 7-51.
    G. BRATIANU, Recherches sur le commerce génois dans la mer Noire à la fin du XIIIe siècle, Paris, 1929.
    H. BRESC et A. NEF, La première géographie de l'Occident d'Idrisi, Paris, 1999.
    P.-L CAMBUZAT, L’évolution des cités du Tell en Ifrikiyya du VIIe au XIe siècle, Alger, s.d.
    M. CASIRI, Bibliotheca Arabico-Hispanica Escurialensis, II, Madrid, 1770.
    L.C. CHARELLI, « Al-Idrissi’s description of Sicily : a critical survey », scripta mediterranea, I, 1980, p. 29-43.
    CONSTANTIN VII PORPHYROGENETE, De administrando Imperio, éd G. MONAVSCIK, trad. R. J. H. HOPKINS, Budapest, 1949.
    J.M. CUDO, Recueil des sources arabes concernant l’Afrique occidentale du VIIe au XVI siècle ( Bilâd al-Sûdân), Paris, 1975
    A. DE SIMONE, Splendor e misteri in un’opera di Ibn Qalaqis, Soveria Manelli-Messine, 1996.
    C. DUBLER, « Der Afro-Indomalaische Raum bei Idrîsî », Asiatische Studien, I-4, 1956, p. 19-59.
    C. DUBLER, « Idrisiana Hispanica I. Probables itineraries de Idrisi por al-Andalus”, al-Andalus XXX, 1965, p. 89-137
    C. DUBLER, « Los Caminos a Compostela en la obra de Idrîsî », Al-Andalus, XIV, 1949, p. 59-122.
    M. DUNLOP, “The British isles according to medieval arabic authors” The Islamic Quaterly, IV, 1957, p. 11-28.
    H. EISENSTEIN, “ Karmten in al-Idrissi’s Geographie (1154)” Wiener Zeitschrift für die Kunde des Morgenslandes , 83, 1993, p. 83-100.
    H. EISENSTEIN, “Nemce” Encyclopédie de l’Islam 2
    B. T. A. EVETTS, The Churches and Monasteries of Egypt, Oxford, 1895.
    P. GAUTIER DALCHÉ, Carte marine et portulan au XIIe siècle, le Liber de la existencia riverianum et forma maris nostri mediterranei, (Pise, circa 1200) Rome,1990.
    A. GUEST, «The delta of the Middle Ages », The Journal of the Royal Asiatic Society, 1912
    S. GSELI, Atlas archéologique de l’Algérie, Paris-Alger, 1911.
    WW. HEINERBACH, Deutshland und Seine Nachbarländer nach der Geographie des Idrisi, Suttgart, 1939.
    F. HERNADEZ JIMENEZ, « Estudios de Geographia historica espanola, I El Ribat de Kaskallu de Marmaria, El Kastali de Idrisi », Al-Andalus, IV, 1939, p. 317-332.
    F. HERNADEZ JIMENEZ, « Los caminos de Cordoba hacia Noroeste », Al-Andalus, XXXII, 1967, p. 37-123, 277-358.
    J. F. P. HOPKINS, « Sousse et la Tunisie orientale vues par les géographes arabes » Cahiers de Tunisie, 31, 1960, p. 83-05.
    G. INEICHEN, « IL lag di Al-IDRISI, Bolletino dell’Atlante linuistico mediterraneo, 10-12, 1968-1970, p. 159-165.
    A. K. JOHNSTON et T.B. JOHNSTON «The Royal Atlas of Modern Geography, Edimbourg et Londres, 1887.
    Y. KAMAL, La géographie de l’Egypte à l’époque arabe, t. I, La Basse Egypte, Le Caire, 1926.
    Y. KAMAL, Monumenta cartographica, Africa et AEgypti, t. III, époque arabe, fasc.3 ? 1933, 4, 1934, 5, 1935.
    St KENDEROVA et B. BESEVLIEV, La peninsula balkanique représentée sur les cartes d’al-Idrisi, Sofia, 1990.
    E.S. KENNEDY et M. H. KENNEDY, Geograhical Coordinates from Islamic Sources, Francfort, 1987.
    B.E. KUMEROV, “ Strana kimakov po al-Idrisi” Pis’menye pamjamiki I problem istorii kul’turny narodov Vostoka, Leningrad, 1968, p. 26-28.
    T. LEWICKI, Arabic External Sources for the History of Africa to the south of Sahara, London, 1974.
    T. LEWICKI, “ A propos de la genèse du Nuzhat al-mushtaq fî ikhtirâq al-âfâq d’al-Idrissi », Studi Maghrebini, I, 1966, p. 41-55.
    T. LEWICKI, La Pologne et les pays voisins dans le livre d’al-Idrisi, Cracovie, 1945, II, Varsovie , 1954.
    T. LEWICKI, « Marino Sanudos Mappa Mundi (1321) und die runde Weltkarte von Idrîsî (1154)” , Rocznik Orientalistyczny, 38, 1976, p. 169-195.
    T. LEWICKI, « La voie Kiev-Vladimir ( Wodzimiercz Wolynski) d’après le géographe arabe du XIIe siècle al-Idrisi », Rocznik Orientalistyczny, XIII, 1937, p. 91-105.
    S. MAKBUL AHMAD, « India and the Neibouring Territories as described by Sharif al-Idrisi in the "Kitab Nuzhat al-mushtaq fî ikhtirâq al-âfâq" , Aligarh, 1954, Leyde, 1960.
    G. MARTINEZ-GROS, « La division du monde selon al-Idrisi », Le partage du monde, éd M. BALARD et A. DUCELLIER, Paris, 1998, p. 315-334
    L. MASSIGNON, Le Maroc dans les premières années du XIIIe siècle, Tableau géographique d’après Léon l’Africain, Alger, 1906 .
    R. MAUNY, Tableau géographique de l’ouest africain au Moyen Âge, d’après les sources écrites, les traditions, et l’archéologie, Dakar, 1961.
    M. MEYERHOF, « Etudes de pharmacologie arabe, tirées de manuscrits inédits.IV. Le recueil de description des drogues simples du chérif al-Idrisi », Bulletin de l’institut d’Egypte, XXIII, 1941 , p. 89-101.
    K. MILLER, Mappe arabica, Bd II, Stuttgart, 1927.
    K. MILLER, Weltkarte des Arabers Idrisi vom Jahre 1154 mit Erläuterungen, Suttgart, 1928.
    A. MIQUEL, La géographie humaine du monde musulman jusqu’au milieu du XIe siècle, I-IV, Paris-La Haye, 1967-
    J.A. MITAL, Los Caminos de Al-Andalus en el siglo XII, Madrid, 1989.
    H. MONES, “Commentatory on the chapters on Egypt of Nuzhat al-mushtaq fî ikhtirâq al-âfâq by Sharif al’Idrisi, Studi Maghrebini XIII, 1985, p. 16-60.”, et XX, 1988, p. 45-112.
    B. MUNK OLSEN, L’étude des auteurs classiques latins aux XIe et XIIe siècle, Paris, 1982-1989.
    H. VON MZIK, « Idrisi und Ptolemäus », Orientalische Literaturzeitung, 15, 1912, col. 402-407.
    M. H. NAINAR, Arab Geographer Knowledge of Southern India, Madras, 1942, réed. Francfort, 1993.
    G. OMAN, “ A propos du second ouvrage géographique attribué au géographe arabe al-Idrisi: le “ Rawd al –Uns wa nuzhat al-nafs”, Folia Orientalia, XII, 1870, p. 187-193.
    G. OMAN, « Notizie bibliografiche sul geographico arabo al-Idrisi (XII secolo) e sulle sue opere », Annali dell’Instito Universitario Orientale di Napoli, n.s. XI, 1961, p. 25-61 ; « Addenda », ibid, 1966, p. 101-103 ; « Addenda III », ibid, 1969, p. 55-65.
    G. OMAN, « Observazioni sulle notizie biografiche comunimente diffuse sulle scritore arabe al-Sharif Al-Idrisi », Annali dell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, 1970 , p. 209-238.
    OMAN,, « Voci marinaresche usate dal geografo arabo al-Idrisi (XII secolo) nelle sue descrizioni delle coste settentrionalli dell’Africa » Annali dell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, n.s., XII, 1963, p. 1-26.
    Ch. PELLAT, « Notes sur les toponymes français dans le livre d’al-Idrisi » Mélanges offerts à René Crozet, Poitiers, 1966 , p. 797-807.
    Ch. PICARD, L’Océan atlantique musulman de la conquête arabe à la conquête almohade, navigation et mise en valeur des cités d’al-Andalus et du Maghreb occidental , Portugal, Espagne, Maroc, Paris, 1997.
    F. PONS BOIGUES, Ensayo bibliografico sobre los historiadores y geograficos arabigos espanoles, Madrid, 1898.
    W. M. RAMSAY, The Historical Geography of Asia Minor, London, 1890.
    M. RAMZI, Al Balad al-Mundarasat, Le Caire, 1953-1954.
    G . RAYMOND BEAZLEY, The Dawn of Modern Geography, vol III, A history of Exploration and Geographical Science from the Middle of the thirteenth Century to the early years of the fifteenth Century (c. AD. 1260-1420), Oxford, 1906.
    J.-T. REINAUD, Géographie d’Abulféda, Pari, 1848-1883
    É. RENOU, Description géographique de l’Empire du Maroc, Paris, 1848
    R. RUBINACCI, « La data della geografia di al-Idrisi », Studi maghribini, III, 1970, p. 73-77.
    R. RUBINACCI, « Eliminato Codicum e recensio della Introduzione al Libro di Ruggero », Studi maghrebini, I, 1966, p. 1-40.
    R. RUBINACCI, “ Intorno al cosidetto Piccolo Edrisi “, Yad Nâma in memoria di A. Bausani, II, Rome, 1991, p. 87-98.
    R. RUBINACCI, “ Il Mediterraneo nella Geografia di al-Idrisi”, Gli Interscambi culturali e socio-economici fra l’Africa settentrionale e l’Europa ( Atti du Convegno internazionale d’Amalfi (1983), Naples, 1986, p. 659-663.
    R. RUBINACCI, “ La ville du Caire dans la geographie d’al-Idrisi”, Colloque international d’histoire du Caire, I, Le Caire, 1969, p. 405-411.
    B. A. RYBAKOFF, « Russkie zemli po karte Idrissi 1154 goda », Kratkie Soodstchenia, XI.III, 1952, 1952, p. 1-44.de la Province du Fayoum
    Ed. SAAVEDRA, « La Geografia de Espana del Idrisi », Boletin de la Sociedad Geographica de Madrid, X, 1881, p. 249-255, 376-387, XI, 1881, p. 102-115, XII, 1882, p. 1882, p. 46-54, XIV, p. 81-91, réed. Vlence, 1974.
    M. HADJ SADOK, Al-Idrisi, Le Maghrib au XII siècle de l’Hégire (12ème siècle après J.-C), texte établi et traduit en français d’après Nuzhat al-Mustaq, 1983, Alger, 1983.
    G. SALMON, « Répertoire géographjque de la Province du Fayoum », Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale, I, 1901 , p. 29-77.
    C. F. SEYBOLD, « Emendazioni all’Italia descrita...” , Centenario della nascita di M. Amauri, Palerme, 1910, n. p. 213-215.
    A. A. SIRADJ, L’image de la Tingitane. L’Historiographie arabe médiévale et l’antiquité nord-africaine, Rome, 1995.
    N. SLOUSCH, « Le Caucase, l’Arménie et l’Azerbeidjan d’après les auteurs slaves, arabes et juifs », Revue du monde musulman, 10, 1910, p. 494-508, 11, 1910, p. 54-65, 260-279, 12, 1910, p. 262-272.

  • #2
    suite

    Tabula Imperii byzantini



    1. J. KODER et F. HILD, Hellas und Thessalie, Wien, 1976.
    2. F. HILD et M. RESTE, Kappadokien ( Kappadokia, Charsianon, Sebasteia und Lykandos, Vienne, 1981 ;
    3. O. J. TALLGREN- TUULIO et A.M. TALLGREN, La Finlande et les autres pays baltiques orientaux (Géog, VII, 4), Helsinki, 1930 ( Studia orientalia, 3)
    4. A. TAPIA GARRIDO, Almeria musulmana, I, 711-1172, Almeria, 1986.
    5. J. THIRY, Le Sahara libyen dans l’Afrique du Nord médiéval, Louvain, 1995.
    6. G. R. TIBBETS, Arab Navigation in the Indian Ocean before the Coming of the Portugueses, London, 1981.
    7. G. R. TIBBETS, A Study of the Arabic Texts containing material on South East Africa, 1979.
    8. S. TIMM, Das Christsche-Koptische Agypten in arabischer Zeit, Wiesbaden, 1984-1992.
    9. G. TISSOT et REINACH, Géographie comparée de la province romaine d’Afrique, Paris, 1888.
    10. W. TOMASCHEK, « Zur Kunde der Hämus- Halbinsel,-Die Handelswege im 12 Jahrhundert nach der Erkundigungen des Arabers Idrisi”, Sitzungsberiche des Philisophish-historischer classe der Akademie der Wissenchafften in Wien, CXIII, 1886, p. 285-373.
    11. J. TUULIO, Du nouveau sur idrisi, Helsinki, 1936 (Studia orientalia, 6, 3.)
    12. J. VALLVE, La Division territorial de la España musulmana, Madrid, 1986.
    13. Ch. VERMA, Medieval Routes to India, Baghdad to Delhi ; a study of Trade and Military Routes, Calcutta, 1978.

    Comme nous sommes dans les monuments, observons le globe terrestre dessiné par Al-Idrissi en 1154: la ligne en cordelette située au nord-est et indiquée par la flèche n'est pas une montagne. Les montagnes comme l'Atlas sont dessinées en jaune sur cette carte. Cette ligne représente un monument construit de main d'homme sur plus de 7000 km, c'est la Grande muraille de Chine. Ce monument a été classé au "Patrimoine mondial de l'UNESCO" en 1987. Depuis que l'homme a commencé à explorer l'espace, les astronautes affirment que cette Grande muraille est le seul monument construit par l'homme et qui soit visible, à l'oeil nu et par beau temps, de l'espace.
    Le géographe et cartographe marocain Al-Idrissi a représenté ce monument sur ce globe au 12ème siècle, sans être jamais allé dans l'espace! Monumental, non?




    MAROCITINERAIRES

    Commentaire


    • #3
      L'histoire des savants musulmans volontairement occultée

      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

      Commentaire


      • #4
        Certains affirment que tous les savants musulmans ne sont pas arabes. Celui-là est bien un arabe et de Qoreich en plus !

        Commentaire


        • #5
          Certains affirment que tous les savants musulmans ne sont pas tous arabes
          calomnies !!!
          hadhouk qui parlent comme ca sont des jaloux ...
          Demande a sabahe.
          Celui-là est bien un arabe et de Qoreich en plus !
          chwiya Qoraich ,chwiya la costa del sol et un peu el marrouk tout de même. ..
          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

          Commentaire


          • #6
            Salut xenon ! T'es toujours dans les parages quand le mot "arabe" est prononcé !

            Commentaire


            • #7
              Salut zaki du 17...Oui comme toi d'ailleurs...
              Tout ca C'est a cause de sabahe...
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

              Commentaire


              • #8
                Sabah l'enseignante ? Qu'est-ce qu'elle ta fait la pauvre ?

                Commentaire


                • #9
                  Cheb3atni kherchef...sbah ou 3chiya...
                  Dernière modification par xenon, 03 octobre 2016, 01h10.
                  ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                  On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                  Commentaire


                  • #10
                    Le khourchouf est bon pour la santé, il contient du potassium et surtout du magnésium : anti stress !!

                    Voici une vidéo sur Al Idrissi pour ne pas dévié du sujet :

                    Histoire de l'Age dOr Islamique: Al-Idrissi, Fatima Al-Fihriya et Ibn Al-Nafis



                    Bonne nuit

                    Commentaire


                    • #11
                      Certains affirment que tous les savants musulmans ne sont pas arabes. Celui-là est bien un arabe et de Qoreich en plus !
                      Tous affirment que certains Savants musulmans ne sont pas Arabes, mais tous sont d’accord pour dire que toutes les sciences que nous connaissons et étudions, sont à l’origine en langue arabe ou via la langue arabe !
                      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                      Commentaire


                      • #12
                        Tous affirment que certains Savants musulmans ne sont pas Arabes, mais tous sont d’accord pour dire que toutes les sciences que nous connaissons et étudions, sont à l’origine en langue arabe ou via la langue arabe !
                        à l'origine non,puisque la genèse de cette science ou philosophie est antérieur à l’islam et même au christianisme,la transcription de ce savoir universel et sa diffusion dans les grands centres civilisationnels méditerranéen de l'époque,Carthage,Alexandrie,Antioche,Ctesiphon..e tc a principalement été effectué en Grec et en perse puis en latin .
                        Ceci étant,vers l'an mille et sous les abbassides et notre fameux âge d'Or musulman et le foisonnement intellectuel qui caractérisa cette période ou baghdad est re devenu le centre du monde,l'arabe étant devenu langue d'empire,c'est principalement dans cette langue enrichie que les esprits fertiles et géniaux de tous les coins de l'islam ont repris l'héritage des anciens,repoussés encore plus loin les horizons de la raison puis enfin redonner ce legs à l’humanité ...
                        Dernière modification par xenon, 03 octobre 2016, 12h07.
                        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                        Commentaire


                        • #13
                          Les Grecs philosophaient, mais les Arabes savaient !

                          à l'origine non,puisque la genèse de cette science ou philosophie est antérieur à l’islam et même au christianisme,la transcription de ce savoir universel et sa diffusion dans les grands centres civilisationnels méditerranéen de l'époque,Carthage,Alexandrie,Antioche,Ctesiphon..e tc a principalement été effectué en Grec et en perse puis en latin .
                          Exactly, sauf que tout ce monde ignorait, pendant 1200 ans de moyen-âge sombre, l’existence de toutes ces connaissances philosophiques, sans les fouilles des Arabes dans le passé de la pensée humaine.

                          La preuve, le problème de la quadrature du cercle est sans solution à nos jours, malgré tous les essais des Savants arabes !!!
                          Dernière modification par abderahmane1, 03 octobre 2016, 12h49.
                          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                          Commentaire


                          • #14
                            Envoyé par xenon
                            ...Oui comme toi d'ailleurs...
                            Tout ca C'est a cause de sabahe...
                            Cheb3atni kherchef...sbah ou 3chiya...
                            Echba3 qrnoune alors de la part des gens de Batna encore une fois.
                            Les premiers a avoir arabiser les noms des joueurs sur les maillots de foot ?



                            Commentaire


                            • #15
                              Exactly, sauf que tout ce monde ignorait, pendant 1200 ans de moyen-âge sombre, l’existence de toutes ces connaissances philosophiques, sans les fouilles des Arabes dans le passé de la pensée humaine.
                              !
                              Mais non abderahmane aucunement,ce savoir sauvegardé dans des bibliothèques et des monastères en Syrie,en Egypte, en perse,Byzance..etc était parfaitement connu des initiés et des hommes de sciences.
                              Les arabes de la conquête islamique ignoraient par contre tout de ce monde là jusqu'a ce qu'ils s'en imprènient doucement doucement au contact d'autres cultures et d'autres civilisations ..
                              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X