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La banque hollandaise compte de nombreux employés dans le canton, mais ne donne aucun détail à leur sujet.
ING, le premier groupe bancaire néerlandais, a annoncé lundi son intention de supprimer 7000 emplois. Dans un communiqué, le groupe dit agir sous la pression du durcissement des règles prudentielles et des taux d’intérêt très bas. Son objectif est de dégager des économies de 900 millions d’euros (982 millions de francs) par an d'ici 2021 tout en investissant dans le numérique.
La plupart des postes seront biffés aux Pays-Bas et en Belgique, précise l'institution sans garantir qu'ailleurs ses employés ne seront pas touchés. En Suisse, la multinationale emploie 177 personnes, à Genève et à Zurich. «Pour le moment, nous ne pouvons pas donner de détails sur les conséquences des mesures en Suisse», indique un porte-parole de la banque.
En Suisse, son principal bureau se trouve à Genève. Sur son site internet, l'institution dit même figurer parmi les trois principaux acteurs dans le financement du négoce de matières premières dans le canton. La filiale helvétique dit également servir les entreprises d'autres secteurs, des multinationales aux ONG en passant par les firmes hollandaises présentes dans le pays.
Le groupe n'en est pas à sa première restructuration. En 2009, celui qui a souffert de la crise financière avait déjà communiqué son intention de biffer 7000 postes et de se séparer de nombreuses activités. Il avait ainsi cette année vendu sa filiale helvétique à Julius Baer pour 520 millions de francs. Dans ce cadre, 310 collaborateurs d'ING Bank (Suisse) avaient rejoint les rangs du groupe bancaire zurichois cette année-là.
Le groupe s'est depuis séparé de nombreuses autres filiales, du Canada au Royaume-Uni en passant par Hongkong, la Corée du Sud et Macao. Son chiffre d’affaires a chuté dans la foulée (de 55,8 milliards d’euros en 2011 à 16,8 milliards l'an dernier), tout comme ses effectifs (52'000 actuellement, contre plus de 104'000 cinq ans plus tôt). Le groupe ING a été constitué en 1991 suite à une fusion entre la compagnie d’assurances Nationale Nederlanden et la banque à réseau NMB Postbank. (TDG)
ING, le premier groupe bancaire néerlandais, a annoncé lundi son intention de supprimer 7000 emplois. Dans un communiqué, le groupe dit agir sous la pression du durcissement des règles prudentielles et des taux d’intérêt très bas. Son objectif est de dégager des économies de 900 millions d’euros (982 millions de francs) par an d'ici 2021 tout en investissant dans le numérique.
La plupart des postes seront biffés aux Pays-Bas et en Belgique, précise l'institution sans garantir qu'ailleurs ses employés ne seront pas touchés. En Suisse, la multinationale emploie 177 personnes, à Genève et à Zurich. «Pour le moment, nous ne pouvons pas donner de détails sur les conséquences des mesures en Suisse», indique un porte-parole de la banque.
En Suisse, son principal bureau se trouve à Genève. Sur son site internet, l'institution dit même figurer parmi les trois principaux acteurs dans le financement du négoce de matières premières dans le canton. La filiale helvétique dit également servir les entreprises d'autres secteurs, des multinationales aux ONG en passant par les firmes hollandaises présentes dans le pays.
Le groupe n'en est pas à sa première restructuration. En 2009, celui qui a souffert de la crise financière avait déjà communiqué son intention de biffer 7000 postes et de se séparer de nombreuses activités. Il avait ainsi cette année vendu sa filiale helvétique à Julius Baer pour 520 millions de francs. Dans ce cadre, 310 collaborateurs d'ING Bank (Suisse) avaient rejoint les rangs du groupe bancaire zurichois cette année-là.
Le groupe s'est depuis séparé de nombreuses autres filiales, du Canada au Royaume-Uni en passant par Hongkong, la Corée du Sud et Macao. Son chiffre d’affaires a chuté dans la foulée (de 55,8 milliards d’euros en 2011 à 16,8 milliards l'an dernier), tout comme ses effectifs (52'000 actuellement, contre plus de 104'000 cinq ans plus tôt). Le groupe ING a été constitué en 1991 suite à une fusion entre la compagnie d’assurances Nationale Nederlanden et la banque à réseau NMB Postbank. (TDG)