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Logiciels "made in morocco"

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    Kiosque360. Les success story du secteur de la monétique inspirent de nouveaux chercheurs pour le développement de logiciels dans d’autres domaines d’activité. Ces derniers trouvent dans le Soft Centre la plateforme idoine pour mener à bout leurs projets.

    «Agriculture, automobile et tertiaire, trois secteurs où l'innovation logicielle aura permis des avancées non négligeables au Maroc». C’est ce qu’on peut lire dans les colonnes de L’Economiste, daté du 4 octobre. De l'optimisation de la gestion agricole à la voiture connectée, en passant par le développement de contenu mobile, le know-how marocain commence à se confirmer en matière d'innovation.

    Derrière cette émulation, le Soft Centre qui œuvre pour la création d'une industrie logicielle à part entière, à la condition sine qua non de répondre à des besoins réels et pointus. Une recette qui marche à tous les coups, selon les dirigeants de ce centre qui relève de l’ANRT et est domicilié à l’INPT.

    Créé depuis 5 ans, le Soft Centre joue aujourd'hui le rôle de «courroie de transmission» ou de pont pour l'innovation alliant la demande des utilisateurs à l’offre technique et la composante universitaire. Autrement dit, un pont entre les donneurs d'ordre publics ou privés et les start-ups, via des appels à consultation pour la réalisation de solutions innovantes répondant à des problématiques métiers, l'objectif étant de dupliquer la success-story des secteurs ayant appliqué cette recette, comme la monétique qui figure aujourd'hui dans le top 10 mondial, à d'autres domaines d’activité comme l’agriculture, la banque et les assurances.

    Aujourd'hui, le Soft Centre enregistre au compteur l'accompagnement de pas moins de 37 donneurs d’ordre (dont trois étrangers), ce qui a donné lieu à 60 projets de recherche et développement auxquels ont contribué 214 chercheurs universitaires et des milliers d'étudiants ingénieurs. Le tout pour un budget de plus de 9 millions de dirhams.

  • #2
    37 donneurs d’ordre (dont trois étrangers), ce qui a donné lieu à 60 projets de recherche et développement auxquels ont contribué 214 chercheurs universitaires et des milliers d'étudiants ingénieurs. Le tout pour un budget de plus de 9 millions de dirhams.

    on se moque des gens, 60 projet de recherche pour 9 millions de dirhams!!!?

    quand on sait qu'un simple programme de gestion d'injection moteur coûte des million de dollars.

    a part des jeux basiques pour smart phone genre titris je ne vois pas comment c'est possible!

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