Par Lila Ghali | 04/10/2016 | 15:45
Faceboook est-il une source d’information fiable pour un journaliste ? Voilà une question qui se pose aujourd’hui en force à tous les professionnels de l’information, partagés entre la tentation de relayer ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux et l’obligation professionnelle de vérifier l’information.
Evoquant une récente étude réalisée par son département, le ministre de la communication Hamid Grine affirme que cette dernière pointe de façon assez saillante « la précipitation et l’empressement qui animent certains journalistes qui publient des articles (pris sur Internet) sans vérifier la source » Cela relève selon le ministre, de l’impact des réseaux sociaux sur les journalistes.
D’autre part, Hamid Grine a affirmé que la « liberté absolue » qu’offrent les réseaux sociaux en matière de diffusion d’informations où l’auteur de l’information est à la fois le rédacteur en chef, le journaliste et le responsable de la diffusion, influait sur le journaliste qui se réfère à ces sites pour répercuter ces informations non vérifiées, appelant à faire montre de responsabilité particulièrement avec le secteur de la justice, les organes de sécurité comme la gendarmerie et la sûreté nationale et autres.
Si aujourd’hui il est admis que Facebook pourrait constituer « un point de départ à une information », le journaliste qui en fait l’usage est tenu absolument de vérifier l’information, car sa responsabilité est autrement que celle d’un Facebooker souvent anonyme. C’st la raison pour laquelle, le ministre souligne qu’il est primordial de vérifier l’information dès lors que le journaliste pourrait être à l’origine d’un drame.
Ces rappels, le ministre les a fait ce mardi matin dans une allocution, à l’occasion de l’anniversaire de la radio du Coran. Parant de certains faits liés à la société comme l’enlèvements des enfants, le ministre exhorte les professionnels de la presse à faire preuve de pondération. Pour lui, la formation restait le meilleur moyen de faire respecter les critères du journaliste professionnel, rappelant l’organisation de 40 séminaires de formation au profit des journalistes encadrés par des enseignants compétents venus de France, du Canada, de Suisse et de Tunisie. « La répétition est une règle en matière de communication afin de faire passer le message informatif », a-t-il tenu à dire avant de relever une « légère amélioration » selon une étude réalisée par le ministère.
Algerie1
Faceboook est-il une source d’information fiable pour un journaliste ? Voilà une question qui se pose aujourd’hui en force à tous les professionnels de l’information, partagés entre la tentation de relayer ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux et l’obligation professionnelle de vérifier l’information.
Evoquant une récente étude réalisée par son département, le ministre de la communication Hamid Grine affirme que cette dernière pointe de façon assez saillante « la précipitation et l’empressement qui animent certains journalistes qui publient des articles (pris sur Internet) sans vérifier la source » Cela relève selon le ministre, de l’impact des réseaux sociaux sur les journalistes.
D’autre part, Hamid Grine a affirmé que la « liberté absolue » qu’offrent les réseaux sociaux en matière de diffusion d’informations où l’auteur de l’information est à la fois le rédacteur en chef, le journaliste et le responsable de la diffusion, influait sur le journaliste qui se réfère à ces sites pour répercuter ces informations non vérifiées, appelant à faire montre de responsabilité particulièrement avec le secteur de la justice, les organes de sécurité comme la gendarmerie et la sûreté nationale et autres.
Si aujourd’hui il est admis que Facebook pourrait constituer « un point de départ à une information », le journaliste qui en fait l’usage est tenu absolument de vérifier l’information, car sa responsabilité est autrement que celle d’un Facebooker souvent anonyme. C’st la raison pour laquelle, le ministre souligne qu’il est primordial de vérifier l’information dès lors que le journaliste pourrait être à l’origine d’un drame.
Ces rappels, le ministre les a fait ce mardi matin dans une allocution, à l’occasion de l’anniversaire de la radio du Coran. Parant de certains faits liés à la société comme l’enlèvements des enfants, le ministre exhorte les professionnels de la presse à faire preuve de pondération. Pour lui, la formation restait le meilleur moyen de faire respecter les critères du journaliste professionnel, rappelant l’organisation de 40 séminaires de formation au profit des journalistes encadrés par des enseignants compétents venus de France, du Canada, de Suisse et de Tunisie. « La répétition est une règle en matière de communication afin de faire passer le message informatif », a-t-il tenu à dire avant de relever une « légère amélioration » selon une étude réalisée par le ministère.
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