Par Achira Mammeri |
La ministre de l’Éducation, Noria Benghabrit, peut compter sur le soutien du premier ministre Abdelmalek Sellal pour la réforme de l’école.
« L’élaboration des livres de deuxième génération a été faite dans la transparence avec de surcroît une large concertation et une implication des compétences nationales », a déclaré Sellal dans une réponse transmise à Hassan Laribi, député islamiste du parti El Adala.
Cet élu avait adressé une question écrite à Sellal pour se plaindre « de la méthode Benghabrit » et de l’association des « étrangers dans la conception des nouveaux programmes ». Ce que le Premier ministre a démenti. « Les concepteurs des nouveaux programmes, en l’occurrence les membres de la Commission nationale, n’étaient pas associés aux rencontres qui ont eu lieu avec les experts étrangers », assure Sellal.
Ces rencontres, explique le Premier ministre, ont été tenues dans le cadre de « la coopération bilatérale et des échanges d’expériences dans le domaine de l’éducation ». Les autorités algériennes « sont conscientes » et « déterminées » à compter sur les compétences nationales dans la conception finale des manuels scolaires, assure Sellal.
La rentrée scolaire a été marquée par une polémique et une campagne contre les livres de deuxième génération de l’Éducation nationale. Les opposants aux réformes ont reproché à Benghabrit d’avoir recouru à des experts français pour l’élaboration des nouveaux programmes scolaires. Une polémique accentuée notamment par les erreurs enregistrées dans certains manuels, comme le livre de géographie de la première année moyenne.
M. Sellal assure que ces réformes ont été réfléchies dans un cadre strictement pédagogique loin « des polémiques » et invite « les parties concernées à contribuer à enrichir ces réformes ».
La ministre de l’Éducation, Noria Benghabrit, peut compter sur le soutien du premier ministre Abdelmalek Sellal pour la réforme de l’école.
« L’élaboration des livres de deuxième génération a été faite dans la transparence avec de surcroît une large concertation et une implication des compétences nationales », a déclaré Sellal dans une réponse transmise à Hassan Laribi, député islamiste du parti El Adala.
Cet élu avait adressé une question écrite à Sellal pour se plaindre « de la méthode Benghabrit » et de l’association des « étrangers dans la conception des nouveaux programmes ». Ce que le Premier ministre a démenti. « Les concepteurs des nouveaux programmes, en l’occurrence les membres de la Commission nationale, n’étaient pas associés aux rencontres qui ont eu lieu avec les experts étrangers », assure Sellal.
Ces rencontres, explique le Premier ministre, ont été tenues dans le cadre de « la coopération bilatérale et des échanges d’expériences dans le domaine de l’éducation ». Les autorités algériennes « sont conscientes » et « déterminées » à compter sur les compétences nationales dans la conception finale des manuels scolaires, assure Sellal.
La rentrée scolaire a été marquée par une polémique et une campagne contre les livres de deuxième génération de l’Éducation nationale. Les opposants aux réformes ont reproché à Benghabrit d’avoir recouru à des experts français pour l’élaboration des nouveaux programmes scolaires. Une polémique accentuée notamment par les erreurs enregistrées dans certains manuels, comme le livre de géographie de la première année moyenne.
M. Sellal assure que ces réformes ont été réfléchies dans un cadre strictement pédagogique loin « des polémiques » et invite « les parties concernées à contribuer à enrichir ces réformes ».
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